Le témoignage d’un jeune porteur de projet installé à Miami fait le tour du web depuis plusieurs jours. Olivier Erin-Agot dénonce le « vol » de son projet par le Conseil régional de la Martinique et le Comité Martiniquais du Tourisme, mettant en cause deux personnalités de ces institutions : la présidente du CMT Karine Roy Camille et le directeur de cabinet du président de Région Jeff Lafontaine, destinataire du dossier jugé « initial » par le porteur de projet. Ce dernier a choisi une forme de réponse indirecte, pointant du doigt les effets de « la rumeur », les dangers des nouvelles formes de médiatisation qui se dispensent de travail de vérification, signalant enfin qu’aucune plainte n’aurait été déposée contre la collectivité régionale.
La lettre de doléances de Olivier Erin-Agot à Serge Letchimy
|le 2 Décembre 2013
Monsieur Serge Letchimy Député, Président du Conseil Régional de Martinique,
Hôtel de Région, Plateau-Roy Cluny
Monsieur le Président, Le 3 Mai 2010, je vous ai déposé à votre cabinet, en mon nom et à celui de mes deux autres associées Mme Jessy Denise et Mme Jillian-Janis Erin-Agot, un dossier ayant pour ambition de représenter la Martinique sur Miami, dans le cadre d’une manifestation de grande envergure: la « French Week ».
À l’époque, Ce dossier était suivi et activement soutenu par le Consul Général de France Monsieur Gaël de Maisonneuve, en fonction à Miami jusqu’à juillet 2013, actuellement en poste à Brasilia.
Suite à ce dépôt, j’ai eu un premier entretien avec Monsieur Pamphile, Conseiller régional, le 1er Juin 2010.
Après discussion il en a avisé Monsieur Crusol, Madame Gallot, conseillers régionaux et Madame Roy-Camille présidente du Comité Martiniquais du Tourisme (CMT) par email le même jour.
J’ai eu un entretien avec Monsieur Crusol, dans la semaine du 19 Juillet 2010. Il a été lui aussi très intéressé par le dossier.
Lors d’un congrès à Madiana, en Juin 2010, j’ai approché Madame Roy-Camille sur ce dossier, sans suite.
En Septembre 2010 j’ai eu quelques échanges téléphoniques et par courriels avec Madame Murielle Wiltord, responsable de l’antenne du CMT de New York qui, intéressée par ce projet, nous prodiguait un soutien effectif et efficace car elle souhaitait son aboutissement.
La première semaine de Janvier 2012 j’ai pu avoir un entretien avec Madame Roy-Camille et son directeur de cabinet. Le projet ne leur a pas paru pertinent et le budget trop élevé.
Cependant ce budget prévisionnel prévoyait un plan de financement pluri partenarial avec certes une participation du Conseil Régional de Martinique, mais aussi de la région Guadeloupe, ainsi que des opérateurs touristiques privés. Néanmoins en prenant congé de la présidente du CMT et de son directeur de cabinet j’ai été interpellé par le fait qu’ils aient formulé le souhait que je leur laisse un dossier alors que le projet ne leur avait pas paru intéressant.
En décembre 2012 j’ai eu un entretien prometteur à Paris, avec Monsieur David Dahomay, responsable jeunesse au Conseil Régional de Guadeloupe, sur ce projet et d’autres. Ce dernier y voyant une opportunité pour les DAF, m’encouragea à poursuivre et me donna les coordonnées de Monsieur La Fontaine, votre directeur de cabinet.
Le 4 Janvier 2013 j’ai eu le plaisir d’échanger quelques mots avec vous en attendant d’être reçu par votre directeur de cabinet.
Monsieur La Fontaine sans aucune promesse a néanmoins trouvé le projet intéressant.
Suite à cette rencontre j’ai eu deux entretiens téléphoniques avec Mr Lacascade, directeur des affaires internationales du conseil régional, qui m’a assuré d’un suivi sur ce projet.
En Avril 2013 à la demande de Monsieur le Consul Général de France à Miami j’ai gracieusement aidé à la mise en place d’une réception donnée par le CMT et sa présidente pour le lancement de la ligne direct Martinique-Miami, par American Airlines.
En juillet 2013 au hasard d’un appel de Madame Murielle Wiltord, j’ai su que le CMT montait un projet similaire au notre, pour la même période, dans le même cadre. N’ayant comme objectif que l’intérêt de la Martinique j’ai spontanément proposé notre aide voulant participer, même bénévolement, au rayonnement de notre pays.
Il n’y a eu aucune suite de la part du CMT. Le 31 Octobre 2013 au cours de la soirée officielle, donnée à la résidence consulaire de France à Miami par Madame Hélène Conway-Mouret, Ministre déléguée aux français de l’étranger, en la présence de Monsieur François Delattre, ambassadeur de France à Washington et de Monsieur Philippe Létrilliart, Consul Général de France à Miami,
nous découvrons avec stupeur que c’est NOTRE projet qui est en quasi-totalité réalisé, par des prestataires embauchés par le CMT.
Je vous signale en outre, qu’une semaine avant la manifestation, j’ai été contacté par Madame Valérie Vulcain du CMT de New York, afin de trouver une hôtesse d’accueil pour cette structure puis par l’adjointe aux affaires culturelles du consulat, Madame Kimberley Gautier avec laquelle nous avions aussi échangé sur notre projet 3 ans plus tôt. Mme Gaultier souhaitait quelques conseils sur le moyen de communiquer sur cet événement et de toucher la population martiniquaise et caribéenne, alors que la semaine martiniquaise incluse à la French Week avait déjà commencé.
Nous avons en notre possession les traces de chaque contact, échange, rendez-vous, lettres et emails qui nous ont permis de constituer le dossier déposé à votre cabinet le 3 Mai 2010, dans sa première mouture, ainsi que le dossier que j’ai laissé à Monsieur La Fontaine en Janvier 2013 et qui sans nul doute possible a été l’élément structurant du projet mis en place par le CMT.
La similitude allant jusqu’au choix des mêmes artistes que nous avions proposés. Je ne puis comprendre comment un projet qui d’emblée a été jugé sans aucun intérêt par Mme Roy Camille ait pu en si peu de temps devenir une initiative phare fortement médiatisée et empreint d’un ostensible faste.
Est-ce la tradition de la collectivité régionale, qui lance des appels à projets auprès de la population, de feindre de rejeter les projets des jeunes martiniquais porteurs d’initiatives pour ensuite se les approprier ?
Je ne vous cache pas notre déception et notre volonté de tout faire afin que nos droits légitimes de créateurs de ce projet soient reconnus et obtenir les réparations qu’une telle spoliation et une telle mauvaise foi, de la part d’élus qui prétendent être au service du peuple, implique. Je tenais préalablement à toute action vous faire connaître cet état de fait.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, mes salutations distinguées.
Consultant politique, Parti Démocrate Miami-Dade County|
La réaction de Jeff Lafontaine, Directeur de cabinet du Président de région
|Rumeur, médias, opinion, manipulation: contribution au débat.
La rumeur semble promise à un bel avenir en Martinique, et plus largement dans les sociétés apparemment les plus avancées et les plus rationnelles. Les nouveaux canaux de communication – médias de masse, Internet – lui donnent aujourd’hui une folle vitesse de propagation. Certains thèmes typiques reviennent régulièrement : complots en tous genres, violences, filiation douteuse, infidélité, indélicatesses politiques.. Et la rumeur est boulimique ; elle s’alimente de tout ce qui passe à côté d’elle.
Et pourquoi nous interpelle-t-elle tous ?
Nous sommes de plus en plus des sociétés d’individus. Chacun à son blog, son site, son Facebook, son compte twitter. Chacun devient producteur d’informations brutes, de rumeurs, de milans, et malheureusement de mensonges ! Chacun devient une sorte de média qui hélas n’a pas cette déontologie ni cette exigence qui font un journaliste.
Et nous ?
Prêts à tout avaler, tout gober, tout croire, un sms et nous voilà tous en file indienne dans les stations d’essence au péril de notre propre vie. Tel blog people annonçant sans vérification, que le corps de la jeune fille disparue au lorrain est retrouvée dans le coffre d’une voiture. Et, même au plus haut niveau de l’état français la rumeur fait des ravages autour des amours du président.
Nous avons aussi notre spécialiste de l’actualité pimentée qui depuis l’océan indien fait courir le bruit que la région martinique volerait des « idées », et pour renforcer l’effet de manche, celles du « Consultant politique, Parti Démocrate Miami-Dade County ». C’est ainsi que se présente l’auteur de la mauvaise blague.
Plainte à t elle été déposée contre le conseil regional?
Deux mille « j’aime », huit cent « partager », c’est en ces termes que s’apprécient cette rumeur. La désinformation fait son chemin. Quand on sait qu’avec les moyens techniques actuels, en un clic de souris on peut multiplier à volonté les « j’aime » ou les « partager ». A qui profite le crime?
La contradiction des organes de presse se résument au fait que si leur vocation est d’informer, d’expliquer, d’éduquer l’opinion; la nécessité de leur rentabilité pour subsister transforme l’information en une marchandise qu’ils adaptent à des lecteurs, auditeurs et téléspectateurs qui ont des exigences de consommateurs.
Il n’y a aucun doute que le travail entamé par le club presse martinique a contribué à une avancée notable du respect de la déontologie et de l’éthique de la profession.
Cependant ,la démultiplication anarchique des sources et des moyens d’information tue l’information, et souvent la dégrade.
Et c’est parce que chacun est désormais producteur d’information, que le rôle du journaliste devient encore plus essentiel et encore plus vital. La démocratie sociale créée par les réseaux numériques, a besoin que le journaliste fasse ce que lui seul est en mesure de faire : donner la bonne indication, vérifier, soupeser, étayer, permettre de comprendre, permettre d’agir en toute lucidité, respecter la vie privée et la dignité de chacun, faire honneur à la vérité …
Cela demande un énorme travail, une énorme exigence, une véritable intelligence, une honnêteté de chaque instant. On peut dire que la vitalité démocratique est avant tout une vitalité du journalisme.
Jeff Lafontaine|
J’ai du mal à comprendre la défense du directeur de cabinet du président de Région.
Il nous fait une dissertation philosophique sur la « rumeur » alors qu’il ne s’agit pas de cela ici. Il s’agit d’un courrier signé avec un certain nombre d’éléments datés qu’il suffirait de contester.
Pour ce qui me concerne, il est assez facile de savoir ce qu’il en est de ce dernier avatar de la « démocratie participative ».
C’est exactement ce que je me suis dit. Au lieu de profiter de son droit de réponse pour amener le jeu sur le terrain de « l’amiable » ou tout simplement démentir sans faire de prose, il se lance dans un exercice digne d’un politicien en déséquilibre.
Ou Jeff Lafontaine ne veut pas comprendre ou il habite un autre espace politique que la Martinique.
La première réaction est d’observer la source de l’information et le diffuseur.
Le diffuseur est un dit jeune Martiniquais, surtout jeune l’appellation non contrôlée pour tout demander même si on est totalement incompétent. Sur cette affaire de la « French week » il y a eu de nombreuses propositions identiques à celle de ce monsieur dont deux venant d’haïtiens résidant à Miami. Rien d’original. On devrait se souvenir de ce projet Foyalais identique « French Touch » jamais mis en place par les décideurs du Tourisme. A Saint-Domingue depuis 2008 existe un panneau publicitaire French Touch et qui fait des French-week régulièrement.Ce monsieur Agot-Erin est devenu anti- PPM notoire car en se présentant comme Consultant politique du Parti Démocrate Miami-Dade County il a été refusé comme intervenant au colloque Aimé Césaire.Il faut le savoir et la suite en découle.
Quant au diffuseur Gilles Degras de bondamanjak aux ordres du MIM et Daniel Marie-Sainte ce n’est pas surprenant qu’il utilise son blog pour désinformer depuis l’île de La Réunion où il séjourne avec sa femme. La Presse doit jour son rôle et enquêter sur cette affaire.
Si ce monsieur est certain de sa propriété intellectuelle il devrait porter plainte .Mais l’objectif de Gilles Dégras est atteint tenter une fois de plus de salir le CMT et la Collectivité Régionale actuelle.
Ce monsieur Agot-Erin est devenu anti- PPM notoire car en se présentant comme Consultant politique du Parti Démocrate Miami-Dade County il a été refusé comme intervenant au colloque Aimé Césaire.
c’est assez cavalier comme méthode, en tentant de saper la crédilité du Monsieur et développer une idée de vengeance et de frustrations
jeune l’appellation non contrôlée pour tout demander même si on est totalement incompétent
menm biten sur la crédibilité, mais il y a une incohérence, puisqu’on aurait fait appel à lui quand même malgré son incompétence.
Par contre, peut on savoir les montants versés depuis années, sous les divers présidences, pour ce qui ressemble à une rente, à Murielle Wiltord, en regard des résultats quasi inexistants, ainsi que son statut réel (salariée, prestataire, facturation, note de frais, ect..) ?
Mais hasnerverbeen mais il a bien raison le directeur de cabinet du président de région si ce monsieur estime qu’on lui a volé son projet qu’il porte plainte sinon cela reste au stade des rumeurs et ce n’est que du bla bla bla à mon entendeur salut.
Je trouve cela scandaleux…mais cela ne m’étonne pas de la part de la région Martinique.
la réponse du Directeur de cabinet est tout simplement pathétique.( un grand discours qui n’apporte aucune réponse au courrier très précis du porteur de projet)
C’est lamentable car cela n’encourage pas nos jeunes à rester au pays..si cela s’avère véridique c’est un comportement mafieux.
j’encourage ce jeune homme avec ses associés à porter plainte en justice contre Madame Roy Camille et Monsieur LAFONTAINE.
Aussi, il serait honorable que le Président de Région s’explique sur cette affaire.
Un phénomène proche était connu ici dans le monde des affaires, grace à la complicité de certaines banques, qui informaient les copains d’un montage, c’était souvent dans le cadre de la « concurrence »
Certains vont jusqu’à faire encore leur démarche auprès de notaires dans le département voisin pour éiter toute fuite.
il y a aussi le cas d’un individu qui vous demande de lui monter un projet, et qui après que celui ci soit bien avancé, vous annonce qu’il ne peut le réaliser et met fin à la commande, et quelques moi plus tard vous apprenez que celui ci réalise le projet en ayant fait apposer une signature de complaisance par un professionnel ami.
Donc là ce serait une collectivité, au service des citoyens, qui vole des idées d’un citoyen pour son propre bénéfice.
On touche le fond, si c’est le cas, le Président doit sanctionner le responsable pour montrer l’exemplarité, sinon comment demander à Ti Sonson d’être honnête.
Ouais, à part tout ce blablabla, ce sont des réponses aux allégations que nous voulons, pas de leçons par des gens qui ne sont pas capables de les appliquer à eux-mêmes…
La langue de bois est l’arme la plus souvent utilisé pour feindre .
Cette réponse est encore le modèle type de l’irrespect .
L’irrespect qui est monnaie courante à la MARTINIQUE ., et qui engendre la société dans laquelle nous vivons .
Triste perpective pour notre avenir .
Je ne m’arrête pas au fond de l’affaire. L’expression « la pie voleuse » était utilisée naguère par un Parti Politique Martiniquais pour reprocher à son adversaire de lui piquer ses idées. Il serait intéressant de rechercher les traces des réalisations issues de ces idées, que celles-ci aient été piquées ou récupérées. Tant mieux finalement si l’idée de ce jeune fait avancer la Martinique.
On ne peut pas en dire de même pour celui à qui on enlève ainsi la possibilité de développer son idée. De plus, de tels incidents, frustrants pour les victimes, ne sont pas de nature à susciter des vocations. Ni même à rapprocher la jeune élite des élus.
Cela me rappelle une idée soumise à trois élus de trois villes différentes. Selon le premier, on avait sans doute lu le programme politique de son parti dont ce projet constituerait l’élément phare pour la jeunesse. Le second a dit les larmes lui venir aux yeux tant cette proposition paraissait la décalcomanie du sien propre (il est un élu majoritaire à la région). Le troisième a reconnu que c’est une bonne idée qu’il soumettra à son maire dont la ville détient un club omnisport. Bref, trois façons de mettre fin à la conversation.
L’idée est d’associer les clubs sportifs à une mission d’encadrement et d’intégration plus large des jeunes de la commune ou d’un groupe de communes (formation, civisme, secourisme) avec le concours des organismes d’Etat et des collectivités concernés. La région ou la future collectivité en serait le chef de file avec un service régional spécifique d’impulsion, de coordination et de contrôle, et fournirait les moyens humains et matériels nécessaires.
Une expérimentation pourrait se faire avec les clubs les mieux structurés, comme l’Aiglon, le Club franciscain ou le Racing Club de Rivière-Pilote.
Entièrement d’accord avec Hasneverbeen, et Honhil…!
D’autant plus que les DÉTOURNEMENTS, ou les SUBSTITUTIONS de projet, sont coutumes récurrentes dans ce pays, je peux en parler en connaissance de cause, ayant été victime moi même, de ce genre de comportement, il eu une trentaine d’années, au moment de l’ouverture de la nouvelle aérogare du Lamentin…!
Un seul conseil Mr. Erin-Agot, N’hésitez pas à déposer plainte…! Et surtout SURTOUT, à demander une DÉLOCALISATION de l’affaire…!
Merci au rédacteur de publier les deux versions.
La transparence est une nécessité de la vie Démocratique.
Les procès d’intention fait aux blogeurs et lanceur d’alerte sont une alarme pour la démocratie. Le réajustement de la TVA sur les sites d’information n’est pas anodin non plus.
La traque dont est victime Médiapart, le sort voulu à Bondamanjak, montre bien que jamais le pouvoir ne nous offrira la transparence, il faudra se battre pour défendre le droit à l’information, transparence nécessaire en période pré
électorale.
Juliette Roméhaut vous ne pouvez pas comparer Médiapart et Bondamanjack l’un est une transparente claire et net ne s’accoquine à aucun parti que se soit à gauche ou à droite tandis que l’autre n’a aucune légitimée puisque que tout le monde sait qu’il est à la solde d’un parti qui se nomme le min donc aucune crédibilité en se concerne ses information qui sont le plus souvent orienté contre la parti adverse.
Je ne comprend pas le Titre…!
Ou se situe la » Rumeur »…???
Puis qu’il s’agit de faits…évoqués par la victime elle même, dans un Courrier, adresser au Président de la Région Martinique…!
Doutons for que ce soit une réponse implicite de Jeff Lafontaine à ce Monsieur ! Nous sommes en République (paraît-il pour ce qui concerne la Martinique) et chacun a le droit de disserter comme il l’entend -
Si ce Monsieur se sent lésé dans « ses droits légitimes de créateurs », rien ne l’empêche de saisir les juridictions compétentes – Mais… comment fera-t’il pour prouver que le dossier laissé par lui-même au Directeur de Cabinet de la Région fût en tous points, simillaire au projet mis en place par le C.M.T ? Quels sont les éléments de preuves qu’il pourrait produire devant une juridiction ? Par exemple, dans les domaines littéraire et musical, ceux qui se sentent « spoliés » peuvent toujours procurer les ouvrages ou les enregistrements copiés par les plagiaires – Là, comment s’y prendra ce Monsieur ?
Par ailleurs « rumeur ou réalité » ? Cette information est d’abord parue sur un blog qui se voudrait « d’information » mais dont on peut douter de l’impartialité et de l’objectivité – Point besoin de l’y nommer et, inutile de préciser que les commentaires accompagnant l’article ne sont pas « tendres » -
- « Rumeur ou réalité », que ce Monsieur fasse valoir ses droits, toutefois, en n’oubliant pas que des personnes nommément citées ou mises en cause auraient elles aussi, le droit si elles se sentaient diffamées de réagir -
Wouah ! Et à part ça Monsieur le Directeur de Cabinet, que nous dites vous sur le fond du problème ? Car à part ce « magnifique » plaidoyer sur la rumeur, votre propos semble particulièrement hors sujet.
Voici l’exemple type d’un délire très tôt relayé par une celebre poubelle : Bondamajak. Et même si Politiques Publiques prend quelque précaution… je reste aussi effaré par la démarche. On prend un courrier, écrit par on ne sait qui, on ne connait rien à l’histoire, on ne va surtout pas au fond, et on attaque avec des mots aussi violents que « voleur ». C’est vraiment d’un niveau inqualifiable ramenant le martiniquais au niveau d’un triste idiot que l’on manipule à partir d’une simple déclaration. Ce genre de relais poubelle serait dirigeant d’une dictature totalitaire, que ces dits accusés seraient déjà conduits à l’échafaud. Et le responsable de la région qui a répondu a parfaitement raison : il est allé sur le champ du principe. Celui de la rumeur, de la vindicte gratuite venant de personnes affamées par un seul désir : faire du mal, gratuitement afin de s’installer dans le jouissance qui gagne n’importe quel frustré de la création en mal de reconnaissance. Honnis soient-ils ! Cette image donné d’un traitement de l’information, ou plutot d’une information est, tout simplement puante ! Oui, puante. Et comme la puanteur n’attirent qu’une certaine catégorie de l’espèce animale, on comprend mieux…. reste plus qu’à connaitre dans une prochaine publication, la couleur des chaussettes que portaient les perosnnes ce jour où ils ont reçu ce dit porteur de projet…. C’est à ce niveau et rien d’autre !!! Voilà ce qu’est devenu ton peuple, Césaire, après tous les efforts que tu as pu faire pour leur dire que le doute, la quete de la vérité étaient parties intégrante d’une démarche de dignité et d’émancipation…..
La puanteur de Bondamanjak semble être eau de Cologne qui assure le bien-être de ceux qui ne veulent pas reconnaître la vérité. Quand ce site pornographique dixit Jeff Lafontaine a révélé l’affaire Stéphane Hayot. Toute la presse de Martinique avait perdu ses gonades. Les plus grands journalistes de l’île étaient aux abonnés absents. Il a fallu un communiqué des avocats du GBH pour les voir ressortir à l’air libre. Et ce blog puant s’attaquait au maître de la Martinique sans preuves. Pourtant pas de plainte en diffamation. Rien. Étonnant. Le méchant béké, n’a pas déposé contre notre ennemi à tous. Mais kisa ka alé la Bèna ? « Fok pété tjou Dégras » comme avait dit un célèbre écrivain à mon ami Camille. Quand Bondamanjak a révélé l’arrangement entre la victime et le groupe. Personne n’a rien dit. Bèf bétjé an kann bétjé.
Alors j’accepte votre mépris. Oui…je ne suis pas PPM et un jour Césaire le comprendra.’.et je ne suis encarté dans aucun parti. Même le MIM ne répond à ma vision de la Martinique. Eh oui personne n’est parfait.
Pour mémoire, le CMT a voulu me coincer lors d’un récent procès. Mais soit leur avocat était mauvais soit c’est la faute à pas de chance. Letchimy aussi a essayé le procureur a rejeté sa requête. Le groupe Loret a essayé.’.encore raté. Alors c’est quoi la solution.’.celle qui a eu…André Aliker ? La balle est dans votre camp….empreint de démocratie . Lol.
Entièrement d’accord avec Hasneverbeen, Honhil, Pol Tikitak, la riya …!
D’autant plus que les DÉTOURNEMENTS, ou les SUBSTITUTIONS de projet, sont coutumes récurrentes dans ce pays, je peux en parler en connaissance de cause, ayant été victime moi même, de ce genre de comportement, il eu une trentaine d’années, au moment de l’ouverture de la nouvelle aérogare du Lamentin…!
Un seul conseil Mr. Erin-Agot, N’hésitez pas à déposer plainte…! Et surtout, SURTOUT, à demander une DÉLOCALISATION de l’affaire…!
c’est très embêtant car :
1 qui nous dit qu’ils ne transmettent pas des dossiers ( projets ) confidentiels à des copains ou groupes amis ?
2 on sait que le secret professionnel n’est souvent pas respecté dans certaines banques .
cela est de nature a refroidir les touts petits qui ont souvent des idées originales mais risquent de se faire piquer leurs idées par les gros .
dommage
Je comprends, Monsieur Bondamajak qu’aucune vision du pays ne vous plaise, ni celle du MIM que vous servez si bien, ni celle de quiconque. Votre pseudo-neutralité n’est qu’un vulgaire cache-misère intellectuel, une pauvreté de la réflexion inégalable, inqaulifiable. Votre vision serait celle d’un pays qui tombe dans l’excès de faire justice soi-même, de livrer à la lapidation du cout’lang en attendant celle de vraies pierres, toute personne présumée coupable d’un quelque chose. Oui, votre vision de la Martinique ressemblerait à des scènes que l’on voit en ce moment du côté de la Centrafrique. Une superficialité qui ne fera jamais de vous autre chose qu’un malheureux frustré qui a peut être eu envie dans sa vie d’etre un grand mais qui sera à vie, un PETIT, oui un tout petit « rapporteur » sans jugeote, sans sens de l’analyse, sans objectivité. Oui, un petit qui se permet d’éliminer manu militari toute publication qui n’irait pas dans son sens, qui le critiquerait. Politiques Publiques a au moins un sens de l’honneur et du courage et accepte les critiques et ceux qui les postent même quand elles sont acides. Pas vous ! le miroir vous gène, vous perturbe, vous créé une introspection qui vous fait mal. Je comprends que l’on ne vous poursuive pas Monsieur Bondamanjak, c’est vous faire trop d’honneur que de vous accorder un quelconque crédit. Je vous imagine en fier, franchissant le palais de justice criant tel un avaleur inconscient d’un bondamajak que la liberté de la presse serait violée en vous exibant en héros. En zéro oui,…. Continuez Monsieur à fouiller les immondices dans lesquels vous semblez si bien vous épanouir. Qu se ressemble s’assemble dit le proverbe ! Et c’est valable pour vous et votre fan club de milaneurs et de makrels au cerveau buvard de n’importe quelle vulgaire sauce frelatée etindigne des meilleures tables. L’heure de votre remise en cause a sonnée. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis et transformez vous enfin en martiniquais digne d’offrir un vrai relais d’information dont la Martinique a besoin. Allez, faites un effort, un vrai effort ! On vous pardonnera alors ! prions, comme vous dites si bien, prions !
Nous invitons les uns et les autres à modérer leurs propos. Nous ne tenons pas – et ne permettrons pas que cet espace de vienne celui de quelque règlement de comptes.
J’ai admiré le sénateur VALCIN quand il a dit a un imminent politicien issu du balisier, qu’il avait une tête à claques.
Assurément, les claques ne font plus peur mais les têtes sont toujours la, même si elles sont cabossées.
Marc CAFE me recherche le pseudo d’un certain mec, qui faisait des menaces sur le site Bondamanjack à l’encontre de Gilles D.
Je crois que Gilles lui a coupé le clavier!
Mais c’est un rancunier, déverseur de bile nauséabonde. La preuve par deux!
Sur notre bon site de PP, ces mêmes menaces sournoises semblaient revenir car ce « posteur » avait trouvé à qui parler parmi ceux qui intervenaient sur le blog et Franck a su l’arrêter avant qu’il demande, comme si il en avait le pouvoir, de fermer cet espace d’échange démocratique qu’est PP.
Tu as le courage de t’adresser aux gens avec un pseudo. Je reconnais bien là le martiniquais qui parle de PAYS. Tu es drôle.
Merci politiques publiques de permettre le débat sur les causes et non pas les conséquences de ce mal de démocratie qui ronge notre société martiniquaise. Je me range du côté de Voltaire en faisant mienne cette citation.
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
Sans doute pour faire diversion, YLM, nous pond un article, sur TAUBIRA DELANON,que je qualifierais de rassis!
J’ai lu l’article de Gilles DEGRAS, responsable du Blog Bondamanjack et je serais tenté de lui dire de bien choisir ses amis!
Il a parlé d’un certain « Camille » qui serait son ami!
Patat sa! Purée de nous autres!
Avoir un ami comme ça, à géométrie variable selon le sens du vent, comme les girouettes, je dirai à mon ami G D, de surveiller ses arrières, car un accident « troudebalesque » est vite arrivé!
Et comme dit Dieudonné, le temps d’un poil de chatte en chaleur, tu l’as déjà très profond, avec les dégâts que l’on sait.
D’ailleurs les interventions de nos amis Justicier et notre incontournable l’anaconda, dont les écrits sont de la même veine, confirment les lectures intergalactiques et exactes de mon ami Marc CAFE.
« La balle est dans votre camp… empreint de démocratie. Lol » -
Vous êtes à mon sens démocrate, Dégras ! L’on peut intervenir sous pseudos, ou à visages découverts sur votre blog – Il vous arrive de temps à autres de faire un léger tri dans les posts si l’on « tire à vue » sur un ou deux pseudos qui, eux-mêmes ne se privent pas d’utiliser le « bazooka » lorsque un article quelconque met en cause un membre éminent du P.P.M – Bref.. c’est la vôtre de démocratie, aussi respectable soit-elle -
Oui Dégras ! Nous avons besoin de vous pour la « vitalité démocratique », d’ailleurs le parallèle avec Aliker André ne passe pas, la ficelle est trop grosse et le racourcis trop court – Soyons un peu sérieux, Dégras ! Quel margoulin d’un acabit tel celui qui commandita son assassinat en 1934, oserait récidiver une telle ignominie ?
La démocratie de votre blog d’information est tellement parfaite, que bien entendu toutes les actualités inhérentes à la Martinique sont traitées y compris les « mises en examen » de la famille du « rocher zombi » et, les corollaires induisant les modalités de constructions d’infrastructures à l’île de la Dominique ou à la Grenade –
La démocratie a besoin de votre outil Dégras, mais n’en faites pas trop non plus avec votre supposée insdispensabilité ! -
Pour l’instant 22 commentaires : pas un début de réponse à l’accusation de Monsieur Olivier Erin-Agot.
Monsieur Lafontaine (pas les Fables) cite Voltaire, une façon de prendre de la hauteur ou plutôt de nous faire oublier la question centrale : y a-t-il eu vol de projet oui ou non ? Sé sa nou ka mandé’ou !
Certains, toujours dans l’espoir d’esquiver le sujet font le procès de Gilles Dégras. Pour ce qui me concerne, Gilles Dégras a bien des défauts : il est péremptoire, il est mal élevé, il prend parfois une vessie pour une lanterne, ce qui me vaut de ne plus pouvoir faire de commentaire sur son site.
Mais une chose est sûr : c’est que Bondamanjak est plus nécessaire au pays Martinique que le NéoPPM et les pratiques de la nouvelle gouvernance.
quand j’ai lu cette lettre j’ai douté, je me suis demandé ou sommes nous . dommage que mr Lafontaine ne nous a pas dit, si mr Letchimy avait reçu vraiment ce courrier . ou si c’ést une blague et si il y aura une suite .si le conseil régional a porté plainte . si non ça deviendra une habitude chez mr tout le monde de raconter n’importe quoi.
Moi aussi , j’ai participé à un appel à projets : « initiatives citoyennes pour le développement du tourisme en Martinique » pour l’attractivité touristique du pays, organisé par la Région. Le 22 février 2011, j’ai déposé un projet » Yole Naval Martinique », un an plus tard on m’a dit que mon projet n’a pas été retenu ; Carnaval 2012, j’ai vu apparaitre une partie de mon projet dans un concours nommé « An vidé-a 2012″ organisé par la région, puis en Mai 2012 j’ai vu se faire une autre partie de mon projet dans une manifestation intitulée » Martinique Yole Festival » organisée par le CMT.
J’ai été reçu à la région pour m’entendre dire » on avait déjà ces projets dans nos cartons ! » . J’ai alors demandé « depuis quand, sachant que mon projet était déjà chez vous depuis un an ? » . Pas de réponse ! J’ai déjà dénoncé ce vol d’idée et de projet sur les ondes, mais à chaque fois on me coupe la parole. Visiblement à la région on veut être « les premiers » à avoir tout fait, les premiers à savoir tout faire, les premiers à avoir tout pour plaire. 1er salon de l’agriculture, et aux oubliettes les 2 éditions réalisées au Vauclin.
mon « yole naval » est devenu leur » yole festival « .
Mon dossier a purement été é-car-te-lé de façon magistrale
Avant même d’être écarté de la course finale.
Une partie a donné « an vidé-a 2012» pendant le carnaval
Et l’autre a donné le 17 mai « Martinique Yole Festival ».
Nul ne pourra contester cette évidence
Mon projet été vidé de sa substance,
Sucé jusqu’à la moelle,
Puis jeté à la poubelle.
Comment le jury peut-il lui accorder sa faveur
Si il ne lui reste plus une once de saveur.
La balle n’est pas dans mon camp, mais celui de la Région Martinique, son Président et collaborateurs. J’attends une réponse, promise par le Conseil Régional dans un courrier en date 28 novembre 2012. On m’a promis de faire des » … vérification, complétude, traitement,et/ou instruction … » . Demain, 28 janvier 2014, cela fera 14 mois, ( environ 420 jours ) que » les services » planchent sur ce dossier que j’avais rédigé sur 2 pages ( soit 52 lignes). Le projet en lui-même tient sur 10 lignes . 420 jours pour étudier 10 lignes et ce n’est pas fini. A ce rythme là, il faudra compter environ 1764 jours, = 4,9 années pour avoir une réponse. plus de précisions, prière de se renseigner auprès du CR. Tous les éléments sont en leur possession.
c est bien beau de parler portez plainte et la justice tranchera
Cher JEAN marie pourquoi ne pas avoir porté plainte.La justice est là pour cela . C’est bien jolie de nous raconter ,mais s’il n’a pas eu plainte là encore on est obligé de douter. si vous n’avez pas les moyens pour engager un avocat il existe des aides pour cela.Meme si vous interrogez la région ,elle peut vous répondre ce qu’elle veut , alors qu’avec un avocat il aura des investigations pour approuver ou désapprouver leurs dires.Desolé mais je doute toujours
J’ai le souvenir que le Conseil Général, sous la dernière présidence de Claude LISE, avait dû hausser le ton pour faire savoir que les travaux d’aménagement du Bord de mer était une réalisation de la collectivité départementale et non de la ville de Fort-de-France comme certains panneaux tentaient subrepticement de le faire croire. J’ai en mémoire aussi la mise au point d’Y-M SERALINE pour faire valoir son droit de propriété intellectuel sur une manifestation que la même ville, avec la même édilité, voulait s’approprier. Il y a donc des antécédents récents et Monsieur le dit JUSTICIER, le mal nommé, le sait. Feindre avec autant d’aplomb l’indignation comme il le fait devrait tous nous alerter. Je ne répéterai jamais assez que ces hommes et le parti qu’ils contrôlent sont dangereux. Tout le monde triche plus ou moins en politique mais pas à ce point, pas avec ce cynisme et cette assurance des hommes de pouvoir qui font froid dans le dos.
PS: Monsieur G.DEGRAS n’est pas dupe quand il évoque son ami « Camille » pour répondre à Monsieur le dit JUSTICIER
Une nouvelle fois : la recherche d’identité n’est pas le but de l’exercice d’échange sur ce site. Pour l’heure, l’anonymat, dont la plupart des posteurs usent, est une règle que chacun accepte implicitement par sa présence.
Obero que viens tu chercher là avec ton panagerique d’ancien combattant de Claude Lise ? S’il a fait quelque chose à Fort-de-France, c’est la moindre des choses ! Quelle ville lui a offert le tapis rouge dont il a bénéficié toute sa vie ? Quelle ville le lui a enlevé aussi ? Il devrait avoir un peu plus d’humilité et dire que la collectivité martiniquaise quelle qu’elle soit « a fait » et pas avec son argent à lui en plus. Mais revenons à nos moutons pimentés. Dans un pays ou on confond pistache et cacahuette (toute ressemblance avec propos dans blog existant serait fortuit et involontaire), il s’agit pour un peu plus d’éthique de ne pas confondre coco et zabrico. Un bloggeur n’est pas un journaliste, donc je ne comprends pas le parallèle avec Mediapart tenu par un vrai journaliste. monsieur Edwy Plenel a quelque lettre de noblesse dan sle domaine. Deuxièmement, une convocation à un procès n’est pas une accusation. Une mise en examen n’est pas une déclaration de culpabilité….. etc…. Le vrai journaliste sait faire la différence et prend les précautions d’usage sans s’ériger en procureur, en tribunal:. Un vraijournaliste ne publie pas un courrier d’un résident yankee pour décaler une institution. On cherche la lampe allumée sur le front, la vérité, même un embryon de vérité. Voilà comment fonctionne un vrai journaliste et non pas un exhibitionniste du milan. Il pourrait demander peut être à la Région une aide à la formation afin de s’améliorer, se perfectionner au mieux et revisiter l’élementaire. Gran nhom pa ka ront ! Prions pour que du hait du piton de la Fournaise qu’il cotoie désormais au quotidien, il puisse enfin élever son esprit plus près des justes dieux.
Monsieur Richard jean Marie est un menteur. il a été recu par la région, et a meme rencontré le président la dernière fois au Marin ou il a éssayé de perturber une réunion animée par le maire. Ses propres amis l’ont déconseillé, et ce monsieur à lui meme avoué qu’il n’avait aucun probleme avec la région Martinique, et qu’il a simplement donné un courrier dans lequel il disait vouloir discuter des ses iées.
Ca suffit maintenant monsieur
En quoi tous les faits dénoncés étonnent…?
Puisqu’au soir des élections 2012, un haut cadre de la région, a claironné sur un media audio, en commentant les résultats : » Le mensonge une Arme de Destruction Massive « …Sans commentaire…!
-MR lafontaine vous montez sur vos grands chevaux et vous écrivez toutes vos élucubrations sur politiques publiques
-vous traitez la population de martinique de boulimique de la rumeur ;mais toute la population de la martinique vous avait vu servir de tonton macoute à serge letchimy sur son injonction ;alors que vous étes directeur de cabinet, pour faire évacuer mr gilles dégras de l’enceinte de la région qui est la propriété du peuple .
-je vous met au défi si vous étes un homme vous et mr letchimy de porter plainte en diffamation contre l’auteur de cette lettre ainsi que des autres qui ont été publier sur bondamanjack::::::
Les vigiles de la maison PPM s’évertuent à démontrer que Dégras n’a pas de carte de journaliste comme si cela pouvait nous éclairer dans le cas qui nous préoccupe.
Je n’ai aucune envie de le défendre, mais il faut bien que quelqu’un leur disent : on n’en a cure ! Nous sommes en 2014, à l’heure de l’internet, des réseaux sociaux et des blogs. Il y a des blogs crédibles et d’autres moins crédibles. Mais il participent tous à la liberté d’expression dans les limites que leur imposent la loi.
Faut-il que nous nous contentions de quotidien local qui classe la libération de Thierry Dol ou la liquidation de la SEMA dans la rubrique « Faits divers » ou encore des radios et télés grassement subventionnées par le Région de Letchimy avec l’objectivité qu’on leur connaît ?
C’est à vous de voir, Messieurs Justicier et Lapousse. Car on ne peut pas discourir à longueur d’année sur la démocratie participative et remettre constamment en question les fondements de cette démocratie.
Nous sommes au regret de vous informer que nous clôturons les commentaires autour de cet article. Insultes, haine et polémiques, quasi systématiques dans les posts proposés (et pour la plupart non publiés) ne sauraient constituer l’essentiel d’un débat autour de quelque thématique que ce soit.
Merci de votre compréhension.