« Commande publique et clauses d’insertion », c’est le nom des journées de réflexion qui se tiennent les 28, 29 et 30 novembre 2012 à Fort-de-France et Schoelcher, à l’initiative notamment de l’ADEICEM-PLIE de la CACEM, et du Centre de Ressources Politique de la Ville.
Objectif de ces journées d’échanges entre élus, acteurs de l’insertion et experts de la commande publique : promouvoir la « claude d’insertion » dans les marchés publics, et faciliter sa mise en oeuvre par les acteurs locaux. La clause d’insertion permet de privilégier l’emploi de personnes en difficulté à travers les marchés publics.
En plein mois de l’économie sociale et solidaire, les organisateurs de ces journées de réflexion considèrent en effet que « les collectivités régionales, départementales, les EPCI doivent plus que jamais démontrer leur volonté de construire la cohérence des projets de développement économique avec l’insertion des personnes en difficulté ».
Invité pour l’occasion par les organisateurs, Nadir Haouat, expert de la Claude d’insertion, interviendra dans la plupart des ateliers de ces trois journées, auprès des élus et techniciens intéressés par cette problématique.
l’emploi par la commande publique ?
la solution de fond n’est pas dans la commande et les dépenses publiques .
cela peut aider ponctuellement, MAIS la solution est dans l’économie budgétaire de l’ETAT et des collectivités territoriales, qui par exemple devrait se manifester par une baisse annuelle de 2 % de tous leur budgets pendant 5 ans ;
Nous sommes déja arrivé à un niveau beaucoup trop élevé de dépenses et investissements publics de la part de l’Etat et surtout des collectivités territoriales qui ont pris depuis maintenant une bonne décénie , ce mauvais chemin en se lançant dans toute sorte d’investissements qui ne les concernait pas .
2 exemples locaux :
- le musée du pére pinchon rt de didier ! combien cela va t il couter ? quel sera le déficit d’exploitation …à notre charge , car c’est par le prélévement d’impots et taxes que les collectivités financent leurs dépenses .
- la pub sur l’eau du robinet du syndicat intercomunal du centre et du sud .
combien cela a t il couté ? qui a payé ? est ce dans le cadre concurentiel ? NON ..c’est donc seulement pour l’image de ce syndicat ?? ALORS , ce n’était pas la peine de GASPILLER autant d’argent public
CETTE PWOFITASSION des élus nous coute . Ne croyez pas que c’est gratuit . c’est l’octroi de mer & les taxes régionales
CONCLUSION : c’est la PWOFITASSION des élus qui rend la vie chére à la Martinique .
Si on aditionne tous ces gaspillages , on va trouver plusieurs dizaines de millions d’€ par an, qui auraient pu d’une part etre économisé , et d’autre part servir a la création et au soutient des PMI, PME , artisans , agriculteurs .