Tribune – Emmanuel de Reynal | L’être humain n’est pas fait pour vivre confiné. Très vite, ça lui porte sur le système. Au début, il trouve ça sympa. Il dort un peu plus, se balade sur Facebook, regarde la télé, bouquine et attend l’heure de l’apéro. Il fait du sport, il écoute de la musique, il peint.
Mais au bout de quelques jours, il n’en peut plus. Facebook le grignote, Facebook occupe son temps. Tout son temps. Facebook prend le contrôle de son cerveau. De la partie qui stimule ses émotions. Celle que la raison évite. L’algorithme le renforce dans ses premières certitudes, célèbre son nombril, gonfle son égo.
En quelques jours, l’être humain ne doute plus. Il sait. Il devient un activiste de canapé. Il se nourrit de l’infernale boucle algorithmique qui stimule chaque heure un peu plus ses pulsions partisanes. Il dérive dans les excès de la pensée, la peur panique, le complotisme et la paranoïa. Se prenant pour un résistant, l’être humain confiné résiste… à l’intelligence. C’est un procureur impitoyable qui trouve dans chaque actualité, fausse ou vraie, les raisons évidentes de condamner et d’allumer les buchers.
Il s’indigne contre le monde, heureux de son pouvoir de division : pour ou contre la chloroquine ? Où sont les masques de protection ? Pourquoi tarde-t-on à généraliser les tests de dépistage ? Doit-on géolocaliser les malades ? Macron est-il à la hauteur ? Pourquoi n’a-t-il rien anticipé ? Pourquoi prive-t-il les médecins de leur pouvoir de prescription ? Quelles forces obscures se cachent derrière le virus ? Est-il une création volontaire des chinois ? Chacune de ces questions déclenche des avalanches de procès… Les réseaux sociaux ne sont plus qu’un vaste tribunal à charge.
Ils masquent l’autre réalité, celle qui se passe dans les hôpitaux où là il n’y a pas de coupable. Là où il n’y a que des personnes engagées dans le combat, mobilisées, organisées. Des médecins, des internes, des étudiants, des professeurs, des infirmiers, des brancardiers, de réceptionnistes, des hommes et des femmes qui mettent tout leur cœur dans la bataille.
Alors que dehors, les confinés se déchirent, ici on travaille, on s’entraide, on protège. Ici on accueille l’amour qui vient de l’extérieur, les dessins d’enfants qui arrivent par la Poste, les viennoiseries chaudes que le boulanger du coin apporte chaque matin, les bons petits plats concoctés par les voisins, les pizzas chaudes, les boites de chocolat, les cookies, les jus de fruits qui sont là sans qu’on sache comment… Ici on remercie les entreprises solidaires, celles qui livrent des bidons de gel hydro-alcoolique, des cartons de masques, des blouses jetables, des gants… les propriétaires qui prêtent leur maison aux soignants pour qu’ils se reposent, les dirigeants qui se bâtent pour obtenir plus de matériels et qui poussent les industriels à produire encore. Ici on salue les acteurs publics qui se défoncent comme ils peuvent pour faire tenir le système, malgré le trop-plein de bureaucratie. Malgré… Ici on comprend qu’aucune décision n’est parfaite, qu’aucune solution n’est simple, que ce qui était vrai hier sera faux demain, que ce qui vaut ici ne vaut plus là. Ici on avance en doutant, en se méfiant des certitudes. Ici on sait les difficultés immenses qui submergent les équipes, mais on est fier de tenir son rôle. Ici on aimerait puiser dehors un peu plus d’optimisme, un peu plus d’élan collectif, un peu plus d’amour. Un peu moins d’angoisse.
C’est vrai qu’il y a le jour d’après.C’est vrai que sur les soignants resurgissent la lumière sociale alors que confrontés aux ténèbres de la mort. C’est vrai que tous ces métiers de « rien » eboueurs, caissières, chauffeurs, aide soignantes ceux qui formaient le gros des bataillons des gilets jaunes se sont mis à la manoeuvre pour faire marcher la france. Il faut savoir les peurs engendrées dans les familles de ces ‘heros’ soucieux de ne pas contaminer les leurs. On a vu des locataires chasses des soignants de leurs immeubles de peur d’être infectes. On a vu des parisiens fuir la capitale pour se mettre à l’abri en province. On voudrait croire à cette unité que vous appellez de vos vœux, ce monde nouveau qui nous interpelle…. Pourvu qu’on le veuille.
Nous ne sommes pas tous égo devant la nature mais, manifestement, il y en a qui sont plus égaux que d’autres ! manu psychanalyse à tout va … il trie sélectif ! Les bons portent un de , et les autres sont … les autres !!! La bouse dévisse au rythme du pétrole donc, ce virus est vicieux et qui sait, anti capitaliste ! calmons nous … nos haines ont leur raisons tout comme nos amours. ce qui est important c’est que ni dieu ni Jésus n’ont jamais été … blanc . Qu’on se le dise !
La puissance de la croyance pour convaincre et vaincre. Cette force intérieure que nous possédons tous pour vaincre les énergies qui nous dérangent. Cette pandémie nécessite deux forces vives qui sont d’une part notre croyance en dieu qui s’explique par notre détermination envers nous-même pour combattre l’invisible et d’autre part, une approche scientifique dans la gestion rationnelle de notre démarche.
Si vous arrivez à conjuguer ces deux forces, vous êtes un vrai leader pour une société; comme moi vous comprendrez mieux l’existence de ces éléments, ces énergies nocives s’attachant intérieurement à l’être humain pour compromettre son équilibre.
Si vous avez mieux que cette définition; faites-le moi savoir en réponse.
L’unité existe si et seulement si il y a écoute et compréhension.
Tant qu’on a peur de « dieu » et de la mort, on se constitue prisonnier à ciel ouvert de l’esclavagisme psychologique et du syndrome de Stockholm …
Cette situation de crise va générer deux catégories d’individus. Dans un premier temps, nous assisterons à un groupe de pessimistes et un autre groupe d’optimistes.
Dans tous les cas, il faut aller vers l’avant. Je suis de celui qui pousse les idées vers les nouvelles innovations. Nous allons étudier un cas concernant la transmission du virus. On nous fait croire que si vous vous tenez à proximité de quelqu’un, vous pouvez être contaminé parce que votre distance n’est pas suffisante. Donc, si vous me saisissez bien, nous allons inventer un tissus, des lunettes qui repoussent le flux magnétique du virus parce que ce virus est chargé en énergie, c’est cette particularité qui le pousse à se propager vers d’autres matières afin qu’il s’accroche tel que l’être humain.
Si vous me suivez bien, pour vous aider à surmonter vos peurs, essayez de comprendre le mécanisme du virus afin que vous apportiez une solution à cette peur. La solution est de vous posez cette question : Qu’est ce que je dois faire pour repousser le flux magnétique ou énergétique de ce virus loin de moi. Rester confiné a été une des solutions, restez à 2 mètres une autre solution et vous chers et chère lecteurs, qu’est-ce que vous avez concocté de façon personnelle pour vous remédier parce que la science piétine en ce moment ?
Nous devons résoudre les méfaits d’un ennemi invisible, ce sera ça la clé de notre succès.
Si vous voyez déjà une solution, poussez encore plus loin le résultat que vous aurez au début et croyez-y.
L’auto persuasion? La méthode coue ? ou quoi d’autre ??