Le président de la République française est en visite officielle pour trois jours aux Etats-Unis, du 10 au 13 février 2014.
Côté protocole, Barack Obama a mis les petits plats dans les grands pour son allié français. La visite officielle est seulement la sixième organisée par le président américain depuis son accession au pouvoir en 2008. Une « récompense » pour la loyauté de la France vis à vis de son partenaire géant dans les grand dossiers internationaux.
Etape du séjour de Fançois Hollande, la Silicon Valley, haut lieu de l’innovation et du numérique mondial. Et pour cette visite, le président français s’est entouré du fleuron des chefs d’entreprises français du numérique. Parmi eux, un martiniquais, José Jacques-Gustave, à la tête de l’un des leaders mondiaux de la visio-conférence, le groupe G2J.com, et déjà véritable modèle pour les jeunes entrepreneurs des territoires ultramarins, exemple de réussite et d’exportation de la matière grise de ces territoires. Un patron qui affiche de nouvelles ambitions : « Dans un contexte économique complexe en Europe, G2J, qui a gagné successivement , aux USA, plusieurs appels d’offres du FMI (Fond Monétaire International) face aux plus grands opérateurs internationaux, saura tirer parti de ces introductions pour renforcer le développement de son activité à l’International« .
Côté potins, c’est le moment choisi par toute la presse française pour relayer une information visiblement avancée sans le moindre indice : une prétendue liaison entre Barack Obama et la chanteuse Beyoncé, épouse du rappeur JayZ. Une information purement et simplement démentie par les médias américains, et dont on peut s’interroger sur l’intérêt en cette période précise de visite du président français. Malmené suite aux révélations sur sa vie privée, une « beyoncégate » pour son alter-égo Barack Obama aurait en effet volé – avec bonheur – un peu de lumière à François Hollande, ses conquêtes, et son scooter, largement médiatisés en France et dans le monde entier !
@francksrr @polpubliques
Au lieu de disserter à longueur de journée sur le sexe des anges, certains de nos élus devraient réfléchir pour amener plus de martiniquais à suivre l’exemple de ce monsieur.
Idem pour nos médias
entièrement d’accord avec vous.
Plis fos pour ce monsieur.
Ceci pour nos pourfendeurs de 40%
Voilà un cas intéressant: mère institutrice, fonctionnaire à 40%, comme aiment à le dire péjorativement certains, cela a donné ensuite J2G, une profession libérale, un boss d’établissement publique, etc…
Comme quoi, les fonctionnaires à 40%, comme je l’ai toujours dit ont permis en 30 ans, aux « petits nègres » de forcer l’ascenseur social.
Ce sont ces mêmes pourfendeurs des 40% qui se félicitent de la réussite de J2G, comme patron du privé
Les 40% peuvent être considérés, malgré les effets pervers, comme étant une forme de réparation car elle a permis l’accès aux études supérieurs de martiniquais, alors que cela était réservé à une bourgeoisie mulâtre qui se reproduisait avec elle même de génération en génération porteuse des « valeurs de l’assimilation ».
Cursus commun à beaucoup.
-grands parents: pêcheur, maçon, chauffeur, etc
-parents: fonctionnaires
-enfants: professions libérales et autres
-petits enfants: chefs d’entreprises, professions libérales, etc…
et choses remarquées, les enfants et petits enfants de fonctionnaires ne sont pas majoritairement fonctionnaires, car l’ascenseur social ne s’arrête pas à l’étage fonctionnaire surtout aujourd’hui.
J’ai le sentiment de beaucoup des pourfendeurs de 40% étant souvent eux mêmes des fonctionnaires à 40%, ayant eu un décalage d’une génération pour le passage au 40%, ont intégré malheureusement, une perception étrange des fonctionnaires, percevant les fils de fonctionnaires en classe avec eux comme des nantis et privilégiés.
eux sont devenus fonctionnaires et leurs « amis » sont devenus professions libérales, créant chez les pourfendeurs de 40 frustrations, amertumes qu’ils n’ont pas géré.
Alors qu’une analyse objective leur ferait aborder cela comme un moyen, une opportunité à saisir et non une fin en soi.
D’ailleurs leurs enfants à leur tour ont été aussi « plus loin », quand ils ont aussi les capacités intellectuels.
Donc bravo à J2G, produit d’un système pervers
La mère de J J G a du laissé davantage de plumes que d’autres parents parceque classée 40%.
Je retiens surtout l’expansion de cette entreprise depuis 1994. Je me reparle aussi des premières interventions à la Martinique de ce jeune PDG plein d’humilité, loin des récupérations. Respect!
tu confonds peut être avec G2J lariya…c’est plutôt l’état d’esprit fonctionnaire qui gène et leur comportement au travail, qui a des répercutions notamment chez les politiques. et puis ne réduit pas la réussite de G2J à sa seule mère fonctionnaire, pour te justifier…
Montrez lui la lune, il regarde béatement votre doigt!!
Qu’ai je à justifier, au fait?
Il y a des fois où on s’interroge sérieusement sur la pertinence de certaines interventions.
Dans mon propos j’ai pourtant écrit » les capacités intellectuelles » pour bien montrer que ce sont différents facteurs qui aboutissent au succès et le côté matériel est
non negligeable.
Combien de jeunes martiniquais n’ont pas pu malgré leur intelligence faire des carrières qui leur étaient plus qu’accessibles parce que leurs parents n’avaient pas les moyens et qui se sont d’ailleurs retrouvés ironie du sort…fonctionnaires.
Ces enfants de fonctionnaires de la génération Jacques Gustave ont profité pleinement des avantages qu’offraient la position d’une mère fonctionnaire: ouverture au monde, accès à la culture, avantages matériels même relatifs, stimulation à faire des études.
Tel était mon propos, simple et précis , mais il m’a fallu malheureusement m’étendre sur des évidences qui relèvent de la sociologie basique
C’est un cocktail qui fait le succès des enfants
QUEL PARCOURS !! ce monsieur était mon formateur en informatique et commercial ANGLAIS , il y a quinze ans… TRAVAILLEUR très impressionnant et réussite au rendez-vous ! CHAPEAU BAS quoi !! lol
G2J.com, sé an fièté pou Matinik … bravo tibway !!!