LETTRE OUVERTE AUX ELU.E.S DU COMITÉ SYNDICAL DIRIGEANT LE PNRM – Philippe PIERRE -CHARLES | Mesdames et Messieurs les élu.e.s,
Je prends la liberté de vous écrire non pas pour attirer votre attention sur la gravité de la situation que vous percevez encore mieux que moi mais pour souligner l’authenticité du point de vue exprimé par un nombre significatif de travailleuses et travailleurs sur la crise que traverse l’institution.
Un groupuscule de « défenseurs » du président Boutrin, aussi bavard que réduit, tente vainement d’obscurcir les enjeux en ridiculisant lui-même sa cause.
Qui peut croire sérieusement qu’un nombre respectable d’employés du PNRM, feraient déjà plus d’un mois de grève pour simplement obéir à un complot politicien contre une majorité élue à la CTM ?
Qui, doué d’un brin de bon sens, peut supposer la CDMT dans un tel prétendu complot quand cette même CDMT ne compte plus les conflits partiels ou plus larges qui l’ont opposée aux majorités d’hier devenues minorités aujourd’hui ? Certainement pas vous qui avez vous mêmes été confrontés à de tels conflits !
Qui peut imaginer un tel combat et de tels sacrifices pour simplement défendre le salaire d’un DGS que des hurluberlus ont crû pouvoir introduire frauduleusement dans le débat ? Des penseurs plus sophistiqués évoquent un conflit entre « politiques et administratifs » Manman ! manman ! manman ! Rien que ça !
Il semble difficile aujourd’hui à un ex syndicaliste comme Daniel Marie-Sainte et un toujours dirigeant du PCM comme Michel Blanchi de reconnaître un conflit du travail, entre un employeur et un employé ! S’il lui arrivait encore de lire le code du travail il saurait que les notions de « subordination » et « d’insubordination » sont centrales dans tout contrat de travail et que c’est même cette subordination qui justifie les protections dont jouit en contrepartie le salarié ! Parmi ces protections il y a d’ailleurs le fait que le licenciement ne peut intervenir comme première sanction sauf dans des cas aussi extrêmes qu’exceptionnels ! On peut sérieusement s’interroger sur les capacités de management d’un président qui ne parvient pas à vaincre une prétendue » insubordination » (scripturale !) de son subordonné autrement que par un licenciement pur et simple ! On peut aussi se demander de quelle utilité réelle serait un directeur d’institution qui n’alerterait pas son employeur sur les risques de dérives financières menaçant la survie de la dite institution et qui n’attirerait pas vivement son attention sur le temps minimum nécessaire pour réaliser une tâche qu’on lui assigne !
Vous connaissez suffisamment Ronald Brithmer pour que la CDMT n’ait pas besoin de rappeler sa compétence, son rôle dans le développement du Parc, l’humanité et la rigueur dont il a fait preuve dans ses rapports avec le personnel, au PNRM comme ailleurs.
Vous savez bien que jamais dans l’histoire du Parc le climat ne s’était autant et aussi rapidement dégradé que sous la présidence de Monsieur Boutrin. Loin de moi l’idée de porter un jugement sur les compétences et le travail de ce président. Ce que j’affirme en revanche en tant que responsable syndical et au vu de faits avérés c’est que le maintien de Mr Boutrin dans le management des agents du Parc ferait peser sur la réalisation de ses missions une menace très sérieuse. Je ne reviendrai pas sur le licenciement abusif et brutal de Mr Brithmer sauf pour poser une question simple : qui peut croire que Alfred Marie-Jeanne aurait proposé à Ronald Brithmer le moindre poste à responsabilité si la thèse de son « insubordination » avait la moindre crédibilité ? Mais ce cas n’est hélas que la pointe immergée de l’iceberg. Quatre directeurs sur 6 sont en grève, écœurés par les méthodes de géreur d’habitation du président. Plusieurs agents ont été renvoyés du jour au lendemain. D’autres n’ont trouvé refuge que dans la démission préférant les affres du chômage à la soumission au système Boutrin et à la souffrance au travail que ce système génère. Sur ces derniers, le chantage à l’emploi n’a pas eu de prise. Aucune sérénité ne peut régner dans un établissement où l’accès à la médecine du travail, au lieu d’être naturel et recommandé, est entravé.
Contrairement à des propos mensongers la CDMT n’est pas le seul syndicat à dénoncer les dysfonctionnements. Des délégués du personnels CFDT et des responsables CGTM au PNRM participent au mouvement depuis le début.
Vous êtes Mesdames et Messieurs seuls juges des pratiques qui vous sont imposées : manque de régularité dans les convocations du président, réticence extrême à vous réunir alors que la crise sévit, manque de consultation de votre autorité souveraine lors de décisions aussi importantes que le licenciement d’un DGS (imagine t-on un conseiller municipal responsable d’un organisme périphérique licenciant le directeur de cette structure sans prendre l’avis de ses collègues ?)
Les travailleurs pour leur part réclament le respect et la bienveillance qui leur sont dues. Ils ne devraient pas avoir à rappeler les sacrifices y compris financiers qu’ils ont consentis en même temps d’ailleurs que certains d’entre vous pour que vive le PNRM.
La CDMT et le mouvement syndical dans son entier sont attentifs aux solutions que nous ne manquerez pas de trouver pour que cet outil redevienne opérationnel. Il y va bien entendu de l’intérêt des salariés qui aspirent à des conditions de travail normales mais aussi de la population qui sait ce que le parc apporte et surtout peut apporter encore d’avantage au bien de la collectivité.
Nous savons comme tout le monde la diversité des opinions qui vous traverse mais sommes convaincus que l’intérêt collectif et les valeurs ici rappelées sauront vous permettre de conjurer les dangers et prendre les orientations que le bon sens commande. Pour le PNRM !
Pour la CDMT,
Philippe Pierre-Charles
Lol re Lol , donc ferjule pa assé fô feu de tou bwa comme un bwa bwa . Joyeux nwel en tous ka .
J’ai été jusqu’auboutiste, couillon à l’extrème , suiviste aveugle, petit fouilleur de chou di. Chen bétché et … j’en passe ! Quand j’étais à la tête d’un syndicat professionnel. Je les réfutais mais, aujourd’hui, avec le recule, je peux que tous ces superlatifs étaient mérités … ça nous a permis d’obtenir l’OCM banane qui fait qu’aujourd’hui, nous pouvons encore vaille que vaille, produire et éviter que ces terres ne deviennent des poubelles à ciel ouvert.
Ça me permet aussi de vous dire que si vous obtenez guain de cause face à bourrin et amj, je me fais … moine boudiste dans un coin retranché du Tibet !!! PROMIS . JURÉ.
La « pointe immergée » est bien révélatrice de ce que Philippe PIERRE-CHARLES et la CDMT tentent de nous faire prendre « dlo moussach’ pou lèt’ » et qu’il se produit chez certains, selon l’époque, des renversements de valeurs.
La question à laquelle M. PIERRE-CHARLES doit répondre est pourquoi n’a-t-il pas dit un mot lors du conflit ayant opposé la présidente du Conseil Général à Mme Frédérique FANON. Ne s’agissait-il pas là aussi, d’un « conflit de travail entre employeur et employé » ? Je vous le demande M. PIERRE-CHARLES. Y a-t-il des D.G.S qui sont plus présentables que d’autres, plus défendables que d’autres ?
Ce qui est le plus cocasse dans l’histoire, c’est que M. PIERRE-CHARLES s’adresse à ces même élus qui pour licencier Mme FANON pour faute, ont voté une motion dans laquelle ils reniaient leur propre vote et qui ont été désavoués par les différentes décisions de justice. Jenny DULYS, David ZOBDA, Fred LORDINOT. Et là, jamais, au grand jamais M. PIERRE-CHARLES n’a ouvert la bouche pour défendre une « employée » !
Ce qui est en cause, ici, c’est le droit. La jurisprudence dit qu’un D.G.S. peut être remercié en cas de perte de confiance. M. BRITHMER pense au contraire qu’il est indéboulonnable et défie un politique qui est élu ! Il faut avoir du culot M. PIERRE-CHARLES pour prôner le remplacement du président élu tout en balayant l’éventualité du licenciement d’un D.G.S. C’est une grave remise en cause de la démocratie. On peut ne pas aimer M. BOUTRIN dire qu’il est infecte, mais il est élu !
Comme dans l’affaire du CEREGMIA, on nous vante la « compétence » de l’intéressé ! Tellement « compétent » qu’il craint de ne pas pouvoir rebondir ailleurs. Quel paradoxe ! Tellement « compétent » qu’il se croit autorisé à affirmer qu’après le combat syndical et juridique, il y a le combat politique ! Faudra t-il couper cette phrase au montage ou nous expliquer qu’elle a été « sortie du contexte »?
M. BRITHMER est utilisé par l’opposition EPNM pour entraver l’action de la majorité, comme elle sait le faire par ailleurs.
Cette énième tribune de Philippe PIERRE-CHARLES illustre parfaitement le dicton : « Mentè pa ni mémwa ! » Et j’ajouterais, qui veut du respect et de la crédibilité s’en procure tous les jours !
Soyons pragmatique : ces deux personnes ne pourront travailler ensemble à l’avenir. Et ce problème doit se régler comme il se règle dans toutes les collectivités : par le départ de l’un d’eux. A moins que nous soyons vraiment dans une république bananière, ce n’est pas à l’élu du peuple de partir aussi affreux qu’il soit !
Parfait exemple d’alimentation du piège à cons. MIM et PPM prenant les martiniquais en otage dans leur petite guéguerre ridicule. Et le supplétif du porte-parole de l’exécutif toujours prêt à en rajouter une couche… une couche de vomi sur son collègue Brithmer tout en persistant dans son entreprise de désinformation. Vous confondez allègrement argument et manipulation avec une rare grossièreté Hadneverbeen, vôtre mauvaise foi étant désormais légendaire sur PP, on se demande vraiment pourquoi vous déployez tant d’efforts pour un résultat inexorablement contre productif.
« …ce n’est pas à l’élu du peuple de partir aussi affreux qu’il soit ! »
Ce qui est sûr, c’est qu’il n’aura pas l’élégance de partir de son plein gré.
Mais il s’en trouvera toujours un (souvent pire) pour l’éjecter à coup de pied au Q, le moment venu.
C’est comme ça, en « démocrature »…
Mèm là, chak kochon ni nwèl a-yo.
Hard est effectivement de plus en plus détestable … » pour employer son vocable » si le motif du licenciement c’est manque de confiance … ça va ! Mais si en revanche c’est insubordination, Là, va falloir le prouvasse. Même un abc comme moi, gagne ça … flappe ! Si en plus il ne comprend toujours pas qu’il n’y a pas de comparaison possible entre fa non et fa oui, je demande expressément à Moïse de lui expliquer ça pour moi car là … je n’en peux plus de rodomontades !!!
C’est tout ce que vous avez à dire messieurs ? Vous n’avez pas épuisé votre temps de parole.
Si ledit « temps de parole » que vous évoquez plus haut devait être évalué en nombre de lignes de commentaires sur PP, nous serions bien loin du compte. Vous mettez un tel acharnement à vomir sur votre collègue Brithmer que vôtre jugement s’en trouve assombri. Nul doute que vous devez avoir très sûrement un intérêt à agir de la sorte. En général vous êtes nettement moins prolixe, sauf quand il s’agit de relayer les mensonges de DMS sur les réseaux sociaux. Si vous nous parliez plutôt de l’activité de lobbying très lucrative des attachés parlementaires de certains députés soit disant indépendantistes ou prétendument « patwiot ».
cette grève là dépasse en durée celle de février 2009. Etonnant !!!!! alors que les enjeux ne sont pas du tout comparable!!!!!! c’est fou et etrange en 2009 il s’agissait de la MARTINIQUE TOUT ENTIERE alors que cette grève du PRNM NE CONCERNE QU’UN SEUL HOMME BIZARRE VOUS AVEZ DIT BIZARRE
MA CONCLUSION EST PEUT ETRE I NI AN BWET MANGE ET BAGAII LA POLITIQUE C’EST DE LA POLITIQUE POLITICIENNE
LA DEMOCRATIE PERMET TOUS LES RECOURS AUX TRIBUNAUX ET PAS LE BLOCAGE FANON A ETE BLANCHIE PAR LA JUSTICE ALORS QUE L’ANCIENNE MAJORITE PPM L’AVAIT VIREE COMME UNE MALPROPRE ELLE A GAGNE SANS GREVE ET BLOCAGE
LE BLOCAGE, VOULOIR PERTURBER LES ASSEMBLEES DE LA CTM EST ANTIDEMOCRATIQUE
JE POURRAIS SI J’IMITAIS LES SOUTIENS DU DIRECTEUR LICENCIE DE PRNM BLOQUER LA VILLE DE FORT DE FRANCE QUAND JE VOIS COMMENT ELLE GERE DANGEREUSEMENT LE GLISSEMENT DE MORNE CALEBASSE MAIS BON JE SUIS UN DEMOCRATE….. ALORS……
Oui mais la manipulée cdmt ne réalise toujours pas d’ailleurs projetée en avant alors que les vrais mapipi de nanni nannan sont restés en ba fey – c’est un vrai mangė kochon car birota qui les soutiens lui même a limogė le guyanais patron des sapeurs-pompiers alors que la cdmt à l’époque a approuvée !!!!
Harde le vermeen ! Si le juge nous met : Attendu que j’ai peur d’amj au moins autant que ses colistiers de la majorité et une bonne partie de l’opposition … Attendu que je ne veux pas avoir deux sous de compte avec musieur, je me vois contraints de confirmer le licenciement … afin qu’on ne vienne pas jouer du tambour dé bonda sous ma fenêtre. En outre, Mr brithmer devra demander , dans tous médias de martinique, pardon à harde pour avoir osé l’offenser alors qu’il est élu pour licencier tous ceux qui conteste son autoritarime de complexé …
Toute cette agitation n’est rien d’autre qu’un épisode de plus de l’éternelle parodie de Peppone et Don Camilo, version cocotiers, mais tout aussi ridicule et caricatural entre MIM et PPM. Faux indépendantistes contre faux autonomistes, tous vrais défroqués.
Je souscris assez aux arguments de HAD pour ne pas les reprendre ici. Cependant, en l’état actuel de l’affaire qui a trop duré et fait naître trop de crispations, le litige ne pourra pas être réglé uniquement par le droit. Une décision politique s’impose dans une affaire qui est devenue éminemment politique. Qui ne voit, en effet, que l’actuel président ne pourra plus sereinement poursuivre son action à la tête de l’institution ? C’est un fait politique.
Un jugement de Salomon s’impose, qui n’humilie pas M. Boutrin. Il pourrait être appelé à d’autres responsabilités. Il devrait bien se trouver au sein du conseil exécutif un collègue qui soit en mesure d’assurer la fonction au pied levé. Car on ne peut pas faire « monter » un conseiller de l’assemblée sans exclure M. Boutrin de la CTM (assemblée et exécutif). C’est l’une des trouvailles desjuristes qui ont écrit les statuts de la CTM.
Le directeur ayant été remercié on imagine mal qu’une décision judiciaire oblige la CTM à le réintégrer dans ses fonctions de directeur. Un nouveau président s’impose donc au PNRM, lequel devrait notamment instruire sans délai une question cruciale, s’agissant l’ouverture de la prochaine saison de l’usine du Gallion. Il n’est pas sûr que, faute d’entretien du four (absence de tenue du registre d’entretien), la CTM ne soit pas obligée de faire appel à ALBIOMA, ne serait-ce que pour une durée déterminée. D’autant plus que cette société devrait avancer les fonds nécessaires qui manquent à la collectivité.
Ces deux décisions appellent la négociation, élément indispensable en démocratie.
YLM, selon moi, il ne peut y avoir ici de jugement de Salomon. Tout simplement parce qu’en démocratie on ne peut pas mettre un élu du peuple au niveau d’un administratif aussi « compétent » qu’il soit. Cela constituerait un précédent et aurait des conséquences gravissimes pour la majorité qui n’est pas dupe, d’autant que M. BRITHMER, qu’il le veuille ou non, est manipulé par EPMN.
A-t-on jamais entendu un maire démissionner suite à un désaccord avec un DGS. Les maires se séparent des DGS avec lesquels ils ne s’entendent pas, à longueur d’année, sans que cela n’émeuve personne. L’ancienne majorité régionale s’est aussi séparée de gestionnaires qui faisaient pas l’affaire pour une raison ou pour une autre. Pourquoi donc, en serait-il autrement au Parc Naturel ?
Cette affaire est montée en épingle, il faut l’admettre et il c’est une petite minorité qui fait blocage. Les syndicats maison ne sont même pas impliqués dans ce conflit, comme téléguidé de l’extérieur.
Et ce n’est pas moi qui ai fait dire à M. BRITHMER « qu’après le combat juridique et le combat syndical, le plus déterminant est le combat politique. » : cela s’appelle se faire hara kiri.
Une autre preuve qu’il s’agit d’un conflit politique, Philippe PIERRE-CHARLES, il y a quelques semaines enlève sa casquette de syndicaliste pour publier, ici même une tribune ! Aujourd’hui, il décide de remettre sa casquette pour nous pondre ce condensé de mauvaise foi ! Comme quoi, il faut faire feu de tout bois pour faire plier cette gauche qu’il ne porte pas dans son coeur.
Comme Devaquet, qui était dans son droit, et comme d’autres après lui…
Très mauvaise exemple !
DEVAQUET était ministre. Et il a perdu son poste de ministre, qui n’est pas à proprement parler un poste d’élu.
HAD, au moment où nous parlons, Boutrin n’est pas élu. Il a cessé de l’être au moment précis où il est devenu conseiller exécutif. Avec la réforme institutionnelle, il n’y a plus de confusion entre conseiller territorial et conseiller exécutif. Ne pas confondre un élu de commission permanente et un membre du conseil exécutif. Oui, HAD, Boutrin a un statut juridique plus proche de celui de ministre que celui d’élu. Sauf qu’il ne peut (peut-être ?) pas être viré du conseil exécutif. Personne ne peut « démissionner » un élu, mais un président de PNRM, oui. Comme élu il avait la confiance des électeurs, comme conseiller exécutif il n’a plus que la confiance de celui qui l’a choisi, AMJ. Comme dans un gouvernement, comme un ministre, comme un préfet, comme un sous-préfet. Il avait dû démissionner de l’assemblée pour être désigné définitivement membre du conseil exécutif. Il ne peut plus faire marche arrière. Le raisonnement de celui qui le nomme peut être : « il ne réussit pas à cette fonction », ou » il ne réussit pas à se faire comprendre » ou encore « il cristallise trop de mécontentements ». A l’égard du président de l’exécutif, la situation n’est guère différente que la situation de M. BRITHMER à son égard : pas besoin de justification pour le relever de ses fonctions. Si le PCE considère que sa présence au poste qu’il occupe est préjudiciable à la bonne marche du groupe, il peut l’écarter comme un premier ministre écarte un ministre. C’est d’ailleurs l’esprit de l’article 74 qui se retrouve ici.
Devaquet est donc un exemple presque parfait. Il avait été viré mais il était possible de lui confier un autre portefeuille. Ce peut-être le cas de Boutrin. Mais AMJ peut parfaitement le garder à ce poste même s’il n’y a que des inconvénients politiques à le faire. C’est beaucoup plus de politologie que de droit.
YLM, tu es trop intelligent pour moi et même un peu tordu. Il faut arrêter de faire des supputations et d’écrire des scénarios.
Car on n’est pas à Hollywood.
Had, cessez de nous faire prendre « dlo moussach pou lèt » comme vous l’écrivez plus haut. Il existe un problème BOUTRIN au sein de vôtre mouvance, problème qui apparaît de plus en plus évident quand on lit entre les lignes tous les commentaires au sujet de cette affaire BRITHMER, mêmes les vôtres. Tous ces mots mis entres parenthèses, toute cette retenue concernant les aspects singuliers de l’inquiétante personnalité du personnage. Il faut sauver à tout prix le soldat Boutrin, mais tous vous vous y collez avec une espèce d’angoisse perceptible et de réserve contenue dans le propos. A commencer par Confiant lui-même sur son blog militant, partisan à l’extrême, qu’il ose qualifier de site, même lui commence par décrire la personnalité particulière du personnage Boutrin avant de présenter un réquisitoire particulièrement marqué de mauvaise foi contre Brithmer. Vous devriez au contraire profiter de l’occasion pour vous débarrasser une fois pour toutes de cet encombrant personnage. Vous pourriez avoir de bonnes raisons de le regretter dans un futur proche qui avance à grands pas.
« on ne peut pas mettre un élu du peuple au niveau d’un administratif aussi « compétent » qu’il soit. »
Ah…! Il vaut mieux garder, d’une façon générale, un « pseudo-élu » (ne représentant que l’infime fraction des citoyens ayant été voter « en leur âme et conscience »), aussi incompétent qu’il soit ?
Dans l’absolu, c’est complétement insensé, mais comme les « institutions » le permettent, ça en dit long sur le niveau de conscience du législateur, et de la classe politique y afférente, sans même évoquer le système politique (« pseudo-démocratique ») qui génère se genre d’absurdité…
Pas étonnant que nous courrions tous à notre perte:
https://www.notre-planete.info/actualites/177-avertissement-15000-scientifiques-environnement-humanite
Il est élu du peuple, mais aussi « ministre », comme Devaquet en son temps. Si l’on peut dire !
Pas d’accord monsieur YL M. Si une décision de (justice) ne peut le réintégrer, elle peut en rendant le droit, contester les modalités et autres régles de l’art présumées baffouées et donc invalider toute la démarche . Un tel résultat, le cas échéant, n’est absolument pas une vue de l’esprit. À mon sens et rien que pour ce que jai humblement en connaissance, l’avocat qui se montre incapable de convaincre le juge le plus récalcitrant, sur ce dossier, ne peut que rendre la robe et aller faire des jobs de maçon … c’est seulement après qu’intervient la négociation … je vois bien moïse sur ce coup ! De maître …
Si j’ai bien compris, son licenciement ne prendrait effets qu’en décembre … d’ici là, dautres immondices s’accumuleront sur le bord de nos routes. Je ne vous dirai pas tout ce que je sais … sauf si on me le demande poliment. Brithmer, si tu m’entend, ne te fais pas trop de bile. Foss !
Un juge ça dit le droit ou ça ferme sa gueuler … le sadique YL M à tendu une perche à un Ha d suffoquant simplement pour lui dire :
» lè ou an mitan lanmè … ou pa ka jouré maman rétchen … cette leçon vaut bien in fromage … qui pue !
Je m’inscris en faux YLM, contre votre tentative de légitimer une fois de plus ce qui ne saurait l’être. Vous souscrivez, écrivez-vous à l’argumentation d’ Hadverbeen, or d’argumentation il ne s’agit résolument pas en la circonstance. Il s’agit plus vraisemblablement d’une interprétation abusive des propos de Brithmer versés à son encontre par la partie adverse dans le but de faire croire que son opposition à Boutrin se situerait sur un plan politique. Tous en Martinique nous savons que ceci est faux et qu’il s’agirait plus simplement d’un conflit humain entre deux hommes qui partagent par ailleurs probablement les mêmes convictions politiques. Mais certainement pas les mêmes façons de les mettre en pratique. La stratégie de défense de Mr Brithmer a clairement été exposée par ses propres soins et repose sur trois axes parfaitement cohérents au regard de la logique.
L’un dit-il est syndical ( sa défense en tant qu’agent du Parc par son syndicat CDMT), le deuxième juridique, avec des recours au TA (licenciement abusif) et plaintes en pénal (harcèlement moral) et le troisième avec l’action d’une majorité des élus du PNRM en sa faveur, pour la demande de réunion extraordinaire, donc par nature politique puisqu’il s’agit d’élus. Si vous voulez comme notre ami Had, affirmer stoïquement et en toute mauvaise foi que le combat que mène ce citoyen est uniquement politique, je vous suggère d’imaginer les arguments qui à l’inverse pourrait laisser supposer que ce serait plutôt son licenciement prévu dès probablement l’arrivée de Boutrin dans cette structure qui serait d’ordre politique. Ils seraient nettement plus pertinents. Je comprends votre désir récurrent de jouer une fois encore Monsieur les bons offices pour le maintien de l’ordre public, mais une fois encore vous faites fausse route Monsieur. En vous laissant instrumentalisé, enrégimenté, embrigadé comme voudrait le faire avec tous les martiniquais les acteurs de cet énième scénario du piège à cons. Il n’est d’ailleurs pas tout à fait impossible que Brithmer lui-même n’en soit pas une victime… tout simplement. Parce c’est bien le licenciement de cet homme qui est politique et celà en amont, c’est à dire avant que sa défense ne le soit. Ne vous laissez pas manipuler par le flôt d’abjections de certains contre leur collègue… ils sont en service commandé. Et très sincèrement pour le management d’un parc naturel entre les compétences un ancien ostéopathe devenu avocat puis politicien (d’humeur instable, réputée sombre querelleuse vindicative et agressive comme nous avons tous pu le constater lors des anciennes plénières de région) et un spécialiste de la faune et de la flore dont la compétence en ce domaine est unanimement reconnue… il n’y a pas photo comme on dit. Toute la Martinique connaît le caractère excessif de Louis Boutrin et son désir de pouvoir… de puissance. Il y a bien un problème avec cet élu, où qu’il aille, quelque soit le poste auquel il aurait été nommé, sa personnalité particulière aurait généré ce genre de problème. Tous nous le savons.
Ce qui est abject ici, c’est la sottise !
Vouloir introduire de la subtilité là où il n’y en a pas ou se montrer binaire quand les choses sont plus complexes, tout cela pour nous dépeindre un monde conforme à ses fantasmes.
Dès lors qu’il s’agit pour un DGS, de s’appuyer sur une majorité d’élus pour déchouquer un président élu, c’est un acte politique qui fragilise la défense de cet administratif.
La jurisprudence est claire là dessus et tout un chacun peut le vérifier : un DGS peut parfaitement être licencié en raison de la perte de confiance. Il faut arrêter de vouloir nous faire croire que le licenciement d’un DGS constitue une atteinte au droit des salariés et la jurisprudence n’est pas le fruit de la cogitation de Daniel MOISE qui ferait en l’espèce, un piêtre défenseur de Ronald BRITHMER.
Quant à la personnalité de BOUTRIN décrite avec tant d’effet de manches, au yeux du tribunal, c’est de l’enfumage, des bobards, aussi vrai que cela puisse être.
Enfin, d’une façon générale, ester en justice, saisir le tribunal administratif n’a jamais été un concours d’éloquence, contrairement à tout ce que les ABC de service peuvent penser.
«Daniel MOISE qui ferait en l’espèce, un piêtre défenseur de Ronald BRITHMER ». Une fois de plus Monsieur le supplétif du porte parole de l’exécutif votre réquisitoire bancal s’appuie sur des interprétations, des proçès d’intentions. Je ne me place nullement en défenseur de votre collègue Brithmer, je le crois assez en mesure de le faire tout seul. Je rétablis simplement des faits que vous vous efforcez ici de présenter de manière fallacieuse. Contrairement à vous je n’ai aucun intérêt à falsifier la vérité. Ma participation à ce forum n’est inspirée que par la confrontation citoyenne d’arguments concernant des sujets de politiques publiques. Je ne fait pas dans la propagande et la manipulation, je donne mon avis personnel. Contrairement à vous.
Franchement Moïse … … je suis épaté, je reste baba, voir Ababa ! Même si ça allait sans dire, ça va bien mieux en le disant.du coup, je n’ai plus rien à ajouter après t’avoir remercié , si ce n’est que j’attends avec une certaine frénésie … le coup de grâce ! Il est de compétence très léger le bougre mais il entraîne toute sa ribambelle dans son sable mouvant . YLM pé menm pwi an sa ! pow biab …
« A t on jamais vu un maire demissionner suite à un désaccord avec un DGS »Bonne remise en place de l’ordre hiérarchique des choses HAD nonobstant les souffreteux et pseudo juristes de tous bords adeptes d’arrangements sur fond de corruption si presente dans notre petite martinique.
Là question n’est effectivement Pas, freddy, la démission, tu as raison, fôk li d’été pran y … la question c’est :
Est ce que le droit à été scrupuleusement, tant dans la forme que sur le fond, respecté ??? N’étant pas juriste … pas tenté, j’attends la réponse de qui de droit. J’ai seulement par intuition, une vague petite idée qui demande chaque jour à être développée.
« On peut ne pas aimer M. Boutrin, dire qu’il est -infecte-, mais il est élu ! »
Effectivement c’est un élu ! Elu bien entendu couronné par un tiers des inscrits martiniquais le 13 décembre de l’an de grâce 2015. Ce 13 décembre 2015 étant le corollaire de ce -bal de macaques- préalable entre -indépendantistes- et – compradores- de la colonie. Toutefois, toute cette clique est bien élue. Personne ne le conteste, nonobstant cette -tambouille électorale- malsaine dont les impératifs furent d’écarter l’autre mâchoire du -piège à béotiens et autres oblats-. Comme à l’accoutumée, le piège a fonctionné et le suivisme d’une fraction de la population a légitimé ces dit élus, le fort taux d’abstention n’ayant aucune importance pour de tels -démocrates-. Une peccadille. Ils sont élus du peuple. Point ! Gare aux insubordonnés ou autres effrontés !
Aujourd’hui l’on s’étonne de certains comportements ??? Il n’y a pas à s’en offusquer puisque ces gens qui se basent sur une certaine -légitimation- ou -légitimité- populaire (Encore une fois un peu plus du tiers des inscrits martiniquais s’est exprimé aux élections territoriales de 2015) sont en fait -pétris- d’un autoritarisme imbu de leurs personnes. Il n’y a qu’à regarder comment est -traité- le Président -complice- de l’Assemblée Territoriale. Voilà un -Président d’Assemblée Territoriale- dont les -prérogatives- sont -écrasées- avec effronterie par celles d’un -Président de Conseil de l’Exécutif- complètement omnipotentes . -Boutrinisme-, -Marie-Jeannisme-, la concentration des pouvoirs est une -constance- chez ces gens là !.
Rien d’étonnant aie-je dit plus haut. – Le fonctionnement de la CTM ? Une forme indicible de -césarisme- qui ne puis supporter de division fonctionnelle des pouvoirs. L’autoritarisme du -chef charismatique- président de Conseil Exécutif déteint tout simplement sur son -ministre- de l’économie bleue, qui lui-même fait son – César- dans son coin.
Cette transformation de l’autorité politique normative – pouvoir public local- en autoritarisme imbu s’est faite à l’insu de la population martiniquaise par la -subordination- du législatif (Assemblée Territoriale), et fût bien entendu -douce-. Aucune effusion de sang ! Mais… le -véritable- patron et ses sbires veillent au grain. Pratiquement chaque plénière est un -coup d’Etat-. Le président du Conseil Exécutif ne s’était-il pas permis de distribuer des -bons points- au président de l’Assemblée Territoriale pour avoir mis au pas l’opposition par une suspension de séance elle-même autoritaire et sans appel ?. Si le président de l’Assemblée Territoriale avait fait son travail dévolu de -police- dans l’hémicycle, cette intervention « Marie-Jeanniste- démontrait qui en était le -vrai patron- du bidule.
Entendrons-nous parler d’autres petits – César- au sein du Conseil Exécutif ? L’avenir le dira. En tous les cas, force est de constater que ce soit à la Collectivité Territoriale de Martinique ou au PNRM (organisme dépendant de la première), -César – concentre autour de lui tous les pouvoirs, les différents organes démocratiques (contre-pouvoirs) étant muselés, intimidés ou entravés. Il est fait carrément allusion à une -soumission au système Boutrin-. (Lu dans le texte). Nous sommes en Martinique en l’an de grâce 2017 !
L.G
-
L. G, Merci de lire ma réponse à HAD.
Sauf que cette intervention semble avoir été avalée. Mais elle était longue, je ne la referai pas. Je disais en gros que BOUTRIN a cessé d’être élu du jour où il est devenu « ministre » d’AMJ. Il a un statut plus proche que celui d’élu. Mais je ne redévelopperai pas.
Plus besoin de balancer des « crabes » (plus contextuel que « porcs », -encore que-,…): ils sont connus de tous
:
Lydie et Moïse ont tout dit.
Rien à ajouter (pour ma part, en tout cas, si ce n’est qu’on a pas finit d’en suer).
Finalement, dans toutes ces querelles de pouvoir, et d’égos, qui se soucis réellement de l’intérêt de tous, et de la bonne gestion du Parc naturel Régional de Martinique ?
Si tel était le cas, des gens intelligents se seraient mis autour d’une table, auraient discutés, et trouvé un consensus, sans en arriver à de telles extrémités.
En commençant par laisser exercer leur métier sereinement à ceux qui en ont les capacités, par exemple.
C’est tout le problème de cette planète…dont la Martinique serait, toutes proportions gardées, une réplique en miniature assez fidèle de ce qui concerne la gestion des problématiques environnementales, socio-économiques et de politiques générales.
C’est fascinant.
Je n’ai certe pas le profil pour … mais j’apprécie que : »La Lydie nouvelle est arrivée » celle là aura mon respect ! Et, voir plus … C’est timidement ému que ja la ferai remarquer que la métaphore de la mâchoire va choire avec un peu d’imagination . Je vous salue bien bas …madame !
https://www.change.org/p/contre-l-esclavage-des-migrants-en-libye-fermons-les-march%C3%A9s-aux-esclaves/nftexp/ex32/control/835496283?recruiter=835496283&utm_source=share_petition&utm_medium=facebook&utm_campaign=autopublish&utm_term=autopublish&utm_content=ex32%3Acontrol
De la théorie à la pratique. Extraits du discours de Louis Boutrin le 6 mai 2011. « Pour construire un pays sur la puissance de ses forces vives…Un pays qui fera la fierté des Martiniquais où il fera bon vivre et travailler…Oui, nous pouvons créer cette étincelle, cette flamme nécessaire à l’insurrection des consciences…Oui, nous pouvons rassembler toutes ces énergies dispersées, fédérer les bonnes volontés éparses, afin de faire naître dans ce pays-nôtre, une nouvelle dynamique. Oui, nous pouvons créer ce sursaut politique…Et, c’est aussi au nom d’une certaine conception de la Liberté, et de la nécessité d’un pluralisme des idées politiques que nous avons décidé de créer, Martinique Ecologie, ce nouveau parti politique que nous vous appelons à rejoindre ».
Et en 2017 une fois parvenu au pouvoir exécutif… licenciement sec d’un DGS martiniquais, pour « insubordination ». Ce genre d’individu ne doit plus jamais être élu, ni plus jamais assumer une quelconque responsabilité publique en Martinique. Plus jamais !
Et toi dis nous ton Genre afin de savoir si j’adh a Toi ? B.B.
Si c’est le mot « genre » qui vous dérange, remplacez le par « type » et même « sale type » si ça vous chante. Car effectivement un politicien qui une fois parvenu au pouvoir, pratique une politique résolument inverse de ce qu’il prône en campagne, pourrait parfaitement correspondre à l’image qu’on pourrait se faire de la définition d’un « sale type » plutôt qu’un « sale genre ». Vous avez tout à fait raison de le relever. Et encore merci pour vôtre vigilante participation.
Le discours de Boutrin pouvait être bien plus court.
Un « Yes we can » aurait suffit… mais c’était déjà pris.
Cesarisme,cesairisme ,boutrinisme marie jeannisme le vocabulaire politique antillais se décline en isme et est toujours aussi creux.Gare aux foudres de Jupiter.
Freddy ! Ou two cho . Je remercie de plus en plus moîse de mettre plus en valeur sa partie … positive, et, bannir sa métaphore de la mâchoire pour un réalisme grandissant qui fait du bien. Me faire ainsi découvrir l’étendu de la bouffonnerie de l’inommable élu, est une prouesse du genre … » merci pour ce moment » ..