Communiqué de presse
Saluons l’avènement de l’Université des Antilles portée par deux pôles largement autonomes !
Du projet à sa reconnaissance institutionnelle.
- Dans le contexte d’incertitude institutionnelle ouvert par la scission de la Guyane en novembre 2013 et pour éviter le démantèlement d’un outil universitaire qui a mis près de 40 ans à se construire, la présidente de l’UAG et sa gouvernance se sont mobilisées dès février 2014 pour porter leur contribution à l’évolution institutionnelle de l’établissement en concevant un projet novateur et fédérateur: «Une Université des Antilles portée par deux pôles largement autonomes »
- Exposé dans un manifeste intitulé « Pour une Université des Antilles portée par deux pôles largement autonomes », ce projet a été adressé, dès le 9 mars 2014, à la communauté universitaire, à l’ensemble des parlementaires, aux présidents des collectivités territoriales, aux associations de maires, aux associations de parents d’élèves, aux socio-professionnels de Guadeloupe et de Martinique, à la commission sénatoriale et au cabinet du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
- Ce projet d’Université des Antilles portée par deux pôles largement autonomes a fait l’objet d’échanges durant tout le mois de mars 2014 :
- - Réunions de travail entre la gouvernance de l’UAG et les Présidents de Région Guadeloupe et Martinique, ainsi qu’avec les recteurs,
- - Auditions de toutes les catégories de personnels et d’usagers, menées sur le pôle universitaire de la Guadeloupe par la présidente de Région Guadeloupe,
- - Echanges entre le vice-président du pôle Martinique, coordonnateur des ateliers de réflexion institutionnelle et le Président de Région Martinique
4. Au terme de ces travaux, les présidents des deux collectivités régionales ont été convaincus comme une large majorité d’universitaires et d’étudiants que l’Université des Antilles était la meilleure voie possible et que le principe de l’autonomie devait être le ciment fondateur de cette nouvelle Université. Ainsi, dans un communiqué de presse commun en date du 18 mars 2014 et dans une vision commune avec la présidence de l’UAG, ils ont pris le parti de promouvoir le projet d’une Université des Antilles avec large autonomie des pôles…
- Le 31 mars 2014, la présidente de l’UAGa fait remonter au cabinet du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, l’ensemble des éléments de la concertation universitaire, ainsi que toutes les motions prises en faveur de « l’Université des Antilles portée par deux pôles largement autonomes » , à savoir : communiqué des deux Présidents de Région, motion des associations de parents d’élèves de Guadeloupe et de Martinique, motion des socio-professionnels, motion du CCEE 972, motion du CESR 972, courrier de soutien du Président du Conseil Général de Guadeloupe, motion des élus étudiants et Présidents d’associations étudiantes de Guadeloupe et de Martinique …
- Le 4 avril 2014 voit la naissance du comité « Soutenons l’action de Corinne MENCE-CASTER pour sauver l’Université des Antilles »avec la mise en ligne d’une pétition qui a recueilli plus de 2300
signatures. Cette pétition a été transmise au Premier ministre, au ministère des outremers et au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
- Le 4 avril 2014, à l’initiative des deux présidents de Région, une commission de préfiguration de l’Université des Antilles devait se constituer. Cette commission n’a pu voir le jour pour diverses raisons et notamment à cause d’un blocage du Campus de Fouillole, par une intersyndicale universitaire qui réclamait entre autre que l’ensemble des moyens de l’UAG soit affectée au pôle Guadeloupe.
- Le blocage étant levé à la fin du mois d’avril 2014, le mois de mai a pu être consacré aux échanges entre la présidence de l’UAG et le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche sur les conditions et modalités de mise en oeuvre de l’autonomie des pôles à travers les projets de décrets et d’ordonnance et sur la question du droit d’option. Les navettes de propositions et contrepropositions se sont poursuivies jusqu’à la fin du mois de juin 2014, les derniers documents ayant été transmis le 23 juin.
- Dès la fin du mois d’avril, la Présidente de l’UAGa adressé uncourrier à l’ensemble des municipalités et communautés d’agglomération, aux socio-professionnels, aux chambres
consulaires, aux organisations
présentation interactive du projet
assemblée. L’objectif étant de dépasser la simple transmission
pouréchanger autour duprojet etrecueillir avis et propositions afin de le faire évoluer. Elle poursuivait ainsi les échanges déjà amorcés avec les collectivités au mois de mars 2014.
- Le 13 mai 2014, le comité de soutien invite la présidence de l’UAG à présenter son projet à la population martiniquaise. Organisée à l’Institut des sports, l’opération remporte un vif succès et témoigne de l’intérêt de la population à la question Universitaire.
- Le projet est ainsi présenté devant le conseil municipal du François, de Case-Pilote, de Schoelcher devant l’Espace Sud. Il est aussi présenté devant le bureau de la municipalité de Fort-de-France, devant le bureau de la CCIM et devant les organisations syndicales qui,le 19 juin ont été plus d’une dizaine à signer une motion commune de soutien au projet porté par la Présidente et sa gouvernance. Les présentations se poursuivront au fil des rendez-vous qui seront accordés suite aux demandes introduites depuis avril dernier.
- La fin du mois de juin et le début juillet sont marqués par le recueil des avis consultatifs des instances universitaires (Comités Technique et ConseilsConsultatifs de Pôles), des collectivités territoriales (Conseils généraux et régionaux) sur les projets de décrets et/ou d’ordonnance. Les présidents des collectivités marquent, dans deux communiqués successifs, leur adhésion à ce projet et défendent avec opiniâtreté le principe d’autonomie, qui était au fondement de ce même projet porté dès fin février 2014 par la gouvernance de l’UAG.
13. L’ordonnance traduisant le projet d’Université des Antilles avec une forte autonomie des pôles est publiée le 18 juillet 2014. Cette date marque l’aboutissement d’une longue et âpre négociation pour la préservation de nos acquis universitaires et pour éviter le risque d’implosion d’un outil structurant pour notre jeunesse et nos territoires, outil qu’il faudra continuer de préserver avec vigilance et la avec même exigence d’assainissement.
syndicales patronales… pour leur proposer une
devant leurs conseils
municipaux ou leur du mois de mars 2014
Nous tenons à remercier tous ceux qui ont cru en ce projet conçu et porté dès le mois de février 2014par la présidence de l’université, laquelle, malgré les remous et tempêtes, n’a jamais cessé d’y croire et de le défendre.
Merci à la présidente du comité de soutien et aux quelques 2300 signataires de la pétition, aux élus, conseillers régionaux et généraux et leurs présidents, aux parlementaires,aux sénateurs, aux maires et à leurs conseillers, auxassociations de parents d’élèves, associations d’étudiants, aux membres des CCEE et CESR de Martinique, aux socio-professionnels,aux membres des communautés d’agglomération,aux organisations syndicales qui se sontinvesties, aux porteurs et signataires de motions et à tous ceux anonymes mais vigilants en Guadeloupe et en Martinique qui nous ont fait confiance en nous apportantleur soutien au quotidien dans la rue et partout eten adhérant massivement à notre projet.
Nous avons réussi à maintenir un établissement de taille critique, au bénéfice de nos populations et de nos territoires. C’est avec plus de sérénité que nous pouvons envisager l’avenir. Cette université est la nôtre. Il nous appartient de la développer en lui accordant notre confiance.
Venez donc nombreux vous y inscrire en formation initiale et continue. Une période d’inscription complémentaire est prévue en septembre.
La présidente de l’Université Corinne MENCE-CASTER
En joue, prêts, tirez !
Saluons cette femme forte qui a réussi a saccager l’UAG en une seule année. Corine, en un mot : Merci !
Ti-son-son-la-bytasion, merci à toi aussi !
erreur.
sé pa « la bytasion » mé « bitasyon »
Tisonson-bitasyon mais pas « nèg bitasyon »
petit rappel historique
Par Camille Chauvet le Vendredi 9 Octobre 2009
« Au départ, Roger de Jaham,un des héritiers de ce crime contre l’humanité qu’est l’esclavage en était le Président et sous la pression de l’opinion publique son nègre domestique préféré GERARD DOWRLING CARTER l’assiste.
Entre NEGRES DOMESTIQUES ,mulâtres domestiques et ceux qui – y sont – sans y être il faut distinguer.
LE NOM DES MEMBRES DU BUREAU DE TOUS CREOLES
Parmi les membres fondateurs ….. , BERNARD HAYOT, FRED CELIMENE, GERARD DORWLING CARTER, ……….., HECTOR ELISABETH »
1. Gérard DORWLING-CARTER, co-président
….
6. Fred CÉLIMÈNE, trésorier adjoint
…..
10. Hector ÉLISABETH, membre du Conseil, chargé des relations avec la section de Paris
…..
Une association qui de fait cautionne l’empoissonnemnt des terres martiniquaises par les békés par son silence complice.Si cet empoisonnement n’est pas un deuxième crime impuni ,c’est quoi ? »
http://www.wmaker.net/lenaif/LE-NOM-DES-MEMBRES-DU-BUREAU-DE-TOUS-CREOLES_a461.html
sans commentaire.
doit on en rire ou en pleurer ?
@ti sonson la plantation : Gérard Dowrling Carter, ce n’est pas lui qui a défendu Confiant dernièrement ?
à chaque fois, hop on détourne les choses
Je m’en fous de Confiant
là c’est du Camille Chauvet et je ne crois pas qu’il soit un membre du MIM.
là Chauvet, pointait le fait que l’on avait Célimène, Dowling Carter et Elisabeth ensemble dans la CREATION de « tous créoles » et surtout le plus étrange c’est l’appellation de « nègres serviles »
Et là il n’est pas question d’avocat qui défend un client.
mais je peux comprendre votre embarras, vous qui arrivez à nous sortir du « vous ne défendez pas un nègre comme vous »
Détourner les choses ? Tu veux dire comme quand CMC, Confiant et sa fine équipe essayent de faire croire que l’explosion de l’UAG est due aux « racistes » guyanais, aux « imbéciles » de guadeloupéens, à Célimène « la mafia » et à Letchimy qui on sait même pas quoi ? et hop c’est pas moi c’est les autres…
Maintenant que la décision de la mise en place de cette Université des Antilles est prise, et avec une forte adhésion à un projet . Que le travail commence!
Des idées autres que les miennes ont été favorisées. J’oublie mes rancoeurs, les amalgames pernicieux que j’ai pu faire. Je soutiens ce projet. Je fais confiance à ceux , chargés de le mener, pour :
le bien des étudiants ,
que les Antilles gardent son rang
une cohésion universitaire retrouvée!
Tout à fait d’accord avec toi Nicolas, ce qui a été fait est fait et il faut maintenant travailler à partir de là.
Au niveau rayonnement international, puisque la présidence empêche le CEREGMIA de travailler, j’imagine qu’il faudra désormais compter sur le CRILLASH de Corinne Mencé Caster.
A-t-elle fait publier les résultats de ce brillant laboratoire sur un des blogs qu’elle utilise pour sa comm’ maintenant que l’AERES a fait les bilans ? En Reine de la transparence je ne doute pas qu’elle permettra bientôt au grand public d’apprécier la rayonnement scientifique de la faculté de lettres et de sciences humaines. D’autant plus qu’on a tant entendu les enseignants de cette faculté cette année dans les médias que tout le monde s’impatiente de savoir de quoi demain sera fait avec ces gens à la tête de l’UA…
LOL
J’ai du mal à saisir le sens de son courrier on aurait dit quelle est à la recherche de reconnaissance, c’ est moi qui…. ,j’ai 2300 signatures , tant quelle sera dans le paraître elle aura du mal à ne pas être clivante.Maintenant qu e L’UA est acté et que la gouvernance ne change pas qu’ elle se met au travail dans la discrétion le plus que possible et le peuple jugera de son travail et qu ‘ elle arrête de vouloir jouer au paraître.
Maintenant qu’elle a saccagé l’UAG, elle est fier de trouver l’UA qu’elle saccagera très bientôt du fait de son incompétence.
Attendons nous à la catastrophe avec cette équipe.
Qui a saccagé saccagera encore.
Décidément , certains ne changeront jamais. ET jusqu’au bout, ils garderont, leur mauvaise foi, leur rancoeur et que sais-je encore? (…) Une décision a été prise, laissons les intéressés travailler et attendons de voir la suite, avant d’énoncer une opinion. Il faut croire que même une décision prise par les autorités et de concert avec les personnes concernées ne trouvent grâce aux yeux de quelques uns. Savons nous rester à notre place? (…).
Qu’ils attendent patiemment et se préparent, s’ils sont universitaires, à faire acte de candidature
dans deux ans et montrer qu’ils sont capables, pas seulement de dénigrer mais, de se faire élire et porter leur savoir faire, leur compétence, dans le domaine universitaire pour le bien de tous…
@Nifolas : auprès de quels intéressés ? Dois je te rappeler le temps que la Guadeloupe a passé en grève pour afficher son désaccord avec cette présidente ? Quel les quelques partisans de CMC soient d’accords, c’est une chose, mais pour les autres… Avant de parler de mauvaise foi… Les membres de l’UAG ne supportent plus cette présidence après seulement un an de pouvoir, pourquoi vouloir leur imposer deux années supplémentaires de catastrophes ? Doit on te rappeler le brillant bilan de CMC en tant que doyenne (effectifs divisés par deux en quelques années !) puis en tant que présidente (explosion de l’université en quelques mois seulement !) ? De tels faits relèvent ils de la mauvaise foi selon toi ?
Bonnes vacances, ca te fera du bien…
Elle n’a rien saccagé du tout ! Elle a simplement à vos yeux, commis un crime de « lèse-magouilleurs », en faisant son devoir de femme debout !
Elle (Madame Corinne Mencé-Caster) est en droit de continuer, de pérenniser ce travail de nettoyage des « Ecuries d’Augias », tout en appelant de ses vœux à la transmission aux générations proches ou futures, d’une université populaire, solidaire : * « Venez donc nombreux vous y inscrire en formation initiale et continue – Une période d’inscription complémentaire est prévue en Septembre » -
* » On ne remarque chez cette nation aucun de ces tours de phrase qui annoncent l’abjection des pensées » – Chateaubriand –
Phrase volontairement sortie de son contexte et issue de « Les aventures du dernier abencérage » – Mais… comment ne pas y déceler quelque corrélation si nous remplaçons le terme « Université » ou « Universitaire » par « Nation de la connaissance » ou « Nation de l’Erudition » ?
L’université se doit d’être le lieu du prestige, prestige au sens étymologique noble du terme, exempte par définition de toute pratique amorale portant atteinte à l’éthique et, souillant sa haute vocation pédagogique -
* » Nous avons réussi à maintenir un établissement de taille critique, au bénéfice de nos populations et de nos territoires – C’est avec plus de sérénité que nous pouvons envisager l’avenir – Cette université est la nôtre – Il nous appartient de la développer en lui accordant notre confiance » -
Avez-vous compris détracteurs de mauvaise foi ? Là, nous y sommes ! « Le corollaire rigoureux d’une révolution sociétale, c’est une révolution universitaire » -
A vos plumes….. !
Lydie GILBERT
Lydie, ce n’est pas un membre de la communauté universitaire, ni une présidente qui décident qu’il y a magouilleurs ou pas. C’est la justice qui condamne ou qui innocente. Que feras-tu si la justice découvre que toute cette fameuse découverte était pour masquer l’incompétence de cette présidente?
J’espère que tu nous aideras à mettre de la propreté dans cette université car il faudra nettoyer pour bien « envisager l’avenir ».
« toute cette fameuse découverte était pour masquer l’incompétence de cette présidente »
juste une question précise qui attend des réponses précises
1.Est ce l’actuelle présidente qui a fait les différents rapports sur lesquels ce sont appuyés, Justice et Police, dont certains étaient antérieurs à son élection ?
-rapport de la cour des comptes sur les exercices 1999 à 2003
-rapport de la cour des comptes sur les exercices 2005 à 2010
-rapport de l’IGAENR (structure d’inspection du Ministère de l’Enseignement Supérieur)
Je répète question précise et réponse précise
un OUI ou un NON peut amplement suffire
2. peut on croire que la Justice comme la Police se sont laissés abuser par des rapports qui ne contenaient aucun élément qui nécessitait qu’ils lancent des procédures ?
là aussi question précise donc réponse précise.
Cela ferait quand beaucoup d’imbéciles sur un même dossier : sénateurs, Ministère de l’Enseignement Supérieur, Police, Justice
Ce qu’il y a d’étrange c’est que vous n’attaquez jamais les auteurs des rapports, alors que suivant vos affirmations sur la présidente et donc la présidente, ils seraient encore plus que la présidente devoir faire l’objet de poursuites étant des fonctionnaires et des sénateurs.
3. pourquoi donc n’attaquez vous jamais ces sénateurs et différents rapporteurs?
là aussi question précise donc réponse précise.
Je suis très logique, et si vos réponses à mes questions sont du même ordre, il n’y aucune raison que je ne puissepas vous suivre.
Merci.
« 1.Est ce l’actuelle présidente qui a fait les différents rapports sur lesquels ce sont appuyés, Justice et Police, dont certains étaient antérieurs à son élection ? »
Personne n’a dit qu’elle a fait ça toute seule. Au contraire, tout laisse à penser qu’elle a derrière elle un solide réseau de lobbying…
Ti sonson ton discours est incohérent, je ne me lasse pas de le répéter : pourquoi fais tu tant CONFIANCE aux rapports des institutions de l’état (colonial ?) alors que tu ne sembles pas faire confiance à la justice, puisque tu n’attends pas que tout cela ait été tiré au clair ?
Tes rapports sont attaqués devant la justice pour leur partialité, attendons donc de voir ce qu’il ressort de tout cela.
D’après mes infos, il n’y a d’ailleurs pas que les rapports qui soient attaqués en justice, mais tout cela viendra en temps et en heure n’est ce pas ?
Nadine, j’ai le sentiment que tu fais de la présence, rien d’autre.
Nadine, tu te perds complètement !
Peux tu me montrer quelque part où j’ai écrit que je ne fais pas confiance à la Justice sur cette affaire ?
Post, date, heure?
cela m’intéresse!!
il ne suffit pas chaque fois que l’on ne peut pas répondre à des questions simples et claires de se faire trolleur
le trollage** est toujours la preuve de l’impossibilité de répondre et d’argumenter.
*L’expression s’applique à une personne qui participe à une discussion ou un débat dans le but de susciter ou nourrir artificiellement une polémique, et plus généralement de perturber l’équilibre de la communauté concernée
**Pourrissage de forums ou de topics, art d’irriter et de provoquer les participants des espaces de discussion sur internet, de façon délibérée, dans le but d’alimenter la polémique et de générer des conflits
Donc face au trolleur la conduite est de le ramener au sujet sans verser dans sa polémique artificielle et donc à mes 3 questions.
« sé pa makak ou ké montré an pié lépini »
@Ti sonson et Hasneverbeen : Je n’ai pas trouvé d’arguments dans vos réponses, vous m’excuserez donc de ne pas vous répondre… Vous êtes trois ou quatre, essayez de vous concerter avant de répondre, cela vous permettra d’être plus cohérent.
Par contre j’ai vu que votre fine équipe de commentateurs est présente sur tous les articles impliquant de près ou de Loin Letchimy. Vous recevez de l’argent pour ça ou vous le faites gratuitement ?
En dépit des diab’ soud’, des révisionnistes, des doucineurs, des gardiens des intérêts particuliers, des fossoyeurs de l’UAG et des hystériques CMC a su mener sa barque dans la tempête et le projet d’Université des Antilles avance.
Avenue MENCE-CASTER, ça sonnerait plutôt bien !
Hasneverbeen, je mettrai plutôt: « Avenue Mencé-Caster, Reine du saccage ». Cela sonne très bien je trouve. Qu’en penses-tu?
Hum…hum , ne faisons pas le polichinelle , disons deux universités largement
autonomes (de plain exercice) UM . UG liées par un UA symbolique qui sauve
les meubles de l’UM .
Le temps est venu pour nos lettrés Martiniquais de passer le rasoir d’Ockham
ti sonson aka larya, , hasneverbeen vous êtes du même acabit . Parlez nous des projets du CEREGMIA ! Quels projets pensez vous mettre en place pour la prochaine rentrez universitaire? Il y a des fonds européens à siiiiiiiiphoner . Qui sont les plus gradés de l’ UA ? Les plus compétents ? Les plus budgétivores ? Les plus assidus? les plus fainéants ? Les plus travailleurs ? ma fille ne sera pas inscrite à la rentrée en fac des lettres en Martinique pour le motif suivant : le président de la fac des lettres ne m’inspire pas confiant. Que dis je!! ne m’inspire pas confiance, il en est de de même de la gouvernance avec tous ses tapages médiatiques et il me semble que la rentrée universitaire sera chaude et saccageuse . Bonjour les dégâts . La cour dort ???????????? Est ce que la court dort?????????????
« ma fille ne sera pas inscrite à la rentrée en fac des lettres en Martinique … et il me semble que la rentrée universitaire sera chaude et saccageuse »
C’est très bien que tu puisses faire un tel choix et de fait le cahot ne la concerne plus.
Cohérent…non?
Ti sonson, je te trouve drôlement actif et réactif. C’est bien, tu défends avec hargne et régularité ta faculté des lettres qui tombe en miette et ta présidente avec.
Par contre, la dame Zitounette peut inscrire sa fille en faculté de droit et d’économie, car je crois savoir qu’ils sont plus sérieux là-dedans et maintiennent leurs effectifs depuis des années alors qu’en faculté des lettres, les étudiants prennent la fuite depuis plusieurs années.
Donc, parents et étudiants ne sont pas si bêtes, ni manipulables qu’on veuille bien nous le dire.
je ne défends personne, encore moins avec hargne, je suis plutôt spectateur de vos attaques qui tiennent lieu de défense.
Rien de plus !!
Juste attristé du comportement de ceux qui se prétendent notre élite, mais en vérité je n’attends pas grand chose d’eux, assez lucide depuis longtemps de son comportement et surtout de son hypocrisie ou de sa trahison, c’est selon : faire semblant de travailler pour le fameux « péyi » qui n’existe toujours pas et dans les faits jouir de tous avantages que lui procure son statut et même au delà.
donc continue, j’adore!!
Ti sonson, arrêtes de nous faire croire que tu « ne défends personne », etc….
Nous savons bien que pour être aussi actif c’est que tu as quelque chose ou quelqu’un à défendre. Tu parles trop souvent des rapports téléguidés par la gouvernance actuelle pour être celui qui « ne défend personne ».
L’ordonnance du 1èr juillet 2014 publiée au Journal Officiel le 18 juillet 2014 (http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=B3BBFFFB9933A6FC27BB623C5A21DD4C.tpdjo09v_2?cidTexte=JORFTEXT000029256904&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000029256790) confirme, à mon sens, le point de vue que j’énonçais : la simple « transformation » ou « continuation » de l’UAG sans le « G », est difficilement compatible avec la « large autonomie des pôles » réclamée par tous si on en croit les déclararations des uns et des autres. Elle résiste tout autant à la formulation d’une règle explicite d’alternance de la Présidence. Le Ministère a certe tenté une synthèse mais sur le fond il reste inflexif : le poids des pôles sur les décisions relatives à leurs choix d’orientation stratégiques (structure pédagogique et recherche) reste encore très limité. L’essentiel du pouvoir demeure en effet, de fait, « concentré » et « centralisé » au niveau d’un Conseil d’administration de l’Université renforcé et de la Présidence.
On peut donc craindre comme le note très justement Pierre-Yves CHICOT, [Maitre de Conférence de l’UAG, habilité HDR ( http://creoleways.com/2014/08/01/universite-des-antilles-une-evolution-en-trompe-loeil-selon-pierre-yves-chicot/)] que les mêmes causes produisent les mêmes effets. La réception de cette ordonnance, notamment en Guadeloupe, ainsi que la poursuite du même mode de management risquent fort de précipiter la crise comme en Guyane où on a bien vu qu’une volonté collective si elle est suffisamment forte peut l’emporter sur les considérations toujours discutables et « falsifiables » de « taille critique » face à un Ministère qui manifestement navigue à vue.
« Le Ministère a certe tenté une synthèse mais sur le fond il reste inflexif »
tout le monde n’est pas « gran grek »
peut on connaître le sens du mot : inflexif ?
merci !
On voit bien que les tenants de la partition totale de l’UAG ne lâcheront jamais l’affaire, quitte à nous tenir des raisonnements les plus tortueux (mais bien énoncés) comme celui de la taille de l’université qui ne serait pas vraiment un problème.
Les martiniquais sont donc des idiots qui peuvent tout gober : à chaque île sont université même si le contre-exemple nous vient de la Caraïbe. Je sais, en Suisse ou en Californie, il existe des universités de 2000 étudiants. Pour ma part j’ignorais que nous étions au coeur de la Silicon Valley !!
« La simple -transformation- ou -continuation- de l’U.A.G sans le G, est difficilement compatible avec la -large autonomie des pôles- »
Dans ce cas, à quoi cela sert-il d’avoir en pays colonisés, des élites dites intellectuelles et politiques ? Vous voulez une partition totale ? D’accord ! Indépendance stricto sensu et subito sanctus des pôles ! Chacun chez soi ! Université de plein exercice pour tout le monde !
Et nous obtiendrons : * Deux peuples colonisés dites « populations composantes du peuple français » avec * Deux universités-croupions sans grand intérêt dans l’espace Caraibe – Les caribéens anglophones ont eu toujours raison de voir en guadeloupéens et martiniquais ce qu’ils sont réellement : * Des français tropicalisés et arrogants -
Cela emmerde plus d’un que la présidente actuelle ait non seulement nettoyé les « Ecuries d’Augias », mais aussi réussi à maintenir un outil pédagogique d’enseignement supérieur mutualisé qui, se doit d’être pérennisé et transmis aux générations proches puis futures – Souffrez-en !
Chipoter sur les formes juridiques que doivent prendre « l’autonomie des pôles », c’est souhaiter annihiler toute mutualisation ou toute configuration mutualisée qu’appelle le bon sens –
Beaucoup de pays caribéens indépendants mutualisent leurs universités ou leurs chaires universitaires pour garantir la pérennisation des moyens ou des cursus pédagogiques -
Pauvres français des Tropiques !
Lydie GILBERT
Ce que j’essaie de dire et qui semble fortement irriter certains est que le texte du gouvernement légiférant sur l’Université des Antilles n’apporte pas de réponse satisfaisante pour le modèle bipolaire viable souhaité par la majorité. Trois conditions étaient en effet requises. Une seule à été considérée : la répartition équitable des moyens. Les deux autres, une large autonomie des pôles et l’alternance de la Présidence, ont été éludées. Or, c’était aussi des éléments nécessaires à l’apaisement et au retour de la confiance. Paris prend des risques dont je comprend mal les raisons…
Je ne partage pas la thèse de la « taille critique ». Cela ne signifie pas que je sois opposé à une Université des Antilles. Le palmarès 2011-2012 des universités françaises montre que petites universités sont mieux classées que les grandes, 4 font partie des 6 premiers (http://etudiant.lefigaro.fr/orientation/actus-et-conseils/detail/article/le-classement-des-meilleures-universites-francaises-1746/). Le classement 2013-2014 confirme leur performance en tête (http://etudinfo-mag.com/classement-universites-francaises-1943.html). Et ce qu’on constate c’est que c’est la « valeur ajoutée » (la différence entre le taux de réussites attendu et le taux effectif de réussites) – « valeur ajoutée » constituée essentiellement par « la plus value enseignante », qui est déterminante et non la taille. Je veux ainsi affirmer qu’il faut des arguments un peu plus solides pour re fonder et construire dans la durée une communauté de destin dans l’enseignement supérieur entre la Guadeloupe et la Martinique.
on peut aussi prendre le cas inverse et voir que des petites universités sont aussi à la traine, donc le classement avec uniquement la taille n’est pas un élément fiable dans un sens ou un autre
Une université dépend beaucoup aussi de l’origine sociale des étudiants qui y sont inscrits et des filières, ne pas prendre en compte cela quand on connaît notre « péyi » est étonnant.
N’y a t il aussi ici un élément à prendre en compte: les bacheliers les meilleurs et les plus motivés s’en vont quasi systématiquement vers des universités et des grandes écoles en France ?
souvent des étudiants s’inscrivent ici « pour faire passer le temps » ou encore « en attendant » et ensuite retrouvent des formations ou passent des concours.
L’incroyable Ti sonson qui « ne défend personne »…… pourtant il est bruyant et tire toujours dans le même sens et supporte toujours les mêmes……
ton système est simple et pour qu’il puisse exister, avec aucune efficacité d’ailleurs, il faut que l’autre soit dans un clan puisque toi tu es dans un.
Et depuis le début, c’est toute ta faiblesse.
Il y a des éléments concrets qui sont les rapports, et comme tu as du mal à fournir des éléments concrets pour les combattre, tu es réduit à cet artifice qui est devenu du trollage pur et simple.
Dès lors n’ayant aucun argument, ton discours ne se résume plus qu’à » tu es dans un clan, celui de CMC, même si tu ne le dis pas »
Mais là encore, tu ne peux non pas plus apporter aucun élément concret, puisqu’il y en a pas , pour monter que je suis affilié à A, B ou C
Je n’ai qu’un parti en fait celui qui voudrait que nos « élites » martiniquaises » sortent des postures diverses et arrêtent de faire croire qu’elles sont au service du « péyi » martiniquais.
Elles ne sont qu’ au service d’elles mêmes, de leurs parents amis et alliés, mais enrobent leur discours d’un enfumage permanent fait d’un pseudo nationalisme, jouant sur un négrisme larvé quand elles se trouvent en défaut
De plus et c’est le plus affligeant elles ont en plus du mal à s’assumer comme une nouvelle bourgeoisie dans un pays dominé, elles sont encore souvent dans une revanche sociale et leur discours est bati souvent sur les frustrations de leur enfance quand elles sont issues des couches populaires.
Je suis de ce fait en phase avec celui , pas intellectuel du tout, qui a gravi l’échelle sociale par le biais de l’entreprise et qui affiche avec fierté ce qu’il est devenu grace à son travail, à ses choix, à sa capacité à saisir les opportunités, à sa prise de risque, à ses échecs aussi.
Dans le monde de l’entreprise, les chiffres sont là et la sanction est claire.
celui ci a une capacité , un courage, un sens des responsabilités, ceci par obligation du fait de ces choix, et doit donc assumer ses actes, ses erreurs, choses que ne font pas certains membres de notre élite intellectuelle.
Donc tu auras beacoup de mal à me trouver dans un clan et encore moins m’y chercher.
Je trouve en fait amusant de pouvoir mettre à jour, par réaction, certains comportements qui confirment mon étude de notre société.
notre élite intellectuelle, celle depuis les années 70-80, n’a comme seul objectif, que s’en mettre plein les poches, mais comme souvent leur salaire de fonctionnaire, même relativement confortable, ne lui permet pas d’être visible et de paraitre, elle a recours à des compromissions avec la classe dominante et les politiques pour espérer à la fois gagner plus et avoir une visibilté plus grande et même quelque fois pour cela, l’appétit venant en mangeant, franchir le rubicon et verser dans le délit, rejoignant en cela le comportement de certains de leurs mentors politiques.
Ma chère chabine ou X ou Y, ce sujet m’amuse et je me plais à ce jeu, un peu pervers certes, de vous poussez à sortir de vous le pire
On n’est pas dans un « combat djol » stérile où il faut absolument avoir le dernier mot, mais dans une confrontation d’idées. Les arguments doivent donc être autant que possible informés. Il faut donc prendre le temps d’aller aux données et surtout les assimiler. Il faut aussi lire un peu mieux les autres.
Le palmarès des universités intègre l’existant qui correspond aux « taux de réussite attendu ». On peut bien sûr contester son mode de détermination. Cela étant, une telle démarche part de l’idée – en rupture avec la sociologie de l’institution scolaire de BOURDIEU, que chaque établissement, quelque soit son effectif et sa sociologie, a une dynamique qui lui est propre non réductible aux seuls résultats « bruts ». C’est ce qui fonde la notion de la « valeur ajoutée » qui rend plus finement compte de la performance des lycées et des universités. On se doit toutefois de noter que le souci du classement des lycées et universités depuis une trentaine d’années est le signe que le système d’enseignement français est définitivement entré dans le marché avec toute les conséquences que cela comporte en terme d’inégalité. Le combat pour la qualité de l’enseignement pour tous – qui commence depuis la primaire, n’a donc pas seulement une dimension pédagogique et didactique mais aussi fondamentalement aussi un contenu politique ; sans oublier l’aspect éducatif (les valeurs) très important aujourd’hui : la transmission des savoirs est impossible si on n’a pas le même code.
Cette réserve étant faite revenons à l’analyse du classement et particulièrement au constat que c’est bien la « valeur ajoutée » qui fait la différence. Ainsi le CUFR Nord-Est Midi Pyrénées avec un effectif de 432 étudiants (licence) est 2ème dans le palmarès 2013-2014 avec un taux de réussite de 57,6% et une valeur ajouté de 13,1 points. L’université d’Aix Marseille, l’une des plus importante de France avec un effectif 3550 (licence) est 51 ème avec 40,2% de réussite et une valeur ajoutée négative de -1,6 points. Paris 5, université prestigieuse, avec un effectif de 1142 (licence) est classée 40ème avec 42,1% de réussite et une valeur ajoutée médiocre de 0,7 point. A la lecture des palmarès de 2011-2012 et 2013-2014 il apparaît très nettement que les petites universités ont de plus fortes valeur ajoutée, ce qui leur donne la capacité de transcender l’existant et explique leurs bons résultats. Cela devrait se traduire à terme par le renforcer de leur attractivité et un développement mieux assuré.
tous vos grands circonvolutions n’ont apporté aucun élément sur le fait que la taille à un rapport avec le classement puisque vous n’avez pas introduit l’origine sociale, la sélectivité à l’entrée qui sont des facteurs qui déterminent l’ attractivité des enseignants , la motivation des étudiants et le désir de certains parents de classes sociales inférieures à y envoyer leurs enfants, qui à leur tour détermineront le taux de réussite.
c’est mathématique et statistique pas un « combat djol »
Dans le secondaire, le problème est le même ci en Martinique où des établissements (privées) de petite taille ont d’excellents résultats au Bac.
Les universités les plus grandes accueillent le plus d’étudiants, ce qui fait que parmi eux ont risquent de retrouver les moins bons, recalés ailleurs d’où un taux d’échecs plus élevés
Là question est en plus peut on dans notre société martiniquaise, appliquer, le rapport taille succès que vous pensez voir, valable en France ?
Vous semblez vous qui vous dîtes sensible souvent à notre réalité d’un coup oublier notre contexte particulier: origine sociale, perspective d’embauche, choix des filières, transport, hébergement, motivation, fuite des meilleurs bacheliers,etc…
PS: je suis toujours à attendre la définition de « inflexif’, car n’étant pas tous « grand grek », il est important que l’on comprenne les choses correctement pour éviter tout malentendu ou pour ne pas rester dans l’ignorance.
Obéro, on ne peut pas dans un débat, s’évertuer en permanence à démontrer que les autres sont des « sots » (je reprend un de vos termes habituels). Il faut simplement montrer la pertinence de ses arguments.
Vous brandissez du « Bourdieu » comme d’autres brandissent du « Veuve Cliquot » ou du « Moet et Chandon » comme si vous aviez toujours besoin d’une caution morale pour attester vos dires.
Les universités dont vous parlez se trouvent toutes en France métropolitaine. On peut se demander si l’extrapolation serait vraiment judicieuse.
Par contre on peut aussi s’interroger sur le fait qu’un pays 7 fois plus peuplé que nous comme la JamaÏque n’ait pas jugé bon d’avoir sa propre université, comme on a son propre aéroport international.
Enfin, un élément que vous n’évoquez jamais, c’est le financement. 2 universités aux Antilles Françaises cela revient forcément plus cher. Le gouvernement sera-t-il disposé à faire cette nouvelle création et la Martinique et la Guadeloupe seront-elles gagnantes à vouloir faire bande à part ?
Vous qui avez tout « assimilé », répondez-moi.
HNVB, maintenant tu défends les intérêts de « l’Etat colonial français » ? Décidément, nos indépendantiste martiniquais n’ont pas de limite dans l’incohérence et la contradiction…..
Qui t’a dit que j’étais indépendantiste Chabine972 ? « Si tu n’es pas avec moi, tu es contre moi ? » Essaie donc d’être moins binaire dans tes raisonnements.
Une grande partie des « intellos » martiniquais a pris toutes les tares des intellos français, plutôt des pires intellos parisiens avec leur grande maladie, le nombrilisme qui va de pair avec certaine ignorance de la réalité, quelque feinte dans notre cas,et par conséquence de ce fait ils n’ont plus aucune influence morale
allez je fais aussi mon lentérésan et je cite Sénèque:
« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles »
Djèt sa, fout sa ka fè fô adan adan an post
N’étant pas gran grek et même un peu sot, on m’a parlé de Bourdieu, donc j’ai cherché depuis et j’ai lu ceci, même si « Il faut aussi lire un peu mieux les autres. »
« Nombre de travaux historiques ont montré le rôle qu’ont joué les think tanks dans la production et l’imposition de l’idéologie néolibérale qui gouverne aujourd’hui le monde ; aux productions de ces think tanks conservateurs, groupements d’experts appointés par les puissants, nous devons opposer les productions de réseaux critiques, rassemblant des « intellectuels spécifiques » (au sens de Foucault) dans un véritable intellectuel collectif capable de définir lui-même les objets et les fins de sa réflexion et de son action, bref autonome. Cet intellectuel collectif peut et doit remplir d’abord des fonctions négatives, critiques, en travaillant à produire et à disséminer des instruments de défense contre la domination symbolique qui s’arme aujourd’hui, le plus souvent, de l’autorité de la science ; fort de la compétence et de l’autorité du collectif réuni, il peut soumettre le discours dominant à une critique logique qui s’en prend notamment au lexique (« mondialisation », « flexibilité », etc.), mais aussi à l’argumentation (…) ; il peut aussi le soumettre à une critique sociologique, qui prolonge la première, en mettant à jour les déterminants qui pèsent sur les producteurs du discours dominant (à commencer par les journalistes, économiques notamment) et sur leurs produits ; il peut enfin opposer une critique proprement scientifique à l’autorité à prétention scientifique des experts, surtout économiques.
Mais il peut aussi remplir une fonction positive, en contribuant à un travail collectif d’invention politique. L’effondrement des régimes de type soviétique et l’affaiblissement des partis communistes dans la plupart des nations (…) ont libéré la pensée critique. Mais la doxa néolibérale a rempli toute la place laissée ainsi vacante et la pensée critique s’est réfugiée dans le « petit monde » académique, où elle s’enchante elle-même d’elle-même, sans être en mesure d’inquiéter qui que ce soit en quoi que ce soit.
Toute la pensée politique critique est donc à reconstruire, et elle ne peut pas être l’œuvre d’un seul, maître à penser livré aux seules ressources de sa pensée singulière, ou porte-parole autorisé par un groupe ou une institution pour porter la parole supposée des gens sans parole. C’est là que l’intellectuel collectif peut jouer son rôle, irremplaçable, en contribuant à créer les conditions sociales d’une production collective d’utopies réalistes »
Pierre Bourdieu
Je n’ai pas tout compris, mais il y a des choses qui me semblent intéressantes dans cela, qui me rappelle nos « intellos » locaux dit de « gôch », indépendantistes ou autonomistes et ce sujet.
Nadine et ou Chabine972 et d’autres :.
à méditer
Code Maçonnique
« Adore le Grand Architecte de l’Univers.
Aime ton prochain.
Ne fais point le mal.
Fais le bien.
Laisse parler les hommes.
Le vrai culte du Grand Architecte consiste dans les bonnes moeurs.
Fais donc le bien pour l’amour du bien lui-même.
Tiens toujours ton âme dans un état pur pour paraître dignement devant le Grand Architecte de l’Univers, qui est Dieu.
Estime les bons, plains les faibles, fuis les méchants mais ne hais personne.
Parle sobrement avec les grands, prudemment avec tes égaux, sincèrement avec tes amis, doucement avec les petits, tendrement avec les pauvres.
Ne flatte point ton frère : c’est une trahison. Si ton frère te flatte, crains qu’il ne te corrompe.
Écoute toujours la voix de ta conscience.
Sois le père des pauvres: chaque soupir que ta dureté leur arrachera augmentera le nombre de malédictions qui tomberont sur ta tête.
Respecte l’étranger voyageur; aide-le, sa personne est sacrée pour toi.
Évite les querelles; préviens les insultes, mets toujours la raison de ton côté.
Respecte les femmes; n’abuse jamais de leur faiblesse et meurs plutôt que de les déshonorer.
Si le Grand Architecte te donne un fils, remercie-le, mais tremble sur le dépôt qu’il te confie !
Sois pour cet enfant l’image de la Divinité.
Fais que jusqu’à dix ans il te craigne, que jusqu’à vingt il t’aime, que jusqu’à ta mort il te respecte.
Jusqu’à dix ans, sois son maître,jusqu’à vingt ans, son père, jusqu’à la mort, son ami.
Pense à lui donner de bons principes plutôt que de belles manières ; qu’il te doive une droiture éclairée, et non pas une frivole élégance.
Fais-le honnête homme plutôt qu’habile homme.
Si tu rougis de ton état, c’est orgueil ; songe que ce n’est pas ta place qui t’honore ou te dégrade, mais la façon dont tu l’exerces.
Lis et profite ; vois et imite ; réfléchis et travaille, rapporte tout à l’utilité de tes frères, c’est travailler pour toi-même.
Sois content de tout, partout et avec tout.
Réjouis-toi de la justice, courrouce-toi contre l’iniquité, souffre sans te plaindre.
Ne juge pas légèrement les actions des hommes, ne blâme point et loue encore moins; c’est au Grand Architecte de l’Univers qui sonde les coeurs à apprécier son ouvrage. »
il y a des choses promises qui font pas pschitt!!
les mimistes seraient aussi puissants que cela?