Le chef de file d’Ensemble pour une Martinique Nouvelle réagit au drame qui a frappé plusieurs familles. A la suite d’une altercation entre deux hommes dans la boite de nuit « Le Paparazzi », trois personnes sont mortes sous les balles.
« La mort d’un être humain est un drame, le premier acte qu’on lui doit est le respect.
Le drame du « paparazzi » c’est la douleur des familles, des proches et des amis, des vies à tout jamais éteintes. J’ai donc une pensée profonde et une douleur pour toutes ces familles. J’ai aussi une pensée pour la famille de l’auteur présumé des faits car en de telles circonstances la douleur ne peut-être que partagée.
Je renouvelle mes sincères condoléances aux familles de toutes ces victimes.
D’une façon générale, ces meurtres, qui nous renvoient aux questions graves de la détention d’armes à feu et de l’insécurité en général, sont inacceptables.
Je comprends, parce que je le partage, l’émoi soulevé par ce triple homicide. Il en va de l’ordre public, de la sécurité des Martiniquaises et des Martiniquais et de l’économie, que de tels drames ne puissent survenir.
Ce sujet est bien trop grave, ces conséquences bien trop douloureuses, pour qu’il fasse l’objet de spéculations et d’instrumentalisation.
Ce qu’attendent les familles de victimes, c’est d’abord et avant tout de la dignité et, ensuite, tous les efforts nécessaires pour parvenir au plus vite à la manifestation de la vérité. C’est aussi ce que veulent les Martiniquaises et les Martiniquais qui ne supportent pas que la criminalité s’installe dans notre pays que nous souhaitons tous paisible.
Il y a une indécence innommable, dans l’usage, y compris électoral, que d’aucuns veulent faire de ce drame.
Il est vrai que plus d’un a été surpris de certains propos du procureur de la République qui, étonnamment, expose une préoccupation sur les conditions d’embauche et de rémunération des personnes mises en cause, comme si ces éléments pouvaient avoir plus d’importance que de faire la lumière sur les circonstances de ces meurtres.
Cette déclaration du procureur est incompréhensible, et nourrit la suspicion et les tentatives d’instrumentalisation.
En effet cette déclaration semble méconnaître et occulter le principe de libre administration des collectivités. En affirmant qu’il fera procéder à ces vérifications, le procureur jette sur les collectivités une suspicion qui n’est fondée sur aucun indice d’infraction. Nous avions un peu perdu l’habitude d’intervention de la Justice en pleine campagne électorale pour fournir des arguments à une partie en compétition.
Ce genre d’affaires suscite toujours des commentaires et des rumeurs. Nous sommes en droit, élus et citoyens, d’attendre la plus grande rigueur de ceux qui représentent nos institutions, et notamment l’institution judiciaire; à défaut d’espérer de la décence de la part d’adversaires politiques qui font, imprudemment, feu de tous bois.
Pour ma part, j’ai une trop haute idée de la Politique pour alimenter les rumeurs, quelles qu’elles soient et qui elles peuvent viser.
Je continue à penser que la Politique doit, pour inspirer confiance, être claire et constante. C’est pour cela que je veille à rester fidèle à mes engagements et à mes prises de position. Je suis persuadé que les Martiniquaises et les Martiniquais y voient, à bon droit, une marque de respect à leur égard.
C’est par la fidélité à ses principes, à son parcours et à son action que tout élu peut mériter et conserver la confiance des électeurs.
Nous connaissons tous le dénouement et la moralité de de la fable le corbeau et le renard de Lafontaine ( tiens , dans la fable nouvelle mouture , la Fontaine est plutôt acteur) dans laquelle le renard gagne la partie et dupe le corbeau.
, Dans la réalité , c’est plutôt des affabulateurs qui sont mis à l’index par maitre Corbeau qui attiré à l’odeur cette fois pas trop alléchée n’est pas flatté du tout par les commérages d ‘une renarde habillé en moun qui flatte la mémoire d’un de ses amis de cœur.
Cela donne à peu près cela.
Acte 1
http://www.bondamanjak.com/le-procureur-de-la-republique-sinterroge-en-martinique-il-etait-temps/
Maitre Corbeau affirme:
Le Procureur de la République :
Yohann Kandale alias Kankan était employé dans une mairie du nord comme chauffeur. Ronaldo Jean-Philippe alias l’américain était quant à lui employé au conseil régional.
le renard dit:
Cette déclaration du procureur est incompréhensible, et nourrit la suspicion et les tentatives d’instrumentalisation
Maitre Corbeau affirme:
« Je parle de mon étonnement puisqu’on constate qu’on est face à des individus qui disposaient de casiers judiciaires particulièrement fournis pour des faits de violences, des faits de violences avec armes.
Des individus qui sont également employés de collectivités Territoriales alors qu’ils sont connus pour être des individus violents, qui sont connus pour être régulièrement porteur d’armes et qui donc sont en toutes impunités dans un système qui entretien cette insécurité. »
le renard dit:
« En effet cette déclaration semble méconnaître et occulter le principe de libre administration des collectivités. En affirmant qu’il fera procéder à ces vérifications, le procureur jette sur les collectivités une suspicion qui n’est fondée sur aucun indice d’infraction »
Maitre Corbeau affirme :
« Quand on produit des contrats de travail pour justifier que ces personnes doivent bénéficier d’un bracelet électronique pour ne pas aller en prison et que après ils sont employés autrement que ce qui était prévu ça pose quand même problème, ça met en danger quand même la sécurité de tout le monde.
Je suis un peu étonné parce que derrière les grandes déclarations « HALTE A LA VIOLENCE » Voila ! On laisse perdurer des situations qui finalement peut-être arrangent beaucoup de gens mais ont aussi des conséquences qui peuvent être particulièrement dramatiques. »
Le renard dit:
« Je continue à penser que la Politique doit, pour inspirer confiance, être claire et constante. C’est pour cela que je veille à rester fidèle à mes engagements et à mes prises de position »
Pour ce qui est de l’acte deux , c’est Maitre corbeau qui signifiera les responsabilités t on espère qu’il fera diligence pour voir plus clair dans cette fable dans laquelle la fontaine est nommé pour son sens de la solidarité humaine.
Ainsi l’indécence répond à l’indécence, la manipulation à l’instrumentalisation, l’innommable à l’inacceptable.
Deux faces, la même médaille !
Et en sus, on met en doute l’impartialité de la justice quand ça vous arrange, oui vous restez fidèle à vos principes Monsieur Letchimy, fidèle jusqu’au bout. Fidèle à l’indécence, fidèle à la manipulation, fidèle à l’instrumentalisation, fidèle à l’innommable, fidèle à l’inacceptable.
Cette fois sans « équivoque ».
Voilà que la même justice qui n’arrive pas faire aboutir l’affaire Ceregmia où trempent des membres du PPM, est aujourdhui accusée par Letchimy d’être partisane.
Argument bidon donc!
Ils se sont plantés dans ces recrutements, l’honnête té aurait été de reconnaître la faute, l’erreur.
c’est simple, c’est grand.
« il est vrai que plus d’un a été surpris de certains propos du procureur de la République qui, étonnamment, expose une préoccupation sur les conditions d’embauche et de rémunération des personnes mises en cause, comme si ces éléments pouvaient avoir plus d’importance que de faire la lumière sur les circonstances de ces meurtres. »
cette une affaire, on doit enquêter sur tous les aspects justement pour faire la lumière.
le Procureur a t il diffamé ?
Quelle honte !
Letchimy se prend pour quoi???
Depuis quand on rappelle à l’ordre un procureur de la République?????
De mieux en mieux.
La justice est libre et indépendante et doit faire son travail SANS ENTRAVES NI PRESSIONS.
Après les pressions faites aux journalistes pour masquer les bourrages d’urnes à FDF pour des dépouillements faits à huis clos, voila qu on s’interroge sur la connaissance du procureur sur les lois????
Honteux
JE POURRAIS SAVOIR POURQUOI C EST CETTE PIC QU ON A CHOISIT POUR ILLUSTRER LE LIEN ENTRE LE PPM ET LA MAFIA??
Cette image est vraiment surprenante…