Dans un communiqué, la collectivité territoriale annonce « la reconstruction en marche » du lycée Schoelcher, et la démolition du bâtiment J de l’ancien établissement.
« Suite à la relocalisation de la communauté scolaire du Lycée Schœlcher sur le site des Lycées de Bellevue, Gaillard et Dumas, la Collectivité Territoriale de Martinique programme la démolition du bâtiment J du Lycée Schœlcher, lundi 10 octobre 2016 à 10h00 – Sis Boulevard Attuly à Fort-de-France.
Dans la continuité de la relocalisation réussie du Lycée Schœlcher, la Collectivité Territoriale de Martinique procédera à la démolition du Bâtiment J qui accueillait sur 4 niveaux, la cuisine, le réfectoire et le théâtre du Lycée Schœlcher.
Dans un environnement contraint, l’espace ainsi libéré permettra :
- d’achever la dépose des réseaux enterrés amiantés ;
- de faciliter l’installation de chantier relative à la reconstruction du Lycée Schœlcher.
Les travaux de reconstruction, initialement prévus en 2009 à 60 Millions d’euros, sont aujourd’hui réévalués à 80 M€. Ils devraient débuter au cours du 1er semestre 2017, pour une durée prévisionnelle de 34 mois.
La consultation des entreprises pour la reconstruction du Lycée Schœlcher a d’ores et déjà été lancée. L’ensemble des plis ont été reçus le 18 juillet 2016 aux fins d’analyse et d’attribution des huit lots correspondants. »
Sachant la baisse importante des effectifs scolaires, le projet est-il resté à l’identique ou revu pour une utilisation évolutive, notamment pour des filières supérieures et d’excellence ?
Ou le projet est-il celui d’il y a quelques années avant que la baisse démographique soit si flagrante ?
Poser la question des effectifs est à mon sens un faux problème.
Quand bien même le nombre des élèves diminue, construire un lycée moderne ne peut pas être une aberration quand on sait que les lycées actuels ont plus de 50 ans il qu’il conviendra de les rénover ou de les reconstruire un jour à moins qu’il faille les démolir.
Il faut être précis : quels sont les lycées qui ont 50 ans : le lycée de Bellefontaine ? Le lycée de Ducos ? Le lycée de Rivière Salée ? Le lycée André Aliker ? Les lycées Acajou 1 et 2. ?????
La question de l’effectif est une vraie question importante.
Apprenons à être précis.
La question n’était pas de savoir si le lycée devait être reconstruit ou pas, mais de savoir si le projet initial devait être poursuivi dans sa version initiale ou prendre en compte les évolutions, notamment démographique, connues depuis.
Parmi les options, ce pourrait en effet « arrêter » d’autres lycées, répartir les élèves et les sections différemment…
Mais ne pas tenir compte des évolutions apparaîtrait comme une erreur.
Je suppose que les dirigeants de la… CTM…. En bon gestionnaire ont eu la présence d’esprit de donner les ordres de récupération les éléments d’électricité, de plomberie, de menuiserie et notamment le grand portail en fer forgé d’art… Et autres climatiseurs qui pourront être réutilisés ailleurs ou offerts aux associations…! ?
Soyons économique jusqu’ aux chevilles…!!! ?
Effectivement l’idee d’utiliser le lycee schoelcher reconstruit eventuellement comme solution de repli pour les autres lycees anciens est tres bonne a condition que les enseignants notamment les syndicats jouent le jeux et ne recommencent pas leur « on veut rester ensemble etc…… » comme poir la recolisation du lycee scheolcher ces syndicats devraient faire preuve de plus de maturite et d’objectivite j’ai vu un petit film sur le net dans lequel un petit garcon risquait regulierement sa vie en faisant six km a pied dans des zones tres escarpees pour rejoindre l’internat de son ecole a mediter ……….
PP a-t-il été racheté par l’un des clans en gueguère permanente?
JV
Non
Pawol initil et décalée.
Cher « professeur », ce n’est pas parce que vous ne semblez pas appartenir ni à l’un ni à l’autre des deux camps que vos interventions sont plus enrichissantes.
Ce que vous appelez la guéguerre permanente, on l’appelle jeu démocratique dans d’autres pays et si vous nous exposiez des problématiques différentes que vos contributions en forme télégraphique, nous serions ravi de les commenter.
En matière d’interventions enrichissantes, on se passerait bien de celles des relais du porte » pawol initil » du » mis en examen pour faux et usage de faux, prise illégale d’intérêt. Les communiqués officiels d’intonation martiales quand elle ne sont pas menaçantes suffisent amplement à cet égard. Et dénoncer que ce genre de conception de l’exercice du pouvoir nuit aux intérêts de la population n’a rien d’anti démocratique, bien au contraire. Mais il s’agit là d’une subtilité d’analyse que certains abrutis de fanatisme auront certainement du mal à concevoir.
Avec ce que est en train d’arriver du fait de la géopolitique, la question de la formation des plus jeunes est fondamentale.
Une planification doit être mise en place.
Si la démographie combinée à l’âge de certains établissements conduit à mettre en œuvre un nouveau lycée, le lieu idéal n’est certainement pas l’espace de l’ancien lycée Schoelcher.
Un lycée technique et agricole doit être implanté.
Il permettra de former des CAP, des BEP, des bacs mathématiques et techniques, qui seront les bases pour former les ouvriers, les techniciens et les ingénieurs dont nous allons avoir besoin.
Dans un lycée technique les jeunes apprennent à « fabriquer » en utilisant des machines outils, ils fonds du dessin industriel et de la technologie.
Dans la partie agricole, pas de section « paysagiste » qui formeront des chômeurs, mais l’apprentissage des techniques culturales permettant d’alimenter la population.
Les années qui arrivent ne seront pas à l’image des années passées.
« Un lycée technique et agricole doit être implanté. »
il n’y en pas assez en Martinique ou encore en Guadeloupe?
Au lieu de multiplier des structures, il serait peut être bon fédérer les deux îles.
des internats dans les îles pour héberger les élèves ça marche et en plus cela permet des rencontres humaines, pour sortir du nombrilisme.
On a besoin de paysagistes en Martinique, dans les collectivités pour organiser l’espace publique (ville, places, aires de jeux, jardins publiques, ect), pour les hôtels, pour les particuliers, pour les logements collectifs, pour rendre la Martinique attrayante dans le secteur du tourisme,
le secteur des services produit plus d’emplois que l’agriculture à cause de la mécanisation, des serres, de l’informatique, etc…
donc votre logiciel me semble un peu archaïque, malgré vos bonnes intentions.
http://www.lesentreprisesdupaysage.fr/tout-savoir
Jamais un dossier n’aura suscité autant d’incurie, de crispations, de politique politicienne, de démagogie entre deux forces politiques néfastes pour la paix sociale dans le pays.
L’incurie sur un des dossiers symboles du colonialisme. La résultante de crispations aigues depuis des décennies entre deux formations politiques, l’une se réclamant de l’indépendantisme avorté, l’autre de l’autonomisme défroqué qui pensent détenir la « vérité véridique » chacune de leur côté. Rien d’étonnant. Ce dossier est dabord élitiste. L’histoire du lycée Schoelcher aura contribué jusqu’à ce jour, à mettre un frein définitif à la pose des jalons du consensus social et culturel du post-esclavagisme en Martinique.
Le lycée Schoelcher instrument de manipulations électoralistes et politiciennes. D’abord, c’est une falsification éhontée de l’histoire du pays que de prétendre avec assertivité que l’ensemble des martiniquais avait la possibilité de fréquenter le lycée Schoelcher. Cet « emblème » qui n’en est pas un, et arbore le patronyme d’un abolitionniste venu du froid fait partie de l’héritage, de l’identité patrimoniale, paysagère et architecturale pour des élites qui furent longtemps d’abord foyalaises.
Le lycée Schoelcher cristallise à lui tout seul deux échecs majeurs de la départementalisation/colonisation de 1946 : « la persistance du préjugé de race et l’incapacité manifeste d’avoir créé une société réellement démocratique ». Symbole de la honte d’une aristocratie de « classe sociale ».
Si demain un lycée de commune, héritage des martiniquais, au même titre qu’un établissement hospitalier, devait être réparé, démoli ou reconstruit, verrait-on couler autant d’encre ? Percevrait-on autant d’animosité, de crispations entre deux forces politiques ? Les gens de la ville se mobiliseraient-ils avec toute cette hargne ?
Le lycée Schoelcher, nonobstant sa vocation éducative est le symbole premier du « schoelchérisme » colonisation des esprits et de la « dislocation sociale ». Son histoire n’est pas à ré-écrire mais à restituer dans son intégralité. « Les petits nègres des mornes, même s’ils étaient brillants à l’école communale n’avaient pas les moyens financiers d’intégrer le lycée Schoelcher ».
On serait en droit de se demander si ce lycée là, dont la vocation a été méticuleusement détournée au profit de la bourgeoisie de la Ville, alors qu’il aurait du porter sa contribution à l’éducation de la population martiniquaise dans son ensemble, n’a pas toujours porté dès l’origine les germes de sa propre déliquescence. Dès sa création à Saint-Pierre son utilité était de former les nantis de la colonie. Sa connotation ? Elitisme racial, intellectuel et économique .
Pour tourner définitivement la page du » Schoelchérime/Paradigme », il aurait fallu rapatrier le lycée du même nom sur son lieu de création à Saint-Pierre en y changeant le patronyme, ou, tout simplement l’anihiler de la conscience des martiniquais.
Beaucoup de symboles, dont celui-là, sont encore des freins à l’émergence d’une véritable cohésion sociale ou sociétale en Martinique. Là, n’est le problème ni de l’autonomisme défroqué, ni de l’indépendantisme avorté dans leur paradigme de gestion des dotations et des deniers coloniaux.
L.G
Lydie, étrangement les enfants de la bourgeoisie foyalaise, en plus du fait d’être scolarisé dans des établissements privés, n’étaient pas les meilleurs élèves, ou manquaient de motivations comme souvent les enfants gâtés.
par le fait, malgré ou à cause d’elle, l’hyper sélection pour y entrer a permis l’émergence des jeunes de commune ´ puis leur départ vers les facs en France , ou à l’époque Vizioz en Martinique et un » noircissement » des professions libérales.
Donc ceux qui ont le plus profité du lycée, pas fait pour eux, furent les negres de communes hypermotivés.
La bourgeoisie foyalaise était déjà dans le commerce ou le » business » leurs enfants les y ont suivi, d’ailleurs cette bourgeoisie foyalaise n’a pas su s’adapter au monde en changement et s’est retrouvé laminé, par les Bekes qui ont occuper le commerce de gros et demi gros, les juifs et les zoreys sur d’autres secteurs , et les noirs dans les professions liberales.
Lydie, comme beaucoup de « révolutionnaires » vous n’analysez plus la réalité, mais vous collez simplement une grille de lecture qui date.
Le lycée Schoelcher a produit l’envers de ce qui était prévu, cela a été le lieu de la prise de conscience pour beaucoup d’un sentiment national.
L’outil se retourna à cette époque contre la France.
Bel exemple de masturbation intellectuelle !
Il semble que pour un certain nombre de personnes comme Lydie Gilbert, renvoyer dos à dos l’ancienne et la nouvelle équipe, soit un signe de clairvoyance, d’intelligence et de hauteur de vue !
Or, s’il est un dossier qui démontre que ce raisonnement est bancal, c’est bien celui du Lycée Schoelcher.
A quoi sert tout ce rappelle historique avec en apothéose cette suggestion ridicule de relocaliser l’établissement à Saint-Pierre ?
D’un côté une équipe qui en 6 années (et non 5) a échoué à procéder au déménagement du Lycée Schoelcher, non sans avoir dépensé des dizaines de millions d’euros et en maintenant une communauté scolaire dans une situation à haut risque.
De l’autre, une majorité nouvelle qui réussit en à peine 3 mois le tour de force de relocaliser le lycée à la Pointe des Nègres, en dépit des chausse-trappes municipales et préfectorales. Pas une objection des syndicats d’enseignants si alertes d’habitude ou des associations de parents d’élèves !
Ce constat aurait du vous inciter Mme Gilbert à davantage de prudence. A moins qui vous soyez seulement animée d’une excès de détestation tout azimut.
Ce qui est en jeu ici, se résume à deux conceptions opposées : l’une qui consiste à dire que l’on fait, sans véritablement faire, utiliser les jeux d’écritures pour masquer la mauvaise gestion quitte à recourir aux agents de l’Etat pour dissimuler les bidouillages et tripatouillages. C’est le spectacle qui nous est régulièrement servi par Serge Letchimy.
L’autre consiste à faire, en 3 mois ce que Letchimy n’a pas réussi à faire en 6 ans et de dire que 15 millions ce n’est pas une ligne sur un compte mais aussi des crédits en banque.
Ce qui est en jeu, c’est le refus d’une pratique mafieuse de la politique où c’est la connivence entre collectivités, avec des agents de l’Etat qui détermine les rapports des uns avec les autres.
Mme Gilbert, il faut donc accepter de choisir de temps à autres plutôt que de rester dans une incantation permanente, comme si vous vouliez nous faire croire que vous êtes la seule avocate de la responsabilité martiniquaise.
Rejoignez-nous de temps à autres dans le marigot politicien, car là où vous êtes, vous demeurez inutile.
Vous qui êtes tant férue de l’histoire martiniquaise, sachez que cette dernière va connaître un coup d’accélérateur sous peu : le 10/10/2016 à 10 heures précises, le premier coup de pelle de la démolition du vieux Lycée Schoelcher sera donné.
Je pense que cela vaut le coup que vous sortiez le nez de vos archives !
Ainsi donc qu’il s’agisse du Lycée Schœlcher, du TCSP ou de la gestion des finances locales, chacune des « mâchoires du piège à cons » voudraient nous faire croire que rien en Martinique ne saurait exister en dehors des intérêts électoralistes de leur clan respectif, hors des ornières de leur petite guéguerre permanente. Que le marigot politicien serait la seule issue possible. Que toute volonté de penser autrement qu’à travers le prisme de leur rivalité stérile ne serait que masturbation intellectuelle, surréaliste et inutile.
Or tous nous savons, que ce n’est pas plus sur le plan de la pureté idéologique que sur celui du respect des valeurs que ces clans se distinguent l’un de l’autre. On en tiendra pour preuve la décoration surréaliste d’un raciste eugéniste suprématiste local notoire en présence des représentants et non des moindres, de chacune des « mâchoires du piège à cons ». On en tiendra pour preuve les moratoires, les reniements, les compromissions, les trahisons, les alliances contre nature de part et d’autre de ces mouvances crypto-identitaires, de ces soi-disant autonomistes qui ne veulent pas l’autonomie et de ces prétendus indépendantistes qui ne veulent surtout pas l’indépendance.
Or tous nous savons, que le « mis en examen » pour faux et usage de faux, prise illégale d’intérêt qui préside actuellement seul aux destinées de la Martinique par le truchement d’un détournement institutionnel de ses prérogatives au conseil exécutif avec la complicité bienveillante de ses « associés de gestion », n’a pu réunir qu’un électeur martiniquais sur 10 inscrits au premier tour des élections de la CTM en décembre dernier. Qu’il ne doit sa victoire de deuxième tour qu’à la faveur d’une alliance honteuse prévue de longue date dans le secret des choses malsaines, dans le dos des martiniquais et cela avec ce que la Martinique compte de pire parmi les communautés qui la compose, les bénéficiaires et descendants eugénistes suprématistes des vampires esclavagistes.
Or tous nous savons, que le « dos argenté » des plénières de l’ex-région, malgré des compromissions de nature comparable idéologiquement , mais affichées avec la morgue, l’arrogance et le mépris qui caractérisaient sa gouvernance s’est fait « déchouké » par la population en guise de rejet et de sanction contre tous les excès qui étaient imputables tant à son propre comportement qu’à ceux de ses acolytes.
Or tous nous savons, que cette CTM dont la genèse relève de la trahison la plus abjecte par chacune des « mâchoires du piège à cons » à l’occasion de ce faux référendum de janvier 2010, est anti démocratique et anti constitutionnelle, et que même ainsi faite et imposée aux martiniquais elle n’est pas respectée dans le cadre fonctionnel dans lequel elle était prévue. En ce sens que son assemblée délibérative, ne délibère en rien et se contente du rôle ingrat et restreint de chambre d’enregistrement des décisions du conseil exécutif. Et tout cela dans le silence passif ou contraint de l’ensemble des élus qui composent cette institution qui avait été créé pour correspondre nous avait-on dit « au particularisme du paysage politique martiniquais ». Ce qui laissait déjà sous entendre, que ledit paysage politique ne saurait être susceptible de changement et que cette CTM allait de facto figer définitivement dans le temps les positions préexistantes.
Ainsi donc ces deux « mâchoires du piège à cons » voudraient encore nous convaincre que leur rivalité qui paralyse le pays depuis des décennies au gré des alternances, serait la seule option possible et que nous n’ayons en définitive que le choix du moins pire à défaut du meilleur. Voilà ce qu’il en est tout aussi bien dans cette gestion de ce lycée, qu’au niveau de toutes celles qui paralysent la Martinique et compliquent au quotidien la vie des martiniquais, des décisions et des réalisations qui auraient dues être prévues et réalisées depuis au moins deux mandatures, nous sont aujourd’hui présentées comme des avancées majeures relevant d’une volonté politique majeure et décisive. Le moins pire donc…à défaut du meilleur… et ils trouvent encore l’extrême audace de s’en glorifier.
Et dénoncer tout cela serait… de la masturbation intellectuelle, stérile et inutile. Ben voyons ! Quand tout va bien dans le meilleur des mondes, pourquoi changer ou dénoncer quoi que ce soit ?
Dormez braves gens… dormez ! Les meilleurs spécialistes de nous-même veillent sur tout.
Merci pour l’énoncé de tout ce qui ne va pas.
Mais d’un point de vue pratique, toujours la même question, ou sont les solutions ?
Je ne trouve qu’un seul levier en vue :
Election de Jean Luc Mélenchon, passage à la 6 ème République et dans le cadre de la « Constituante », redéfinition de notre rapport à la France.
Avec entre autre les questions suivantes :
- cumuls des mandats en nombres.
- cumul des mandats dans le temps.
- référendum révocatoire.
- possession et contrôle des médias.
- protectionnisme solidaire.
- etc
Si l’on écarte toute mauvaise foi, chaque martiniquais sait que votre analyse est juste.
Pour aller plus loin, il est à craindre que la droite locale finissent par récupérer la mise.
La population est épuisée par ces cancans et ces freins permanents.
Et dire que ce migan rassis et indigeste nous sera servi pendant 6 ANS !
…Quelle calvaire.
Les différents partis ou les futurs peuvent se positionner et faire concurrence …pour peu que le peuple leur donne cette chance. Si moïse donnait un pal à JV en ce sens. .. le discours évoluerait un ti tac !
Décidément, au lieu d’un réponse argumentée, on me sert un macadam rassi, réutilisable à l’envi, qui n’a ni queue ni tête avec des ingrédients avariés à la provenance douteuse.
Le sujet c’est le Lycée Schoelcher ! Parlons du Lycée Schoelcher ou à la limite de la mise en chantier d’une promesse électorale.
Les digressions oiseuses feront forcément baisser la note finale car il ne s’agit pas ici, de « décorer sa feuille » et comme disait ce prof de lycée : « de grâce, évitez d’en faire des tonnes ! »
Juste pour que les choses se sachent ! La CTM à grands renforts de publicité mensongère une fois de plus essaye de créer un événement sur la reconstruction du lycée Schoelcher. Je rappelle :
- en 2010, le plan a été totalement réétudié pour ne pas construire cette barre affreuse qui était prévu auparavant
- le nouveau plan est sorti en 2012
- la reconstruction était PRÉVUE pour ce deuxième semestre 2016
- tous les marchés étaient prêts fin 2015 et lancés comme prévu dans le calendrier.
- que les démolitions avaient déjà commencé (logements de fonction et gymnase) comme prévu dans le calendrier en 2013.
Une fois de plus, rien de nouveau sous les tropiques ! Aucune nouvelle initiative ! Piess 10 sous pa ped´….. Du rien que très normal !!!!!
Cher Lapousse, tu ne t’en es peut-être pas aperçu, mais l’histoire vient de subir un coup d’accélérateur : on est en train de casser le vieux Lycée Schoelcher.
C’est un moment particulier et cela nécessite un certain recueillement qu’il convient de ne pas troubler avec des propos puérils et déplacés.
Il faudra bien un jour- très prochain, je l’espère – bloquer les deux mâchoires de l’étau, mais j’aurai peut-être la chance d’amorcer cette démolition.
jv
La CTM, ça ne marche pas. Par désespoir , on n’entend plus nos doctes juristes de l’UA. Le super modèle qu’ils avaient concocté prend l’eau de toute part !
A plateau Roy, il y a un cyclope. Avenue des caraïbes ,il y a une anguille.
De plus la CTM est illégale, elle est dépourvue de « base légale » par violation de la Constitution et du Droit Européen.
Misère …et peau de banane !!
jv
Le « professeur » choisit l »action la plus emblématique de la diligence de la CTM pour dire que cela de marche pas ! Chercher l’erreur.
Effectivement, s’il y a un raisonnement ou un crédo qui part en sucette et qui « prend l’eau de toute part », c’est bien la démonstration de Joseph Virassamy, mais lui il ne voit pas grandchose.
Malheureusement ni la loi, ni la Constitution, ni le droit européen n’empêchent de délirer à plein tube.
Joseph, tu me dois une bouteille de champagne, nous sommes en Octobre et la CTM est toujours là.
Très amicalement.
Dixit le Hadneverbeen : Le « professeur » choisit l »action la plus emblématique de la diligence de la CTM pour dire que cela de marche pas !
La grandiloquence de ce cher « had » en devient de plus en plus ridicule dans sa fébrilité de convaincre. Ce thuriféraire inconditionnel et pathétique de la mouvance indépendantiste défroquée voudrait nous faire croire qu’un dossier qui aurait du être traité et réglé depuis au moins deux mandatures est subitement en train d’être débloqué par la seule vertu de l’énergie magique de son si vertical « chaben », le mis en examen pour faux et usage de faux, prise illégale d’intérêt.
Nous avons été rassasiés lors de la dernière mandature régionale par cette publicité qui s’étalait partout de manière obsédante et hypnotique « la Martinique avance ». Cette fois le nouveau slogan tout autant obsédant et hypnotique repris par l’actuelle majorité c’est « la Martinique en marche ». C’est fou comme cela nous rassure, cette similitude de slogan !
Une similitude qui ne se retrouve pas uniquement dans la gestion des affaires courantes, ni seulement dans la publicité surréaliste qui y est associée, mais surtout et avant tout qui sert plus certainement à alimenter la rivalité stérile avec le camp d’en face. La petite guéguerre permanente qui anesthésie et paralyse le pays depuis si longtemps entre ces deux factions nuisibles à la paix sociale et au développement du pays.
Forcément puisque rien de ce qu’aurait pu faire ou entreprendre l’équipe précédente ne saurait trouver grâce à leurs yeux, il est essentiel de défaire, puis de refaire à grand renfort de publicité. L’important n’est pas tant de faire mais de faire croire que l’on fait mieux et plus vite que l’autre et surtout de le faire savoir. A ce rythme là, quand le passionnel supplante le rationnel, c’est fou comme cela peut sembler aller vite, c’est évident.
Et pour nourrir cette évidence et entretenir l’illusion, l’exécutif actuel dispose d’un « pot’ pawol initil » largement relayé par des sous-fifres anonymes mandatés sur les réseaux sociaux, particulièrement sur PP d’ailleurs, ceux tout acquis à leur cause évitant soigneusement de trop les laisser s’exprimer par crainte que leur excès de zèle ne soit en définitive, contre-productif.
Les guillemets par exemple dont notre fanatique militant supporter de match de foot ne manque jamais d’encadrer le titre de professeur quand il s’adresse à Joseph Virassamy sont censés exprimer son « mépris » pour la qualité réelle d’enseignant à ce grade universitaire de l’intéressé. Un thème qu’il a eu l’occasion de développer par le passé dans un argumentaire autant douteux que tatillon, mais dont il ne démord pas. L’important pour ce fanatique étant de discréditer coûte que coûte, d’autant plus que l’anonymat ne lui coûte pas grand-chose. Rien que cela donne une idée des méthodes et de la crédibilité de ce fervent militant, on comprend dès lors la prudence d’autres sites sur lesquels il s’exprime pourtant sous des pseudos différents.
Démonstration laborieuse du « commis d’office ». C’est vrai que la tâche n’est pas facile : justifier le dérisoire.
Je vous accorde volontiers le caractère dérisoire de vos attaques sous anonymat. Qu’y a t-il en effet de plus absurde sous ce couvert, que votre harcèlement permanent et vos tentatives infantiles de dérision, envers tout ceux qui ne partagent pas l’objet de votre militantisme passionné ? Il est à espérer que vous y gagnez quelque chose en retour. Tant de temps perdu et d’énergie gaspillée en vain, ce serait bien dommage en effet.
Nous sommes incontestablement à l’orée d’un culte de la personnalité sans précédent dans ce pays à la gloire du premier des « yichs Telga » par intérim. « yichs Telga », par ailleurs allié sans vergogne à la droite sarkozyste locale à des fins non désintéressées d’expédition des affaires courantes de ladite CTM.
Un ouvrage écrit de quatre mains, celles des « Starsky et Hutch » commis par excellence de « l’indépendantisme avorté » brille actuellement de mille feux à la gloire de ce « culte de la personnalité ».
« Décembre 2015″, ouvrirait pour ces commis d’office de l’indépendantisme incantatoire, « une nouvelle page de l’histoire de la Martinique ». Une « Marie-Jeannisation » des esprits telle, d’autant que l’ouvrage en question ne pouvait bien entendu faire l’économie d’un portrait explicite en médaillon du chef « yich Telga » président.
Notre binôme d’écrivains n’en est pas à son coup d’essai. Après la « traversée verticale du siècle » de leur champion, ils promeuvent aujourd’hui une « alliance » qui a pris la forme, je cite d’un « pacte de gestion ». En septembre retraite au flambeau sur la stèle de Telga, le reste de l’année danse du ventre sous forme de « pacte de gestion » avec l’ultra-libéralisme sarkozyste et les compradores. Aucun paradoxe ! « yichs Telga » et « compradores » peuvent s’entendre à dessein. Il y va tout de même de faramineux flux financiers et deniers de la colonie.
Un véritable tournant historique. Une victoire non annoncée. Une « ode à la joie » sur un coup de maitre du « yich Telga », comme si l’Edile de Case-Pilote n’avait jamais au préalable narré une bonne partie moins reluisante des coulisses de cette alliance contre-nature. Ce « culte de la personnalité » et cette « Marie-Jeannisation » sournoise des esprits peuvent représenter un véritable danger pour la démocratie dans ce pays. « Je ne suis pas d’accord avec vous dîtes, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire ».
Si descendre dans le « marigot » consiste à défendre l’indéfendable ? Alors non ! Trois fois non ! Il est temps de sortir définitivement de cette indigence pour revenir à l’idéal au sens étymologique. Cela passera inévitablement par la fin du cycle de cette bipolarisation indigeste entre deux factions rivales pour l’expédition des affaires courantes coloniales.
« Il est temps de sortir définitivement de cette indigence pour revenir à l’idéal au sens étymologique. Cela passera inévitablement par la fin du cycle de cette bipolarisation indigeste entre deux factions rivales pour l’expédition des affaires courantes coloniales. »
COMMENT?
AVEC QUELS HOMMES ET FEMMES?
AVEC QUEL PARTI?
AVEC QUEL DISCOURS?
AVEC QUEL PROJET?
Pas une fois vous répondez à ces questions fondamentales ?
le constat est « bon », mais après il faut passer aux propositions, il faut convaincre le peuple martiniquais.
A force de ne pas répondre à ces questions et à continuer à débiter inlassablement le même discours critique, vous ne gagnez pas en crédibilité, et surtout vous semblez tenir un discours de « cocu ».
J’ai envie de vous lire sur les solutions.
Lydie Gilbert, tu dis autant de sornettes que l’Anaconda, ton frère jumeau! Le vrai danger pour la démocratie, ce sont les gens comme toi qui ont la critique pendue aux lèvres, qui dézinguent en fonction de ce que l’on est et non en fonction de ce fait. Qui ne choisissent jamais ! Ayin pa jinmin bon pou yo !
Que ce dossier du Lycée Schoelcher soit débloqué, cela devrait au moins te donner l’occasion de faire une pause dans ton entreprise de dégradation au nom de soi disant idéaux, comme si tu était le vrai héritier de Telga !
Il ne suffit pas de nous pondre chaque fois un bon gros amalgame de récriminations pour être cohérent. Tout le monde peut le faire.
Si tu ne perçoit pas la dimension historique de ce qui se passe sur la route de la Corniche, c’est que tu es un piêtre idéologue.
Je ne comprends pas ou plus Lydie Gilbert …elle me désoriente que s’est il bien passé ? Est ce que c’est la même que je connaisse de tout temps ???
C’est fou cette redondance avec le lycée Schoelcher qui tend à créditer qu’il s’agit là d’un seul fait majeur de cette mandature après 10 mois. Ça dénote également l’état d’esprit consistant à maintenir sous les les feux de l’actualité un sujet qui alimente rancœurs, crispations et cacans dans lesquels ces gens semblent s’y complaire. Mais décembre arrive, il faudra bien présenter un bilan des actions menées qui aux yeux de la population sont peu visibles.
@GÉNÉRALWILL972″ Mais décembre arrive, il faudra bien présenter un bilan des actions menées qui aux yeux de la population sont peu visibles ».
C’est exactement pour cela qu’ils en font des tonnes qui ne tiennent pas debout. Pour réamorcer le « piège à cons » et alimenter ses mâchoires il faut relancer la petite guéguerre pour stimuler les troupes et capter l’attention.
C’est risible ! Après 6 années vous n’avez demandé aucun compte à Serge Letchimy pour qu’il explique ce qu’il faisait de l’argent des contribuables et où il fallait le chercher.
S’approprier le projet du TCSP qui n’était pas le sien en doublant la dépense initiale, voilà le seul fait d’armes, en créant aussi une kyrielle d’organismes inutiles mais budgétivores.
Aujourd’hui après 10 mois, vous semblez exiger outre cette réalisation palpable et au retentissement historique quoiqu’en disent les râleurs professionnels.
Réussir à tourner cette page, ce n’est pas rien puisque Letchimy s’y est cassé les dents, non sans avoir englouti des dizaines de millions d’euros dans l’affaire. Le contribuable que vous êtes devrait dire ouf !
A Lydie Gilbert
On dirait du Moïse avec l’intensité pathologique en sus .inquietant !
C’est à se demander si Hadneverbeen n’est pas électron libre. Car le moins qu’on puisse dire c’est qu’il n’a pas beaucoup de soutien sur pp… justina ne justifie pas tout ! Il fait feu de tout bois et s’épuise … il fait plus pitié qu’envie ! À ce stade.
Heureusement, que je suis sûr de bénéficier de la compassion d’ABC !
Simple précision, je ne suis encarté à aucun parti, à aucune mouvance, jee ne suis qu’un simple observateur de la chose publique. Amoureux de mon pays, je suis très peinj par le spectacle affligeant auquel on assiste par ceux qui sont censés nous représenter.
J’observe que ceux qui détiennent les rênes du pouvoir, loin de prendre de la hauteur et de s’attacher à rassembler, sont dans une posture permanente de guéguerre, de haine et de division jusqu’à en devenir paranoïaque en voyant partout l’œuvre de l’ennemi.
Je ne suis pas plus encarté que toi. Mais une chose est sûre c’est qu’il ne suffit pas de dire que « la majorité aux commandes doit prendre de la hauteur ». D’ailleurs, cela veut-il dire grand chose ?
Est-ce que cela signifie qu’il ne faut pas répondre aux attaques des battus du 13 décembre et de ceux qui se préparent pour la relève ? Est-ce qu’il n’est pas indispensable de rétablir des vérités quand des mensonges sont proférer ? Cette idée de « cancan » politicien, très en vogue depuis peu en Martinique, est une bouffonerie.
Pense-tu que le niveau soit plus élevé au sein de la démocratie américaine où l’on l’essentiel des débats est en dessous de la ceinture ? Pense-tu les propos du Président Hollande sur les magistrats ou sur les footballeurs soient d’un meilleurs niveau que nos débats MIM/PPM ?
Non, il faut arrêter de s’auto-flageller. Les affrontements auxquels on assiste ici sont des joutes normales dans un système démocratique. Nous n’avons pas plus de tares ici qu’ils en ont au Japon, en Amérique du Sud ou en Europe.