Les élections à la Collectivité Territoriale de Martinique se tiendront en mars 2021. Si les candidats étaient les suivants, qui choisiriez-vous pour devenir le président du conseil exécutif de notre collectivité majeure ? Une seule réponse possible par personne. Votre adresse email sert uniquement à vous connecter à votre compte google pour participer.
Une seule femme dans ce monde de brute. Y a pas phot.
Soyons très clair et proactif dans ce choix. Dans cette liste, j’ai choisi David Zobda, mais je garde un point d’interrogation pour Serge Letchimy parce qu’il a déjà présidé la région il n’y a pas si longtemps; et s’il revient ce sera une revanche et on ne veut plus cette attitude. Donc, il reste Mr Zobda qui est le seul joker avec son carisme et son expérience en gestion des affaires publiques. Il ne faut pas que les Martiniquais confondent la gestion d’une localité (petite taille ) et la collectivité territoriale avec un ou une présidente qui doit réagir en moins de 24h pour commencer un chantier en cas d’une urgence comme le manque d’eau, pour arriver sur un lieu de catastrophe naturelle, réagir dès l’annonce d’une pandémie, de compter le nombre des sans abris et trouver une solution après le comptage.
De recenser les maisons insalubres et les corriger le lendemain, d’augmenter les exportations, ne pas s’emparer du pouvoir et déléguer ses collègues et que la liste est longue. En de crise sanitaire comme maintenant, versez de l’argent immédiatement dans les comptes bancaires des habitants sans passer par la bureaucratie en s’assurant que la population mange correctement.
Par exemple si vous choisissez Mr Azérot, il n’est pas fait pour gérer les grandes structures et il y d’autres candidats dans le même cas que je vous donne le soins d’analyser leur personnalité.
Question sans objet : on n’élit pas le président du conseil exécutif, ni même les membres du conseil exécutif, mais les conseillers à l’assemblée. Ceux sont eux qui désignent les membres du conseil exécutif, dont son président, ainsi d’ailleurs que les membres du bureau de l’assemblée, dont son président, en commençant par ça, puisque c’est le plus important. Et oui… L’assemblée décide, le conseil exécutif prépare et exécute. J’ai fait un rêve : la CTM fonctionnait conformément à la loi, et les grandes décisions devenaient à nouveau débattues et publiques…
Mais comment peut-on ainsi diminuer la femme Martiniquaise pour ne pas proposer plus de Femme à cette liste !!!
Scandaleux !!!
Et pourtant Elles sont nombreuses à pouvoir faire aussi bien, mieux et autrement.
Mais comment peut-on, Nous les Martiniquais, se diminuer ainsi !!!+???
Cela démontre le masochisme politique qui règne dans l’île.
C’est important d’anticiper cette question concernant le représentant de la collectivité et du peuple. Je connais ma culture, la plupart des individus attendent le son de midi pour aller au marché. Man mail là yo inmin pren milan épi lè yo ten midi you ka mété yo ka couri enjadin pou raché chou épi dachine à la dernière minute pou yo mangé. Il faut ramener ce peuple à sa nouvelle construction avec une programmation et jusqu’à maintenant la Martinique attend patiemment de grands projets pour sortir de la clef de l’esclavage.
1- Quand je dis de grands projets, c’est une force architecturale présente comme la rénovation de la bibliothèque Schoelcher qui peut être annexé par une structure moderne avec des salles de conférences, de multimédia, un amphithéâtre et un hôtel d’accueil.
2- La construction d’un musée d’art contemporain pas en tôle, en pierre pour marcher avec le temps comme les usines de canne à sucre.
3- Un académie de musique pour que les martiniquais deviennent de vrais musiciens.
PAS DE CONSTRUCTIONS EN TÔLE. Il faut que la carrière de St-Pierre fournisse les blocs de ciment pour les futures constructions.
La Martinique doit augmenter son patrimoine architectural, ce que nous possédons actuellement fait pitié par rapport à la France. J’ai eu honte quand Stéphane Bern était à la recherche d’un quelconque patrimoine à la Martinique.
Laissez la place pour les vrais bâtisseurs. SVP !
Il n’est pas étonnant de voir que le département de la martinique figure parmi les plus violents avec les femmes. On n’a qu’à voir le nbre d’entre elle prête à postuler à une responsabilité à la ctm.Et pourtant elle sont 2 fois plus nombreuses ….. Une misère….
1- 2020 est l’année pour cibler les besoins d’une population. De 1950 à 2019, je pense que la politique à la Martinique a eu suffisamment de temps et d’expérience pour cibler et structurer une planification à long terme.
2- Je me demande combien de fois la CTM COMMUNIQUE avec la station météorologique sur les prévisions hydrique sur le territoire. Est-ce que cette collectivité territoriale est au courant de la station météo pour les prévisions en eau sur la Martinique ?
3- Il faut éduquer nos politiciens à gérer un dossier à la fois parce qu’il est inadmissible qu’une population manque de l’eau en temps de sécheresse.
4- Juste le fait de suivre les prévisions de la météo permet d’anticiper un manque d’eau dans une région.
5- Avec une infrastructure adéquate en assainissement d’eau potable, aujourd’hui les communes auront tout juste à gérer la pression en eau dans un système informatique installé dans leur mairie. Il faut que la Martinique s’implique dans son développement dans la distribution en eau potable et arrêter de rafistoler les tuyaux dans le sol.
6- De grands châteaux d’eau munis de panneaux solaires pour produire de l’énergie afin d’augmenter la pression de l’eau vers les points les plus éloignés de la Martinique; Ça prend une logique scientifique de la gestion.
7- La Martinique produit-elle des ingénieurs pour des emplois qui répondent à ses besoins ?
8- Les familles gaspillent de l’argent pour payer des études à leurs enfants pour être des ingénieurs en jeux vidéos, animation 3D tandis le pays manque cruellement de talents pour de vrais emplois de prestiges. Il faut arrêter cette plaisanterie.
En Afrique, les jeunes vont à l’étranger pour des études en photographie, en animations 3d, en jeux vidéos tandis que leurs pays ont de réels besoins en capital humain pour des secteurs comme la boulangerie, l’agroalimentaire, en urbanisme, en assainissement, en distribution d’énergie, en infrastructure routière etc…