Dans un communiqué, la Préfecture de Martinique annonce les mesures retenues par le gouvernement pour faire face au fléau des sargasses. Des mesures qui ne prévoient pas de collecte en mer des algues, et dont les limites pourraient très rapidement être atteintes compte tenu de l’ampleur du phénomène.
« Afin de faire face au phénomène d’échouage massif de sargasses, Nicolas Hulot, ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique et solidaire, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Annick Girardin, ministre des Outre-mer, ont annoncé plusieurs séries de mesures.
Ces mesures ont été présentées ce matin par Franck Robine, Préfet de la zone de défense Antilles et Préfet de la Martinique. Elles visent notamment à permettre la collecte des algues immédiatement après leur échouage, avant qu’elles ne se décomposent et produisent de l’hydrogène sulfuré. Pour cela, le Préfet en appelle à la mobilisation de tous, en premier lieu des maires et de l’Etat.
Ces mesures sont :
- La nomination d’un responsable national chargé de la rédaction d’un plan national de lutte contre les sargasses, décliné pour chaque territoire en plan d’urgence local sargasses (PULSAR).
- La mise en place d’un pilotage national par les ministères des outre-mer, de la transition écologique et solidaire, des solidarités et de la santé ainsi que du ministère de l’intérieur. Au niveau local, la coordination sera assurée par le préfet de zone Antilles, préfet de Martinique, en liaison avec les préfets de Guyane et de Guadeloupe.
- Le déblocage d’un fonds de 3 millions d’euros de crédits Etat pour l’acquisition, aux côtés des collectivités et des fonds communautaires, de machines performantes de ramassage et des équipements de protection individuels pour les équipes de ramassage (masques équipements et dosimètres)
- Le déploiement de moyens humains dédiés pour l’organisation et le ramassage. Une mission d’assistance de la sécurité civile (MASC) est dépêchée aux Antilles pour appuyer les activités de ramassage. Le régiment du service militaire adapté (RSMA) sera déployé de manière exceptionnelle. En complément, des personnes sous main de justice (TIG) seront mobilisées.
- Des actions de renforcement de la prévision des échouages : à court terme, par des survols aériens, à long terme par le développement de l’observation satellitaire notamment dans le cadre du programme européen COPERNICUS.
- Le lancement par l’ADEME de nouveaux appels à projets (1 M€) pour l’innovation sur le ramassage et la valorisation des algues, faisant suite aux appels à projet lancés depuis 2015.
- La poursuite du travail avec les instituts techniques spécialistes (comme l’Institut Technique Tropical – IT2 – ou le Centre d’Etude et de Valorisation des Algues – CEVA) sur la façon dont les algues peuvent être valorisées.
- Un renforcement du programme de recherche sur les sargasses et l’établissement de collaborations internationales sur le sujet, notamment pour connaître l’origine du phénomène.
- La saisine du haut conseil de la santé publique pour disposer d’un avis sur les conséquences pour la santé humaine des expositions observées.
- L’organisation d’une rencontre régionale sur le phénomène sargasses à l’occasion de la prochaine conférence de coopération régionale Antilles-Guyane (CCRAG). »
l’avantage d’amj et là, je suis forcé de rejoindre J V , c’est de nous faire la démonstration que pour la protection du peuple, la ctm ne nous sert à rien, si ce n’est … à polémiquer jusqu’à plus soif . d’autre part, le préfet n’a jamais eu autant de pouvoir, dans la tête des électeurs, dans toute l’histoire moderne du pays … et, pour finir, c’est pas la peine d’en avoir honte, … ça ne sert non plus, à rien !!!
Ambroise Capgras, Ambroise Capgras, Ambroise Capgras, c’est quoi au juste ce blog ? Politiques Publiques ou Politique Ambroise Capgras… et ses âââneries ?
En plus on dirait qu’ambroise est obsede par marie jeanne
Au fait ce qui peut paraître interessant dans cette lutte contre les sargasses ce sont les initiatives collectives. On voit a l’exemple du Robert les populations reunir leurs efforts pour eradiquer ou tout moins circonscrire le problème.Dans ce pays où l’individualisme règne en maître il est réconfortant que les gens s’unissent pour affronter un danger commun.Les liens s’en trouveront renforcés.
Concrètement, pour la zone du fond de baie au Robert, quartier Pontaléry, le Collège est fermé, les habitants de toute la zone sont à la peine.
La solution pour enlever les algues est d’une simplicité enfantine et consiste à rassembler du monde chacun avec une bonne fourche pour travailler selon des périodes de 3 heures, par exemple le samedi ou le dimanche.
Nous étions 20 volontaires la dernière fois, hélas il n’y avait pas assez de fourches.
Tout le monde à l’eau, il y avait 40 cm d’eau. Le travail consiste à rassembler les algues et d’un coup de fourche de les mettre à terre en tas.
J’ai passé 3 heures dans l’eau, comme tout le monde sans protection.
Constat : aucune allergie sur les jambes, respiration de H2S pendant 3 heures à plein poumon sans aucune gène.
Je signale que les riverains respirent cette merde 24 heures sur 24 heures.
Au moins un tiers des habitants du Robert sont touchés par cette pollution.
Il faut constituer une cellule de solidarité de 1000 personnes (ou 5000), armés de fourches avec 10 % de râteaux.
Appel au peuple en fonction des arrivages ; des observateurs évaluent les arrivages et convoquent les volontaires.
Avec les téléphones et internet cela est facile à gérer.
Remarque : le plus dur est le démarrage lorsque les algues sont vieilles, ensuite la récoltes des algues vivantes est de la rigolade.
Il sera demander à la municipalité de ramasser les gros tas d’algues déposés en bord de mer à des places étudiée, pas forcément tout de suite.
Un tout petit bakou avec une grande fourche sera utile pour prendre les tas et les porter dans la grande benne en bord de route
Pour terminer, un ti-punch bien dosé est conseillé pour décrasser l’intérieur des volontaires.
Nous avons une chance de fédérer la population pour lutter contre un fléau qui touche tout le monde. Cela est un entrainement pour résister au monde inquiétant qui se dessine.
Comment font les autres iles de la caraibes?
si c’était toi observateur, qui après plus de deux ans à la tête d’une collectivité quelle qu’elle soit, qui n’avait pris aucune initiative connue sur la question entre autres, des sales garces … c’est toi que j’interpellerais … mais, ce n’est pas toi ! désolé !!!
Fantasmagorique la lettre dans le france antilles qui critique la ctm de ne rien faire contre les sargasses et louant les actions ponctuelles de l’ancienne gouvernance en tant que simple citoyen je suis de plus en plus etonne de constater que la blablaterie n’a pas de limites
-ils proposent de mettre des barrages l’experience a ete faite a trinite il a rompu
-ils vantent des actions poznctuelles de brigades vertes qui ne spnt pas suffisantes
Ce probleme de grande ampleur commence a etre reellement pris en compte par l’etat car il necessite de connaitre la cause de phenomene donc recherches en mer etc de haut niveau avec moyens importants diplomaties avec d’autres etats moyens financiers
Il est important egalement de creer et developper des antennes de recherches sur notre environnement notamment maritimes
Il faudrait donc que la population et les politiques fassent bloc afin que l’etat agissent ce qui n’empe hent pqs d’enlever les sargasses comme la ctm le fait avec les coulees de boues du precheurs
Les mesurettes des blablateurs specialistes de polemiques steriles ne suffisent pas tous les moyens ne sont pas les bienvenus pour faire de politique politicienne et encore des blablateries de blabalateurs inefficaces sauf s’ils prouvent leur efficacite on attends tounours la station caca pres de galleria qui pue et qui attire les touristes c’est leur cadeau de bienvenue a fort de france
pp faite quelque chose ! … observateur nous pollue la tête !!! sinon vous risquez d’être confondu pour … non assistance à nombreux lecteurs en danger !
Tout le temps le même scénario, les sargasses vont encore apparaître parce que la mer ne changera pas de place. La logique veut que les municipalités rentre en action avant l’accumulation des sargasses. Quand ils vous dit c’est la responsabilité de l’État, les maires représentent qui ?
La CTM représente qui ? il faut sortir ces régions dans l’imaginaire. Il y a le préfet et l’exécutif de la CTM; Lequel des deux qui doit prendre l’initiative sur les arrivées des sargasses ? Encore la même réponse; c’est l’État.
- En plus, Il existe un organisme sur les risques des catastrophes naturelles ; Où est passé cet organisme pour tirer la sonnette d’alarme sur l’urgence de ramasser les algues au début de son échouage. – Encore le sommeil du TCSP qui domine partout dans les instances publiques.
Tout le monde veut être dans la rue pour marcher pour la réparation, il faut sortir dans cette somnolence et la population va être dédommager par l’action et l’audace de projets de développement.
Apparemment la guadeloupe etudierait un broyeur en mer
Ca associe a des barrages qui ne peuvent que provisoire plusbl’enlevement manuel pour le reste echoue sur les plages peut etre que cela soulagerait beaucoup les riverains….. en attendant
Ambroise tu voulais dire a pp non assistance a frustre en danger comme toi ben oui il faudrait deja que tu acceptes de te faire assister
On recherche des responsabilités politiques à un problème environnemental. L’importance du phénomène censé se reproduire chaque année donc reccurent devrait donner lieu a une reflexion plus profonde et à la mise en place des moyens humains et materiels perennes par les communes. .Comme pour l’hiver il existe des chasse neiges pour dégager les rues. Pourquoi les mairies ne s’équiperaient elles pas de chasses sargasses pour dégager les plages? De nouvelles formes de lutte mutualisees ou pas seront nécessaires pour contrer cette nature decidee à nous rendre coup pour coup.Cela ne fait que commencer tant cette nature peut nos reserver des surprises.Il y va de notre survie. Nos dix doigts ne suffiront pas a resoudre ce probleme il faudrait penser a utiliser nos cerveaux quoique paraît il passablements erodes par l’hydrogène sulfure..Decidement….