C’est un cri, une « Lettre à une femme d’honneur » que publient aujourd’hui des dizaines de femmes en soutien à Corinne Mené-Caster, présidente de l’UAG.
Madame la Présidente de l’Université des Antilles et de la Guyane,
Lorsque vous avez été élue en janvier 2013, nous avons célébré dans un élan de fierté, la
personne d’excellence que vous représentez.
Portées par vos projets et votre intelligence, nous avons continué à croire en votre
présidence éclairée.
Mais déjà un vent mauvais soufflait, que nous n’avions pas perçu.
Déjà, des sables mouvants mais ondoyants nous encerclaient.
Nous voyions une personne, quand d’autres déjà, détestaient la femme.
D’autres. Des mâles trépidant, arrogants, suffoquant de petites misères, étouffant dans leurs
gorges le mépris pour ce qu’ils ne pouvaient concevoir que comme une claque: une
Vaillante.
Les femmes qui faisaient partie du passé de leurs pères, celles qui trouvaient grâce à leurs
yeux, correspondaient au trope légué par des siècles de colonisation: avilies, résignées,
offertes aux crachats, négociées, répudiées, dérespectées, humiliées, blessées, trainées,
violentées, souillées, soumises, silencieuses.
Nous aussi, femmes et citoyennes, avons longtemps cru que la résistance des femmes
appartenait au passé…
Madame la Présidente, à travers votre pugnacité, votre combativité, vous nous avez montré
le chemin d’un courage que nous avions oublié, égarées que nous étions dans nos
servitudes acceptées.
Madame la Présidente, nous voudrions vous dire aujourd’hui, que vous forcez le respect de
Tous.
Votre promotion de (dés)honneur décernée par des mains indignes ne nous aveugle pas.
Nous l’arracherons de votre poitrine, Madame la Présidente. Car guerrières, à notre tour,
nous sommes (re) devenues.
Corinne, notre amie, notre soeur, tu n’es plus seule.
Nos mères n’ont pas trébuché. Nos filles ne chancelleront pas.
Premières signataires
Dominique Aurélia, Universitaire, Vice-présidente déléguée aux Relations internationales de
l’UAG
Cécile Bertin-Elisabeth, Professeure de littératures hispaniques, UAG
Christine Raguet, Professeure, Université Sorbonne Nouvelle, Directrice revue
Palimpsestes, Prix Baudelaire 2012
Sonia Marc La Sosso, Artiste
Nicole Cage, écrivaine
Raphaella Bé-Gros Mangin, directrice territoriale Conseil Général de la Martinique
Marie-Ange Bizon, UAG
Rachel Iffig-Dufour, enseignante, Avignon
Coline Lee Toumson, Directrice du Domaine de Fonds St Jacques
Skora Setti, Maitre de Conférences, UAG
Ourdia Kolewski-Setti, professeur documentaliste, Vice-présidente de l’Association
France_Palestine, Metz
Patricia Donatien, Maitre de Conférences HDR, UAG
Karine Bénac-Giroux, Maitre de conférences HDR, UAG
Nicole Koulayan, Professeur des Universités
Hanetha Vété_Congolo, Africana Studies, Bowdoin College, Maine, USA
Giliane Coquille
Audrey Coldold , enseignante, Lille
Stella Lellis
Marie-Laurence Delor, enseignante
Fabienne Cabord-Heinrich, Attachée territoriale, Conseil Général de la Martinique
Gratienne Laurence, ancienne Conseillère Régionale
Sonia Marthély, UAG
Annick Gottin, enseignante PRCE, UAG
Gisèle Nitiga, professeur de Lettres, Mayotte
Anne-Marie Carassou, Maitre de Conférences retraitée, Biarritz
Simone Fédée, Directrice du SUAPS, UAG
Manuella Merlin, secrétaire du SUAPS, UAG
Laurette Célestine, Maitre de Conférences, ESPE
Jo Gandrille, professeur des écoles
Solange Bussy, Universitaire
Maud Masse,UAG
Paulette Muday
Florence Duhamel, Londres
Jamla Medjahed Jamila, commercante
Joelle Bélisaire, commerciale
Gislhaine Tisserand, infirmière psychiatrique
Flora Cadrot
Leila Cardou, UAG
Malissa Conseil, Enseignante PRCE, UAG
Elodie Cocotte, UAG
Nadine Albicy, enseignante
Edrys Arnaud UAG
Myriam Moïse, enseignante UAG
Mirella Pelage, UAG
Sandrine Suffrin, UAG
Claudine Zidée,UAG
Mireille Savy, UAG
Chantal Dorville Doens, retraitée de l’UAG
Véronique Nait, Responsable Centre Documentation, Groupe ISA, Lille
Je vous soutiens également N’goala Raymonde , professeur des écoles
Des femmes intelligentes à priori mais qui se placent sur un « terrain » féministe que l’on qualifierait volontiers de « virulent » et, d’un autre temps, comme si les « malheurs » de la présidente de l’U.A.G provenaient de quelques « soudards » ivres en manque de respect pour la gente féminine qu’elle représente -
Soyons sérieux ! Toute cette affaire est beaucoup plus complexe que cela ! Pourrait-on réellement y faire un racourcis vers un manichéisme féministes versus machistes ?
Ces phrases laissent en tous les cas, peu de place à l’objectivité :
* » Nous aussi, femmes et citoyennes, avons longtemps cru que la résistance des femmes appartenait au passé… »
* « Votre promotion de (dés)honneur décernée par des mains indignes ne nous aveugle pas - »
* « Nous l’arracherons de votre poitrine, Madame la Présidente – Car guerrières, à notre tour, nous sommes devenues » -
On se croirait revenu en plein féminisme des années soixante-dix, pire nous voilà face à des « guerrières » telles Lumina Sophie, d’autant que ces gente dames se gardent bien d’évoquer l’éventuel rôle de l’actuelle garde des sceaux dans les problèmes qu’a rencontré Madame la présidente de l’U.A.G -
Après la signature du protocole de fin de conflit, voilà ce que répondait la présidente de l’U.A.G à une question qui « n’était pas piquée des hannetons » (Que pensez-vous de l’intervention de Christiane Taubira dans ce dossier) :
- C. Mencé-Caster – » Faut-il parler de Christiane Taubira ou de la garde des sceaux ? Il y’a une telle confusion des rôles et des positions… Ce que je me demande, c’est si on verrait ailleurs ce genre de situations, à savoir une garde des sceaux, un préfet et un recteur qui sont en train de débattre du démantèlement d’une université qui a pris près de quarante ans à se construire, et ce, à l’insu de l’université » -
Une « ode à la joie » féministe presque « castratrice » et, rien bien entendu sur l’implication du gouvernement et singulièrement de la garde des sceaux ? -
ANACONDA
Anaconda, je te soutiens à 100% pour ton analyse!
Comme quoi, quand tu sors de la logique de parti, tu es capable de bonnes choses.
Entièrement d’accord avec l’analyse d’Anaconda. Je ne me reconnais pas dans ces femmes car j’ai toujours été guerrière, je suis née comme ça. Et puis la féminité (je n’ai pas dit le féminisme) brandie comme arme, atout ou prétexte, très peu pour moi. Et je ne crois pas en la légitimité du féminisme qui se manifeste à tout bout de champ.
En revanche je salue le courage de Mme Mencé-Caster que je soutiens car je reconnais évidemment que la société reste machiste, alors, tenez bon Madame et bravo.
A LA LUMIERE DES RECENTS EVENEMENTS ,merci à rci, IL S AGIT DE IRRESPECT DANS LES PROPOS TENUS VIS A VIS DE LA PRESIDENTE DE L UAG ET QUI A ETE ATTAQUE AUSSI EN TANT QUE FEMME, comment peut on écrire ,dixit le journaliste de rci , dans un mail diffusé largement « qu’ on décidera de la violence des coups à donner » , comment après une interview d’une présidente en fonction ce meme monsieur écrit « manager une université s apparente à un défilé de mode ou à un concours de beauté »????
Sincèrement je pensais que ce genre de macho n existait plus, rien ne justifie que ce pseudo universitaire use d une telle violence? On peut ne pas etre d accord et défendre ces idées dans le respect de l ‘autre. Ce monsieur fait honte à la Martinique.
Dans cette affaire, il y a de la violence de part et d’autres.
Ce monsieur dont il est question a été jeté en pâture à la vindicte populaire ( traité de mafieux, voleur, sexiste. tract anonyme…) . Lui-même et son entourage ont bien été confrontés à la violence . Tant que la justice ne s’est pas prononcée, tout individu est présumé innocent. Une plainte a été déposée, pourquoi ne pas laisser la justice faire son travail ?
Je suis désolé de voir que pour un sujet aussi sérieux de voir ce sexisme qui me chagrine beaucoup!
Le ton est donné! Je cite!
Des mâles trépidant, arrogants, suffoquant de petites misères, étouffant dans leurs gorges le mépris pour ce qu’ils ne pouvaient concevoir que comme une claque : une Vaillante. Fin de citation.
Que des noms de femmes sur cette liste?
Les hommes seraient-ils des parias et n’ont-ils pas pris la défense de notre amie et sœur, Corinne MENCE-CASTER?
Cela me rappelle L’UFM et son cheval de bataille à faire passer tous les hommes pour des violents en occultant pour des raisons obscures que nous devinons, la violence larvée des certaines femmes.
Certaines femmes ont pour mission de détruire la famille nucléaire et s’en donne les moyens avec un état complice.
En tout cas, Madame Corinne MENCE-CASTER, je vous soutiens dans votre combat! Sachez que beaucoup d’hommes sont de votre côté!
Sachez faire la différence et dites vous d’où vient le vent mauvais et qui sonr les femmes ministres du gouvernement Hollande qui vous ont affiché leur mépris souverain?
Le TEMPS ME DONNE RAISON…!
La ou il y a Taubira, il y a Vallaud-Bel, et vis-versa…! Et AUTRES…!
L’ère des Amazones est arrivée…!
Reprendre mes post sur le Mariage pour tous…!
Les lois sur l’égalité…!
Les violences…!
L’affaire Taubira…etc.etc.
Encore une fois je rejoins ANACONCDA.
En ce qui me concerne je n’attends plus que le repos ETERNEL…!
PAUVRES GENERATIONS FUTURES…!
Waye manikou..!
Une fois n’est pas coutume, Monsieur l’ANACONDA, mais sur ce sujet je partage votre point de vue.
Ce sujet est trop grave pour qu’il soit accaparé par des factions. Ce qui est en cause, c’est davantage la nécessité d’un renouvellement des dirigeants et surtout l’assainissement des pratiques.
C’est un très beau et juste texte…Je cite notamment: « Nous aussi, femmes et citoyennes, avons longtemps cru que la résistance des femmes appartenait au passé… ». Où en sommes nous aujourd’hui??
Le texte est juste, opportun, actuel.
Devant la droiture d’une femme d’honneur, des hommes, non tous les hommes, ne peuvent la salir, aisément, sans scrupule, parce que cette femme est droite et femme.
Beaucoup reste à faire, 2014 n’est pas 2054…
J’apprécie bien cette femme, mais ce n’est pas lui rendre service que de l’enfermer dans des éloges marqués d’un tel sectarisme. N’est-ce pas une manière de l’étouffer sous des embrassades ?
Inspectrice de l’Education nationale, Académie de Lyon
je ne fais pas partie de l’élite enseignante , mais je tenais tout de même à me joindre à vous et vous témoigner de ma solidarité , car je suis l’actualité de cette présidente et je felicite de son sang froid et de sa ténacité. …. bon courage!!!!…..
Un peu d’histoire sur le amazones au temps de l’antiquité.
Première partie
La tribu des Amazones incarnait la crainte Grecs de l’Antiquité envers le sexe féminin, puisqu’elle regroupait des femmes à la fois égales et rivales des hommes. Selon les dires des plus anciennes légendes qui traitent des Amazones, ces femmes étaient affreuses. Toutefois, avec le temps, on leur conféra une beauté si grande qu’elles étaient devenues irrésistibles. En bref, chacune de ces femmes unissait en elle le côté charmeur et sauvage du sexe féminin ainsi que le côté brutal et terrifiant du barbare.
Les Amazones étaient des descendantes d’Arès, un dieu violent qui incarne la guerre, et de la Naïade Harmonia. Ces grandes guerrières s’étaient établies dans le Caucase et les plaines du Danube, près de la mer noire. Leur principale cité se nommait Thémiscyre. C’est d’ailleurs là que vivait la reine des Amazones, celle qui avait l’autorité sur toutes les autres.
Par ailleurs, les Amazones avaient un mode de vie pratiquement indépendant des hommes. Elles ne fréquentaient les mâles des tribus voisines qu’une fois par an et uniquement pour se reproduire. Par ailleurs, elles élevaient avec soin leurs filles, mais tuaient ou mutilaient leurs enfants mâles en les rendant aveugle ou boiteux. Les quelques jeunes hommes qu’elles gardaient en vie étaient destinés à devenir leurs esclaves.
Dès qu’il en était possible, elles se coupaient le sein droit afin de mieux tirer à l’arc. D’ailleurs, elles manient très bien toutes les classes d’armes, mais c’est à l’arc et à la lance qu’elles sont les plus habiles. Elles élèvent aussi elles-mêmes leurs chevaux, afin de les préparer pour les rudes combats.
Enfin, ces femmes n’étaient pas que de redoutables guerrières, elles étaient aussi des chasseresses habiles et des prêtresses dévouées. Elles furent d’ailleurs souvent associées à Artémis, la déesse chasseresse. Ces femmes ignoraient toutefois tout de la navigation et de la culture de céréales, elles ne se nourrissaient que de viande et ne voyageaient qu’à dos de cheval.
Leurs rencontres avec les Grecs
deuxième partie.
Les récits au sujet des Amazones nous renseignent surtout sur leurs guerres contre les principaux héros grecs comme Bellérophon, Thésée, Achille et Héraclès (Hercule). Par exemple, un des travaux d’Héraclès (le neuvième) était de voler à Hippolyte (la reine des Amazones à cette époque) la ceinture qui lui avait été offerte par Arès et qui était l’insigne du pouvoir de ce dieu. La reine aurait volontiers accepté de donner sa ceinture au héros, mais la déesse Héra excita les Amazones à une révolte. Héraclès fut donc forcé de tuer la souveraine et plusieurs de ses semblables. Par la suite, le héros Thésée, qui se trouvait avec Héraclès, kidnappa Antiope, la sœur d’Hippolyte.
Afin de récupérer leur nouvelle reine, les Amazones poursuivirent Thésée et allèrent jusqu’à attaquer Athènes, elles furent toutefois vaincues par les Athéniens, commandés par Thésée.
Les Amazones fascinèrent plusieurs héros, dont l’invincible – ou presque – Achille. Vers la fin de la guerre de Troie, alors que les Amazones venaient au secours de Priam, le vaillant héros a poignardé la jolie reine Penthésilée. C’est cependant à ce moment fatidique qu’il a découvert sa passion envers elle. Il a pleuré et s’est lamenté sur son cadavre ; il trouvait pénible de la voir morte si jeune et si belle. À la vue de ce spectacle, Thersite, un guerrier réputé pour sa laideur et sa lâcheté, sa moqua de l’amour d’Achille, allant même jusqu’à crever les yeux de l’amazone avec la pointe de sa lance. Furieux, Achille se précipita sur Thersite et le tua de maints coups de poings.
Troisième partie.
Pour terminer, les Grecs réussirent une fois l’exploit de capturer des Amazones, mais ils ne survécurent pas pour raconter ce haut fait. En effet, rendues captives à bord du bateau grec, elles parvinrent à se libérer et à prendre possession de l’embarcation. Elles ont accosté avec difficulté près d’une cité de guerriers mâle, les Scythes. Un bref combat s’amorça, mais la mêlée se termina en séduction sur la rive. Les hommes et les femmes des deux tribus s’unirent sur la plage sous le soleil chaud. Ces Amazones ont finalement acceptées le mariage, sous leurs propres conditions, et les Scythes espéraient que de bons guerriers naîtraient à la suite de cette union. En somme, les deux tribus se joignirent pour un mode de vie différent qui fit naître un tout nouveau peuple; les Sauromates.
Source: forumpro.fr
Merci AU NOM DU PEUPLE
Je comprend mieux L’origine des :
« …Femen (aussi écrit FEMEN ; en ukrainien : Фемен) est un groupe féministe d’origine ukrainienne, fondé à Kiev en 2008 par Anna Hutsol, son actuelle présidente… »
Ces femmes qui viennent du Froid…!
les femmes font elles peur à ce point à nos ti mal martiniquais pour qu’ils attaquent ces femmes signataires?
Chacun avec un discours différent qui cache le même mal être masculin.
Cela émane que de femmes et alors ?
elles sont bien le droit d’exprimer ce qu’elles ressentent en tant que femmes intellectuelles , au moins elles ne laissent pas quelqu’un d’autre, qui ne connait pas leur ressenti, le faire à leur place.
Quelque fois je surprends des attitudes contradictoires chez certains, qui réclament prise de responsabilité, indépendance, autonomie, fin des non dits, etc…
Elles prennent leur place dans notre société à leur convenance, pour le moment c’est l’heure du combat pour avoir cette place, après viendra l’apaisement.
allez mes frères, ne soyez pas angoissé, elles n’ont pas de lame de rasoir pour vous châtrer.
A moins que ce sont de nos parties que nous pensons détenir un pouvoir.
Je discutais avec des « frères » de leur fantasmes sexuels: majoritairement ils adoraient les rapports saphiques, et je leur fis remarquer qu’ils étaient tous pourtant plus ou moins contre l’homosexualité et que de plus ce type de rapport exclus le mâle du plaisir féminin.
Vite un psy :-))
Le problème de l’U.A.G. est trop grave pour que l’on ne se perdre pas dans des luttes qui n’ont pas lieu d’être. Est-ce parce Mme MENCE-CASTER est une femme qu’elle rencontre des diffultés dans sa mission ? C’est la question que l’on devrait se poser. Et cette initiative ne risque-t-elle pas de brouiller les cartes et d’avoir un effet contre-productif ? Je m’interroge (si tant est que je le puisse, mâle que je suis).
Il faut admettre que comme toute personne une homme peut réussir et un homme peut échouer.
De même, il faut admettre qu’une femme, même d’honneur peut réussir mais peut également échouer. Donc, il est inutile de tout mettre dans la vision manichéenne du combat des sexes.
Une fois n’est pas coutume.Et les femmes, n’en déplaisent à certains hommes, englués dans leurs contradictions, plutôt que d’approuver cette solidarité féminine, trouvent des reproches à faire. Oui, parce qu’ils ne savent quoi dire, lorsqu’un président de collectivité, feint d’ignorer une lettre de la présidente de l’UAG,apportant des observations pour aider à chasser cette obscurité permanente au sein del’UAG. Qui ne demande qu’à être protégée et défendue ( et sa présidente l’a bien compris).Il y va de l’avenir de nos jeunes et permettre à la Martinique de rester parmi l’élite…
Ne confondant pas tout, même si nous pensons que de hautes personnalités de là-bas n’ont pas arrangé les choses. Aussi, n’ignorons pas un coup de mains de certaines personnalités des Antilles… Il s’agit d’être solidaire d’une femme de courage, d’abnégation et qui a su prendre la bonne décision.Sans avoir peur. Il est quand même étrange que ça soit une femme qui nous donne, à nous les hommes , la méthode à employer. Si ces prédécesseurs avaient eu un tel courage, ce problème serait déjà résolu.Et l’UAG serait débarrassée de ces obstacles qui hypothèquent son Avenir.
Alors, Madame, je ne peux qu être solidaire à »Lettre à une femme d’honneur »! N’en déplaisent à quelques esprits chagrins qui doivent encore à apprendre à faire la part des choses; et qui sont toujours prompts à défendre l’indéfendable… Soyons neutres et oublions que le parti que nous soutenons est irréprochable.
Ce texte est absolument ridicule !!!! Anaconda d’accord totalement. Mme mencé caster ne savait pas où elle mettait les pieds. Et elle pleurniche maintenant ?
Ce texte est une HONTE pour les femmes !!!! Une HONTE tout simplement. Enfant gâtée qui a toujours tout eu et qui là qu elle est dans la vie réelle demande du soutient ? Ce soutien la ridiculise encore plus. Signe d incompétence et de faiblesse. Horrible !!!
@ Solange
« Mme mencé caster ne savait pas où elle mettait les pieds. »
Elle savait parfaitement mais voyez-vous: il n’est pas donner à tout le monde d’avoir le courage de faire cesser « des pratiques mafieuses » et de vouloir faire la lumière sur l’évaporation de plusieurs millions de la comptabilité de l’UAG.
Et vous Mme: Si vous assistez à un abus; Que faites vous? vous fermez les yeux. Vous êtes une adepte de la concussion et de la lâcheté. C’est cela?
« Et elle pleurniche maintenant? » Et où avez vous donc entendu cette dame pleurnicher. Koté? kitan?
Vos paroles puent la haine et la jalousie. HORRIBLE
Nous vous remercions de veiller à conserver des échanges sereins et sans agressivité.
Pas très doué en comptabilité publique. J’aimerais comprendre comment des millions d’euros ont pu s’évaporer de la comptabilité de l’UAG. Quid de l’ordonnateur des dépenses (président) et le comptable publique dont les biens personnels sont gagés ?
J’ai souvent entendu parler de pratiques mafieuses : implique t-elle les présidents et les agents comptables, les seuls à pouvoir faire sortir l’argent d’un établissement public comme l’uag et d’autres .Quelles sont ces pratiques mafieuses dont il est question ?
Enfin , Je profite de l’occasion pour vous demander de m’éclairer sur le lien entre ces pratiques mafieuses dont il est souvent question et le départ de la Guyane. Est ce là encore un problème de sexe.
Solange !! Qui pouvez-vous convaincre ? Soyez moins envieuse ! Vous pensez vraiment que notre présidente demande un soutien à quelqu’un ? qu’a-t-elle à craindre ? La jalousie est un vilain défaut !!! la Honte est pour qui? Sinon ceux qui n’ont aucune honnêteté et qui reçoivent votre soutient!! mé wi nèg kont nèg. Zot pa wonte ! Matinik nou piti nou piti.
Nou la épiw Présidente; Vwéyé dlo nou ka tjiré
La question que nous devons nous poser et qui est essentielle, est celle-ci?
Le problème au sein de l’UAG est-il celui des femmes uniquement?
Mais, je conçois que je peux me tromper!
Je ne comprends pas pourquoi tant de virulences à propos de cet article. Cela montre au contraire que le combat pour l’égalité est loin d’être terminé. La société matrifocale (et non matriarcale) martiniquaise est assise sur ses certitudes au point de nier l’évidence: les hommes dominent cette société et trouvent en plus des femmes pour les soutenir dans la bêtise de leurs propos. On a pas besoin d’être enseignante pour se sentir concernée, c’est le combat de toutes les femmes travailleuses ou au foyer ,pour que l’on soit vu autrement que comme un troupeau de féministes, lorsque l’on demande plus d’égalités et plus de respect. C’est quand même malheureux que cette lettre déclenche autant de passions. Je l’avais vu que comme une simple lettre de soutien et pas autrement!Comme quoi il y aura toujours des gens avec un esprit étriqué, incapables d’aller au delà leurs préjugés, pour critiquer et faire des polémiques. On peut être un homme et soutenir cette lettre. Pour finir les enseignants, ne font pas partie de l’Elite . En tout cas je le vois ainsi pour ce qui concerne le Primaire.
Mes respects pour Madame Corinne Mencé Caster. Mais pour l’auteur du texte, votre bonsai cache très mal la foret.
je soutiens également madame la présidente mais je suis atterré du constat que certaine femmes qui se disent libérées depuis mai 68, sont psychologiquement esclaves de leur mal être qui n’est pas forcément lié directement aux hommes…en tous cas mme caster et toutes celles qui prennes leur responsabilité, se battent sans mettre en avant d’abord leur mal être gage de non crédibilité…si l’on va au fond des choses, on se rend compte que nous sommes les principaux responsables de ce nous avons fait de notre vie et que montrer les autres du doigt devient une forme de lâcheté.ce combat homme femme est selon moi, d’arrière garde.
Ce texte n’est en rien un énième combat des sexes:
« quand nous voyions une personne (un être humain) ,ils détestaient la femme ».
Ce sont certains qui ont ramené cette affaire sur le plan « genré ».
j’ai voulu saluer le combat d’une femme qui a osé ce que ses prédécesseurs n’ont pas eu le courage de faire.
J’ai voulu lui dire que oui, malgré tous nos combats (merci Mai 68) nous devons malheureusement continuer.
J’invite les hommes qui m’ont sollicitée pour être signataires de cette lettre, à le faire.
J’invite tous les hommes de bonne volonté à nous rejoindre.
La lettre de 50 femmes amazones a semé un émoi parmi la gente masculine et j’invite toutes les femmes signataires, à faire des excuses pour des mots portant en eux une violence inouïe.
Jugez!!!
Des mâles trépidants, arrogants, suffoquant de petites misères, étouffant dans leurs gorges le mépris pour ce qu’ils ne pouvaient concevoir que comme une claque : une Vaillante.
Notre chère présidente de l’UAG, ne peut ne pas être au courant de la portée de ces phrases assassines à l’encontre des mâles, comme elles disent!
Aussi, j’invite Corinne MENCE CASTER, à dénoncer publiquement sur PP, ces propos sans aucune ambiguïté et demander à ces femmes qui semble la soutenir, de le faire sans dénigrement des hommes et par dessus tout, de respecter l’humain dans toute sa diversité.
Oui ce sexisme et cette attaque contre les hommes sont indécents. Mme Mencé-Caster et son comité de soutien doivent s’excuser. Le comité de soutien l’enfonce. La pauvre fille…
Excusez-moi, mais cette fille certainement intelligente est malheureusement insérée dans un milieu qui la conduit inexorablement à sa perte. Pendant la grève en Guyane, on traite les guyanais de racistes, de xénophobes; Politiques Publiques même avait publié un mail dans lequel son milieu met en place un projet pour envahir l’assemblée de la Région Martinique…. l y a de gros problèmes à l’université. La Guyane obtient bientôt son indépendance. Il faut réfléchir à comment la Martinique et la Guadeloupe doivent faire face. Au lieu de cela, on pond ici un message « amazoniste ». En quoi ce message permet-il de résoudre les problèmes posés à l’université? L’éclatement de l’université est-il le fruit d’un combat mal-femelle?
Ces sorties étalent-elles autres choses que les errements d’un groupe ou la légèreté est reine?
Je suis totalement solidaire de ce mouvement de soutien de femmes à Corinne Mence-Caster. C’est une femme courageuse et qui force le respect.
quand on lit ces déclarations et ces post , on comprend maintenant pourquoi les Guyanais et Guadeloupéens ont décidé de partir en courant et de faire leurs propres Université .
Ce n’est qu’un début, car dans le temps, nous auront certainement d’autres révélations sur la gestion catastrophique de ces orgueilleux Martiniquais qui avaient la prétention d’en imposer aux autres .
c’est toujours pareil avec les fonctionnaires : « donnez moi le fric et je fais ce que je veux sans vous rendre de comptes » et après , ils sont très surpris lorsque la cour des comptes les épingle .
Dans le privé, ces gens la auraient été depuis belle lurette licenciés pour faute professionnelle .
Et voilà qu’après avoir placé le débat à tort sur un antagonisme Hommes/femmes, on le déplace pire encore vers une opposition Antilles Guyane voire Guyane/Guadeloupe contre les, je cite « prétentieux Martiniquais » ; Il y en a qui ont toujours des comptes à régler et des coutelas à tirer ; c’est ne rien connaître du fond, de l’origine, de la cause et des conséquences de cette affaire. On a beau expliquer, rien n’y fait ; chacun détricote à loisir, y retire son fantasme ou son grief et dénature l’ensemble. En un temps où seule une solidarité caribéenne d’acier pourrait retirer nos territoires du sommeil profond, du marasme économique, sociétal et social dans lequel ils sont plongés, on oppose bêtement hommes/femmes, Antillais et Guyanais. Quel bel hommage rend on là à Mme Mencé-Caster, une femme effectivement exceptionnelle qui aurait pu être un homme, un ou une guyanaise, une Guadeloupéenne sans qu’aucune miette de son intelligence ou de sa pensée eusse variée; je sais à quel point, pour la bien connaître, son farouche objectif était de faire de l’UAG un outil puissant, efficient et affuté, vecteur du développement intellectuel et économique de TOUS les Antillo-guyanais sans le moindre sectarisme et le moindre parti-pris. L’avenir nous dira ce que ce démantèlement imbécile, pour des raisons bêtement idéologiques politiques aura apporté à nos peuples. Si Delgrès, Monnerville ou Césaire voyaient çà !
» une femme effectivement exceptionnelle qui aurait pu être un homme, »
c’est quoi ce truc?
Une femme intelligente et pugnace qui a une vision, un projet et qui s’implique. Elle mérite le soutien de tous !
Je trouve aussi que le texte est un peu excessif et inutilement agressif à l’encontre des hommes. Je ne sais pas si en tant que femme, j’aurais signé cette mouture bien que je sois en phase avec un soutien sans faille à Mme Corinne CASTER-MENCE.
Est-ce qu’elle-même l’aurait signé?
Je crois qu’il suffisait simplement de rappeler tout ce qu’elle a fait (et pas seulement lors de son combat pour maintenir l’UAG) et de lui rendre hommage pour ses qualités de « fanm doubout ».
Je trouve qu’elle est courageuse, pugnace, intelligente et qu’elle a fait preuve, jusqu’au bout, d’une grande sincérité dans son désir de faire naitre une Grande Université.
Qui, avant elle, avait osé dénoncer les pratiques de M. CELIMENE?
Je dis : « Chapeau! » et si on en avait dix comme cela à des postes de responsabilité, le pays s’en porterait beaucoup mieux.
Et tant pis pour les esprits chagrins qui reviennent à leur vieilles rengaines « anti-tout » : anti-femme, anti-martiniquais, anti-UAG….
Pugnace, je le suis!
Visionnaire, pa memn palé!
Céline, j’attends ton soutien! J’attends de faire un duo avec toi! Tu sais où me contacter!
Mais, comme disait ma grand-mère Séphostène, (qui avait des dents de « kribich »), lorsque je l’avais amené sur le Vieux port à Marseille.
Entre nous, elle avait lu Césaire!
« Quand les crevettes hermaphrodites copulent dans la baie de Marseille, ça fait des petites vaguelettes moutonneuses qui viennent s’écraser, ondoyantes, sur les rochers séculaires, comme des vagues de cristal. »
Va chercher! Fiche que ma grand-mère avait de belles paroles!
Finalement cette histoire pète à la bouche des martiniquais entre eux et ce n’est que justice !!!
Tout ça est parti d’un hold-up up des martiniquais sur les présidences de l’UAG depuis quelques années et finalement c’est chez eux qu’éclate le plus gros problème. A mourir de rire…. Zôt chèché zôt touvé..
Avaient-ils réfléchi aux conséquences de ce énième hold-up sur la présidence ??? Mme Mencé-Caster ne récolte que ce qu’elle et ses amis ont planté. Elle a accepté d’être la femme de paille, elle voulait être présidente à tout prix ? Alors qu’elle préside !! Et qu’elle préside tout !! Tout ce qui découle de sa présidence.
Quel dommage qu’aucun comité d’hommes n’ait soutenu M. Virassamy quand les amis de Mme Mencé-caster, Saffache en tête, l’ont débarqué avec leur coup d’Etat.
Faut vraiment arrêter avec ce pathétique féminisme de classe et de caste. Les combats féministes valent bien mieux que les états d’âme d’une petite caste qui se prend les coups qu’elle mérite à juste titre. On vous attend désormais sur tous les autres vrais combats pour les femmes, toutes les femmes. Pas seulement votre amie malmenée dans sa fonction de femme politique publique donc exposée aux coups qui existent dans la vie politique et dans les combats de la vie publique.
par jacko
Jackie on va faire simple
Cette histoire pète à la bouche de tout le monde
La presidente est elue par 14 gwada 14 gayana et 14 mada donc le hold … je vois pas ou est le hold up.
Elle préside tellement qu’elle deterre tout ce que les anciens presidents males gwada comme mada avaient enterre, zappé, pas vu, soutiré, oublié et j’en passe.
Sa té séré, i touvéy !
Nous constatons que les problemes de guyane ont éclaté aussitot qu’ont été ecartés les personnels susceptibles d’empecher les pratiques epinglées par la cour des comptes.
Je veux donc qu’on m’explique pourquoi certains s’enervent quand les choses remontent…
Je veux que l’on m’ explique en quoi il est utile à la recherche universitaire et au developpement de mon pays que MES IMPOTS financent 8000 euros de portable….
Je veux que l’on nous explique en quoi nous, 971 972 et 973, serions si exceptionnels que nous puissions disperser nos forces (elles valent ce qu’elles valent) tandis que des pays souverains construisent ensemble…
Une telle perception des choses est à mourir tout court….. ou à dessein…
Apres tout, nos mandarins professionnels continueront de toucher leur 4,5,7 ou 8000 euros par mois et par tete de pipe n’est ce pas… avec peut etre pour certains une presidence de centre universitaire (le premier au village…. )
Nous avons tous vu passer des tracts, des mails, entendu des propos …inacceptables au regard du respect du à la fonction, inadmissibles quand il s’agit de servir d’exemple à notre jeunesse, relevant probablement de la faute profesionnelle…
Pensez vous qu’un universitaire, homme ou femme, s’engage à des responsabilités pour recevoir ce genre de coups ?
Ne pensez vous pas que cette lettre, au contraire est bien pudique au regard de la réalité, evitant de parler crument d’un malaise bien plus … grave ?
Peut etre faudrait il poser la question a nos etudiantes….
Pensez vous que certains propos, certaines « promesses », se seraient ainsi exprimées si leurs auteurs savaient qu’ils pouvaient tres bien « s’en prendre une » ?
Hein Jackie…
Les réalités sont ce qu’elles sont. Il faut des mots pour les signifier…Je le redis, c’est un beau et juste texte.
Bon, cette lettre de soutien ou du moins l’analyse de ses signataires démontre l’isolement de Mme la Présidente, pas une femme de la société civile, pas une chef d’entreprise, pas une profession libérale, pas une femme journaliste, que des femmes fonctionnaires…. circonscrites au petit cercle de l’UAG. Bref des copines quoi qui soutiennent leur copine. Quoi de plus naturel ! Et encore moins aucun soutien masculin ! Cette lettre au ton rétrograde « féministe années 70 – Antoinette Fouque » vient au contraire plutôt affaiblir l’image de la Présidente de l’UAG plutôt que la renforcer. En effet pour assoir véritablement l’autorité bafouée chaque jour et sur les trois territoires de Mme la Présidente, il eut fallu un vaste mouvement de soutien émanant de tous les corpus des sociétés antillo-guyanaise. Là à quelques exceptions près, nous sommes sur un mode de repli Martinico on ne sait quoi. C’est assez pathétique surtout lorsque l’on analyse la plupart des comportement de ceux qui ont porté Madame la Présidente, lesquels voudraient nous faire croire à leur « toute nouvelle virginité ». Ben voyons, si c’était simple que cela ! Triste spectacle de bout en bout, auquel nous assistons bien malgré nous. Vous savez quoi, il y a une telle vacuité de charisme, d’autorité naturelle, qui forcerait le respect, que des donzelles se croient si finaudes, qu’elles partent en guerre tête baissée afin de soutenir « leur exceptionnelle amie » ! Triste Martinique ! La suite au prochain numéro de ce long feuilleton. Arroseurs (ses) arrosés (ées) !
Le problème avec les universitaires, c’est leur langue….
Ils savent t’injurier sans nommer ta manman, te salir sans te toucher….
Et de plus, toutes ces phrases fleuries et si bien tournées nous font oublier l’essentiel :
Ka yo fè epi lajan la??????? Epi IMPO AN NOU!!!!!!!!
Trouvez moi un reproche justifié à adresser à cette presidente
Ca ne choque personne que les individus au centre des enquetes (ministere, brigade financière, prefecture ) soient ceux là memes qui se permettent de tels debordements et qui font parler d’eux depuis tant d’années. Ce serait etre amateur, que d’ignorer le devoir de reserve imposé par la fonction…
Pourquoi brusquemment, toutes ces femmes reagissent elles?
N’y a t’il pas sur cet etablissement, un probleme recurrent, des faits, des histiores? (je parle là des femmes )
Je vous l’ai deja dit ….. Posez la question!
Nous avons tous vu les mails, les tracts, entendu les « promesses »…
Il existe des instances qui auraient du déjà reagir….. A se demander s’il ne vaut pas mieux avoir des copains que des copines….. pffff
Je vous le redis; jamais lors les tensions passées, les attaques n’avaient été à ce point déplacées….
On ne placarde pas la photo de quelqu’un n’importe ou.
l’on ne promet pas des coups à une femme … meme à un homme!
Je ne comprends pas que l’on tergiverse sur ce plan.
Que de haine et que de bêtise suscitées par cette initiative maladroite !
Ce que l’on peut dénoter c’est que si cette discussion révèle les clans à l’intérieur et à l’extérieur de l’UAG, jamais le fond du problème n’est abordé.
Qu’a fait l’actuelle présidente de l’UAG pour elle être ainsi vilipendée : elle a tirée les conséquences des audits et des agissements qu’elle a constaté. Fallait-il le faire ? Fallait-il couvrir des actes pour le moins inexpliqués, voire répréhensible pénalement ? C’est à ces questions qu’il convient de répondre.
Pour le reste, toutes les attaques en dessous de la ceinture , sexistes, corporatistes des vieux de l’université ne sont que des tentatives d’enfumage.
Nous saurons bientôt si nous sommes dans une démocratie ou dans une république bananière.
Bien que n’étant pas moi-même une dame mais un monsieur, je m’autorise à me joindre aux signataires de ce texte de soutien à Madame MENCé CASTER.
L’ayant observé au campus de Schoelcher et ailleurs en compagnie d’étudiants, je suis persuadé de sa détermination, de son engagement auprès de la jeunesse antillo-guyanaise. Que la crise de son début de mandat la renforce, c’est ce que je lui souhaite car elle a, c’est mon intuition, encore beaucoup à donner et à montrer aux générations futures.
Gardez la tête haute, Madame, le cœur vaillant. Nos jeunes ont encore grand besoin de modèles comme vous.
René LOCKHART
Les problèmes qui se posent aujourd’hui à l’UAG ne sont pas réductibles à un débat de « genre ». La revendication d’une Université Guyanaise de plein exercice n’a aucun caractère machiste. Elle est politique, elle concerne en effet le pouvoir des guyanais sur la définition de leur propre avenir. De même, le conflit qui oppose depuis toujours la Faculté de Droit et d’Economie à la Faculté de Lettres et Sciences Humaines du pôle Martinique – conflit qu’on a cherché à exporter vers les autres pôles, concerne aussi des questions de pouvoir.
Les dysfonctionnements comptables et financiers pointés par la CRC et dénoncé par l’actuelle présidente ne datent pas d’aujourd’hui et ont concerné par le passé tous les camps. Par ailleurs, ceux qui ont porté à la Présidence Madame MENCE-CASTER sont, à peu de chose près, les mêmes qui ont assuré la victoire de son prédécesseur et qui sont restés silencieux sur les dérives qu’ils dénoncent avec acharnement maintenant. C’est que l’alliance d’hier avait intégré quelques-uns du camp adverse pour l’emporter, dont celui qu’on voue aujourd’hui aux gémonies. La singularité de la situation est l’impression d’une collusion décomplexée entre la structure de recherche mise en cause et le Président de Région qui en dépit de la mise en cause de la CRC a fait voter par sa majorité une subvention de plus d’un million d’euros (il se sont dédit une semaine après).
La Présidente de l’UAG a fait, c’est vrai, ce qu’il fallait faire sur ce dossier. Et si on parle de courage c’est qu’il y avait un risque important. Reste qu’on aimerait pouvoir l’identifier un peu plus clairement. Ce courrier ne nous aide guère et ce qui a déjà été dit est insuffisant.
C’est la raison pour laquelle on ne voit pas très bien, en définitive, la cible de cette lettre de soutien et qu’on a le sentiment que tout n’a pas été dit.
FEMME d’honneur! que toutes les signataires arrêtent de racoler des signatures. la passion de certaines signataires de par leurs relation avec la presse ne les rend pas crédible au yeux de la population. Soyez mesdames sérieuses ! Dites nous franchement ce qui vous a motivées pour sauver : FEMME d’HONNEUR. Gardez votre énergie pour vos enfants, petits enfants et époux compagnons. ARRETEZ VOTRE NUMERO
Chaque département doit pouvoir disposer de ses facultés , Il fallait terminer avec la tutelle martiniquaise sur les autres. Ce que les intellectuels de chez nous appellent colonisation. J’estime que la Martinique était depuis longtemps dans cette phase à l’égard des deux autres. C’est mon point de vue !
J’en viens à madame Caster, personne que je ne connais pas du tout. je trouve que sa position exigeait qu’elle fasse un audit, c’est se protéger des malversations potentielles des autres , Elle a démontré une honnêteté sans faille dans ses nouvelles fonctions.
De là à dire qu’il y a eu complot en haut lieu en faveur du démantèlement de l’UAG, pourquoi pas? Les Guyanais et Guadeloupéens ne sont pas des crétins, bien au contraire ils sont réalistes, donc ils agissent dans l’intérêt de leur département. Qui ne peut comprendre et admettre cela ? Vu les portefeuilles que leurs ressortissants tiennent au gouvernement, ils auraient tort ! j’approuve !