Levée de bouclier unitaire des maires de Martinique face à la décision du gouvernement de réduire de façon drastique les emplois aidés. Les élus, réunis à l’association des maires le 23 août 2017 ont décidé de rendre une visite impromptue au Préfet pour lui faire part de leurs craintes et besoins. Une réunion au terme de laquelle ils ont pu obtenir des garanties quant aux emplois liés à la rentrée scolaire.
Interrogé sur les médias nationaux, le premier ministre a de son côté évoqué un maintien des emplois aidés pour les territoires d’outre-mer, sans en préciser les conditions. Les maires de la Réunion, fortement impactés par la mesure, s’étaient également mobilisés en début de mois.
@polpubliques – Photo copie écran Martinique 1ère
De quoi osent-ils se plaindre ?
Les emplois aidés étaient censés préparer à l’emploi, par une expérience formatrice, des publics éloignés du marché du travail le plus souvent dépourvus de qualification. C’est ainsi que se justifiait le soutien financier de l’État.
Au lieu de jouer le jeu, les maires ont fait de l’aide un moyen d’embaucher à vil prix des personnels sous-payés jetables au bout de 2 ou 3 ans sans acquisition d’aucune qualification et renvoyés dans l’enfer du chômage ou au mieux du retour à un nouvel emploi aidé aussi pauvre en perspectives d’insertion pérenne sur le marché du travail. L’aide était pour les chômeurs, les maires l’ont détournée à leur profit pour se doter d’un vivier de précaires en lieu et place de fonctionnaires titulaires, le tout pour alléger leur trésorerie et faire croire qu’ils créaient des emplois pour répondre à des besoins sociaux.
Aujourd’hui ils voudraient nous faire croire que sans ces emplois aidés ils ne pourraient plus assurer une partie de leurs missions, notamment dans les écoles, ce qui constitue en soi un aveu explicite de détournement d’une aide qui n’était clairement pas destinée à l’exercice de leurs missions.
Par ailleurs l’un d’entre eux n’hésite pas à dire dans le FA du 24 aout que « Le Président de la République, en voulant réduire les dépenses de l’Etat, amplifie la pauvreté en Martinique et refuse l’insertion et la réinsertion aux enfants d’esclaves mais aussi à ceux des dissidents martiniquais qui ont bravé les océans pour aller libérer la France des fasciste ». Non vous ne rêvez pas. Après avoir vomi un bon coup devant un tel condensé de mauvaise foi et de mépris utilitariste pour nos ancêtres et leurs combats, vous finissez par vous demander quelle vision d’aussi sinistres individus peuvent avoir du destin souhaitable de leurs semblables au-delà de la précarité payée au lance-pierre pour être à leur service.
Exploiter la sueur d’autrui, comme même le plus rétrograde des békés agricoles de roman historique n’oserait en rêver, en n’imaginant pas pour cet autrui de destin plus stable et plus conforme au modèle social martiniquais, voilà donc ce que ces maires râleurs ont entendu faire d’un outil de lutte contre le chômage. Apparemment, ils tendent la sébile pour que ça continue.
C’est pour quand le grand renouvellement de la classe politique martiniquaise ?
Présentez vous, vous serez surement élu, vu que vous savez apparemment tout faire…… bien que vous n’ayez jamais pu esquisser ici la moindre solution !!
Quel maire n’aimerait pas du personnel a tout faire payé par un tiers ,jamais titularisé afin d’assurer toutes les tâches ingrates d’une administration communale :(cantine ecole, voiries , entretient des edifices et jardins publics ext….)C’etait le rêve. …Plus dure sera la chute….
Le rouleau compresseur (budgétaire) du dogme des « 3% », purement comptable et totalement absurde, est en roue libre.
*L’armée impactée, le CEMA a démissionné de façon fracassante: le gouvernement est en train, « en même temps » de diminuer les crédits liés à la sécurité en disant que « la sécurité est une priorité »…
*Les fonctionnaires, « trop payés » et « trop nombreux » voient leur traitement et les recrutements gelés (sauf dans la police, où il faudra bien de nombreux effectifs pour « casser » les manifs du mois prochain): le gouvernement est en train, « en même temps », de diminuer les crédits liés aux services publics en disant que « le service public est une priorité »…
*Gel des contrats aidés dont le dispositif, bien qu’imparfait, permet de resocialiser de nombreuses personnes sans emplois, n’ayant aucune autres perspectives: le gouvernement est en train, « en même temps », de diminuer les crédits liés à l’emploi, en disant que « l’emploi est une priorité »…
Bientôt, les retraités paieront pour les actifs, les remboursements de santé seront réduits aux anti-dépresseurs et au paracétamol (il faudra bien, pour le moins, gérer les maux de crâne et le désespoir des ménages cherchant comment boucler leurs fins de mois), les étudiants n’auront plus de place dans les universités, on invitera les détenus à se suicider pour faire de la place dans les prisons et, tout ça, pour permettre la captation de l’argent public par des entités parasites macrophages.
En fait, méfions nous quand on nous dit que quelque chose est « une priorité »: ça veut dire que la priorité est d’en diminuer, à la hache, les crédits alloués.
Le jour où on nous dira que « les pauvres sont une priorité », que « les vieux sont une priorité », ou que les « jeunes sont une priorité », ce sera un vrai massacre…littéralement.
Je ne sais pas pour vous, les amis, mais je pense sincèrement qu’une certaine classe politique, dans cette logique, devrait être « notre priorité » ! ! !
Marchons, marchons, et que ce sang impur abreuve nos sillons !
ils savent se soulever quand il faut alos ?????????????????????
ils ont peur pour les futures élections !!!!!!!!
avez vous donné une formation à ces emplois aidés ?
Les maires cherchent la facilité ils utilisent le clientélisme. Je propose que les sénateurs et encore plus certains qui ne servent strictement à rien à la population, ils se reconnaitront , versent au moins les 2/3 de leurs indemnités pour aider communes et associations etc….. ce sera déjà cà en plus les contrats aidés sont censés préparer à un emploi plus stable …. cela a t il été fait par les maires?
plus j’y pense plus je me dis qu’il faudrait supprimer au maximum les postes de maires tout puissants dont le rôle qu’is s’arrognte est « d’aider » en « usant de leur influence » ceux qu’ils veulent avec en retour…… devinez….. pfffffffff
Les maires cherchent la facilité ils utilisent le clientélisme. Je propose que les sénateurs et encore plus certains qui ne servent strictement à rien à la population, ils se reconnaitront , versent au moins les 2/3 de leurs indemnités pour aider communes et associations etc….. ce sera déjà cà en plus les contrats aidés sont censés préparer à un emploi plus stable …. cela a t il été fait par les maires?
plus j’y pense plus je me dis qu’il faudrait supprimer au maximum les postes de maires tout puissants dont le rôle qu’ils s’arrogent est « d’aider » en « usant de leur influence » ceux qu’ils veulent avec en retour…… devinez….. pffffff quel pays!!!!!!!!!!
Albert
Macron à compris ,ne jamais contrarié
l electeur par un discours mediatiquement morbide.Ne pas prendre comme Hollande de pari stupide ( se représenter si baisse du chômage )….mais…. en fin de compte la réalité vous rattrape toujours.
les emplois aidés sont une bonne chose dans une île avec un taux de chômage élevé, avec des jeunes en phase de désocialisation, dans un contexte de développement difficile ?
C’est surtout ce qui est intéressant à savoir!
mais cela n’intéresse personne ici, puisque personne ici n’est dans le cas de ces jeunes apparemment.
Il n’y a pas que les jeunes qui bénéficient des contrats uniques d’insertion, ou des contrats d’avenir.
Les personnes éloignées de l’emploi, d’un certain âges (30-50 ans) sans qualifications particulières, pouvaient également en bénéficier.
Ce sont d’ailleurs parmi les plus nombreuses à faire les démarches auprès de Pôle Emploi, car elles sont au chômage depuis longtemps.
Sans tomber dans le « cliché », quand les jeunes éjectés du système éducatif ont l’âge de percevoir le RSA (25 ans), ils s’en contentent, suivent une pseudo-formation en fonction de celles censées être proposées par Pôle Emploi ou une autre structure d’insertion professionnelle, « jobent » à côté sporadiquement, et « profitent » de la vie, tant que les parents assument derrière.
Ils commencent, parfois, à chercher un emploi « aidé »quand la pression familiale devient trop forte (arrivée d’un enfant, fondation d’un foyer, etc.).
Vu l’offre de travail (Pôle n’emploie presque plus personne), les contrats aidés pour ces jeunes là sont toujours les bienvenus.
Mais comme il y a beaucoup plus de candidatures que de fonds alloués pour ce type d’aide à l’emploi, beaucoup se retrouvent à la case départ (jobs divers et RSA, pseudo-formations proposées par Pôle Emploi).
Voilà la réalité: pour les jeunes, c’est mieux que rien quand il faut faire vivre une famille, et pour les anciens, c’est une bouée de sauvetage dans un contexte de sauvagerie sociale organisée.
Le gouvernement rêve de précariser tous les salariés sous les mêmes conditions que ces contrats temporaires: le but étant de flexibiliser un marché, dont la force de travail des gens n’est plus qu’une marchandise comme une autre, dont il convient de minimiser le coût pour maximiser des profits.
le CDI en France devient un luxe de plus en plus rare, et un dispositif est en train d’être mis en place pour qu’il ne procure plus de sécurité au salarié, tant il deviendra facile, bientôt, de licencier pour toutes sortes de raisons.
Si personne ici, parmi les commentateurs de PP, n’est pas dans une de ces situation, tous ont au moins quelqu’un dans leur famille, ou parmi leurs connaissances, qui y est confronté.
Donc oui, Justina, ça intéresse des gens.
Détrompez-vous.
Non seulement ça intéresse les gens, mais en plus il y a des gens qui considèrent que ballotter les jeunes et moins jeunes d’un emploi aidé à l’autre n’est pas leur offrir une perspective. Cela revient à les employer à vil prix temporairement au détriment de l’emploi classique donc en créant des chômeurs supplémentaires, sans les doter de compétences utiles à leur insertion sur le marché du travail donc en les renvoyant à la case départ au bout de 2 ou 3 ans.
Pour l’instant, ce sont des employeurs qui protestent, au nom de leur équilibre budgétaire, comme s’il s’agissait d’une aide de l’Etat aux collectivités locales, ce qui démontre bien que l’intérêt des jeunes et des demandeurs d’emplois n’est pas leur souci.
L’idée était bonne au départ, il y a bien quelques rares jeunes qui ont en effet été resocialisés et ensuite insérés sur le marché du travail, mais pour l’essentiel l’objectif initial a été perdu de vue. L’investissement attendu dans la qualification a été transformé en facilités de trésorerie par ceux qui protestent aujourd’hui et se moquent éperdument d’amener les bénéficiaires d’emplois aidés vers le marché du travail.
et quelle est votre solution à l’emploi de ces jeunes,dans un marché du tavail aussi déprimé pour des jeunes ayant quitté le système scolaire sans diplôme et sans formation, en sachant que l’immagration vers la France elle même empêtré dans le chomage, n’offre aucun perspective d’embauche.
donc blablabla….blablabla…..ça tout le monde sait faire, on parlera de tout, on incriminera tout le monde…aisé, commode, on peut le faire avec des mots simples ou un style ampoulé histoire de jouer au gran grek.
mais les solutions pour ces jeunes svp: les laisser chez eux et leur verser leur RSA
A ce jour, au moment où on parle, dans le contexte actuel, dans l’île, il n’y a rien d’autre.
cela ne coute guère moins et cela favorise la désocialisation, avec le risque de les retrouver dans le lot des délinquants, et là nous aurons les même faux gran grek qui nous ferons le même truc sur la délinquance avec encore les mêmes mots….sans toujours donner des solutions!!
Donc des solutions SVP pour ces jeunes, aujourdhui, en attendant les jours meillers promis depuis toujours dans le contexte très particulier des économies de très petites îles.
car nos gran grek oublient, c »est normal, vu leur haut niveau au dessus de tout, que c’est d’abord cette réalité qui est la notre: un économie micro insulaire avec un système européen de grand pays industrialisé dans un environnement concurrentiel de petites îles indépendantes.
donc le contexte est posé messieurs les gran grek qui critiqué tout d’emblée, passons au concret: propositions et solutions, dans l’immédiat et le court terme avec nos jeunes et pour un développement économique, à moyen et long terme, qui permet d’absorber les jeunes qui arriveront immanquablement d’arriver sur le marché du travail
Je ne doute pas un instant vu vos hauts niveaux d’expertise présumés que vous proposerez sans effort particulier les solutions pour que nos maires, tous parasites, idiots, profiteurs, sans coeur, n’ayant ayant soucis des autres, arrêtent de nous embobiner, comme vous le dénoncez
J’attends comme les jeunes d’ailleurs.
« et quelle est votre solution à l’emploi (…) » , etc. etc. etc.
Et la vôtre, justina ?
Vous n’êtes pas plus stupide que quiconque, nonobstant le fait que vous revendiquez une sorte de « misérabilisme intellectuel » qui ne vous sied guère…
Plutôt que de vilipender « les gran greks » par-ci, et les « gran greks » par-là, faîtes-nous donc part de votre avis, qu’on en discute: personne ne vous moquera (en tout cas, pas moi
), au lieu de faire des commentaires (pas très constructifs, de surcroît) sur ceux des autres.
Ou alors, aller donc faire un tour à Mikonos, on traitera votre « grékose »
…
Et envoyez-nous une carte postale, ça nous fera plaisir
Continuez à attendre, vous êtes en effet un parfait gibier pour les cautères sur jambes de bois et autres pirouettes électoralistes qui évitent de s’attaquer aux problèmes de fond, mais vous devriez tout de même éviter de compromettre l’avenir de nos jeunes en prétendant agir pour leur bien.
Contrairement à ce que vous postulez, la création d’emploi et le développement économique relèvent partout ailleurs de politiques publiques ad hoc conçues et mises en œuvre par un vrai travail préalable de réflexion et une vraie volonté politique éclairée de l’apport d’une technostructure compétente et de gran grek suffisamment distanciés. C’est de tout cela que manque la Martinique, y compris de gran grek utiles, du fait de l’omniprésence des gens comme vous assoiffés d’immédiateté ou de « recettes » et inaptes à raisonner au-delà des semaines à venir.
La solution ? Prendre les gens comme vous pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire des aveugles au mieux capables de tirer la sonnette d’alarme voire de proposer des solutions d’urgence mais certainement pas aptes à sortir le nez du guidon et à penser à moyen terme les politiques nécessaires, rebâtir une vraie technostructure, amorcer une réflexion locale sur ces sujets qui nous concernent, et se doter d’une classe politique enfin désireuse d’exercer les compétences de plus en plus larges que la loi lui confère au lieu de se contenter de surfer d’une élection à l’autre.
Nous avons sur place les germes de tout cela, nous avons même les moyens de penser une économie martiniquaise prospère et inclusive, et nombre d’entre nous agissent déjà en silence, les choses avancent certes timidement, mais l’obstacle essentiel se trouve chez les gens comme vous encore trop nombreux aux manettes et dans le débat public.
Continuez donc à attendre, si possible dans votre coin sans chercher à démolir ceux qui œuvrent dont vous ne vous doutez même pas de l’existence, et dont les actions ne vous serons pas perceptibles vu que vous n »avez pas le logiciel qu’il faut.
comme les réponses étaient attendus!!
Aucune pas l’ombre d’une proposition !!!
Proposez au lieu de toujours critiquez, de taper sur les politiques ou autres.
vous êtes pour moi deux branquignols qui se noient dans le baratin .
pour moi c’est clair:
vouloir fonctionner comme un grand pays industrialisé avec une économie insulaire de microétat est une illusion.
On ne peut pas avoir ce niveau de vie artificiel dans ce contexte.
Donc:
soit on continue à se la jouer, vos blablabla, mais en supportant les conséquences évidentes ( chomage de masse, société de d’hyper consommation, délinquance, tutelle et autres),
soit on vit notre réalité de Caribéen, c’est à dire comme nos voisins, avec un autre niveau de vie et de protection sociale.
Mais avoir le beurre et l’argent ça n’existe pas.
On ne pourra jamais dans ce contexte fournir du travail à nos jeunes qui sortent de plus en plus diplomés ou sans formation en Martinique
il ne faut pas mentir: il y a une obligation pour eux d’immigrer, jadis c’était d’abord dans l’environnement caribéen (Guadeloupe, Guyane, Curacao, Panama, Venezuela, Porto rico, etc…) ensuite ce fut exclusivement en France, maintenant les temps ont encore changé c’est partout de plus en plus loin, les sans diplomes resteront sur le carreau car la concurrence est rude certains la choisissent au péril de leur vie, ils en meurent dans la Méditerranée.
LA France, notre tutelle a toujours su que JAMAIS, les îles ne pourront offrir du travail à tous nos jeunes, elle a essayé et serait la première a souhaiter que cela réussisse, cela lui couterait moins cher.
Donc après avoir organisé le transfert massif via le bumidom, elle a choisi ensuite parce que NOUS le demandions le traitement social, la défiscalisation,les subventions, le fonctionnariat, et nous sommes de plus en plus accrochés à ce niveau de vie et donc de plus en plus exigeant à le maintenir sans souffrance…. Aujourd’hui le contexte fait que la France n’a plus les moyens sauf à faire aussi leur révolution et donc ce gouvernement dans sa logique capitaliste, ne peut que jouer sur certains paramètres: rogner sur le social, et nous en sommes victimes comme tout bon Français, rien de spécifique en soi, bien dans notre contexte cela se ressentira plus
On a déjà épuisé les recettes « miracles » défiscalisation et autres, mais on butera toujours sur une réalité, nous sommes Européens, avec un niveau de vie européen et AUCUN pays indépendant au monde, de NOTRE TAILLE, sans ressources naturelles exportables comme telles, n’a ce niveau de vie…ne venez pas me parler de Hong Kong ou Singapour, les deux sont dans un bassin asiatique qui est le lieu de fabrication de la majorité de ce qui se consomme au Monde, deux ports de départ .
Nos voisins caribéens sont l’élément de comparaison, car même taille, même contrainte, même production, même aléas climatiques, etc….
Ils vivent leur réalité et Ils ne sont pas, malgré notre arrogance, plus bêtes que nous et depuis bientôt 50 ans aucun n’a notre niveau de vie, personnellement je ne crois pas qu’ils se portent pour autant plus mal, mais c’est personnel, et ils sont donc exposés aussi à la concurrence, à la délinquance, à l’argent sale à recycler, au chômage, au départ de leurs jeunes vers l’Angletterre, les USA, le Canada,leurs gouvernement tentent de créer de l’attractivité tous les jours avec des mesures fiscales pour les investisseurs, avec en plus des salaires bien plus bas.
Donc la critique est aisée, mais personne ne parle de ces réalités incontournables, vous vous contentez de critiquez sans cesse , de cherchez un responsable sans apporter la moindre solution.
Donc le premier « truc » est déja de replacer le contexte: microéconomie à niveau de vie européen articificiel par les 40%, les subventions, l’Europe et sous tutelle de Manman France qui clame le jeu avec un traitement social…et à partir là faire le choix, rester européen avec ses conséquences et rester dans le cosmétique et le mensonge et être hypocrite, car les spécialistes du blabla, n’ont jamais le plus souvent monté la moindre entreprise et sont des salariés souvent fonctionnaires, n’ont jamais créé le moindre emploi, n’ont jamais vraiment souffert des maux qu’ils décrivent si bien, étant en fait dans le bon wagon, sans risque, de ceux qui sont tentent , des laissés pour compte OU vivre notre REALITE de CARIBEEN.
Donc en résumé je n’ai pas recette miracle car il n’y en a pas , toutes ne serons que cosmétiques,on peut pour se faire plaisir incriminer les politiques et s’amuser à faire croire qu’ils sont responsables et que nous sommes des victimes de ces salopards
Alors que nous sommes simplement CORESPONSABLES
Bla bla bla, bla bla bla …. nous vous laissons donc à vos analyses politiques et économiques de snack-bar, qui vous permettent de répondre aux fantômes qui vous font des suggestions que personne ici ne vous fait, et de préconiser votre discours défaitiste de la régression sociale comme préalable à l’atterrissage dans la rationalité économique.
En fait c’est avec vous-même que vous dialoguez, continuez donc ….
et votre blablabla continue…on connaît
Même s’il est vrai que les emplois aidés permettent à un instant T d’aider des jeunes et d’autres à se resocialiser et prendre goût à la vie active, il n’en demeure pas moins que certains ont dormi sur leur laurier en pensant que c’était la panacée. Il est inadmissible que pour faire travailler des personnes qu’il faille compter sur des subventions? Qu’attendent certains pour trouver des solutions de recettes
pour une réelle autonomie? Cependant, les solutions qu’ils pourraient émettre, conviendront-elles à la population? Avons nous compris que les politiques pour être élus, nous bassinent de promesses alléchantes et qu’après, par manque de détermination et de cohérence nous leur donnons raison et ils nous prennent pour des moins que rien. Oui, les emplois ont été et sont encore une bonne chose. Il est maintenant temps de réfléchir sur comment les améliorer, remplacer ou les pérenniser d’une manière plus respectueuse pour ceux qui en ont besoin et que certains maires réfléchissent de manière honnête sur la philosophie des emplois aidés…..
Les emplois aidés, seront de moins en moins aidés, car la France est un cours d’appauvrissement accéléré.
Nous devons prendre en main notre avenir. Une suggestion…
La population active est de l’ordre de 160 000 habitants de Martinique en 2017, elle est divisée en 3 couches :
a- 40 000 habitants salariés touchent les 40%.
b- 40 000 habitants salariés ou non, profitent en partie directement et indirectement des sur-salaires.
c- 80 000 habitants, survivent au « noir » en profitant plus ou moins des 2 premières catégories, plus de diverses aides.
Cette structure explique les nombreuses détresses lors de la retraite.
Si nous voulons lutter contre la pauvreté, il y a un moyen simple, le transport gratuit.
Objectif : diminuer pour toutes les catégories le « budget transport ».
Moyens :
- organisation intégrale des transports en communs 24 / 24, gratuit pour tous.
- doublement (au moins), du prix des carburants routiers.
Résultats attendus immédiats positifs :
- fluidité générale immédiate du trafic routier
- ceux que conservent leurs voitures : en valorisant l’ heure de voiture en moins, constaterons une amélioration de leur budget transport.
- ceux qui prennent les transports en commun gratuit, constateront une amélioration de leur revenu de 10 à 40%, suivant leur situation initiale.
- le commerce de FDF renait, plus de problèmes de stationnement.
- fin des investissements en infrastructures routières, il reste l’entretien des routes.
- division par 3 des importations, de pétrole pour les transports personnels et de matériel de transport routier.
Résultats attendus immédiats provisoirement négatifs :
- toutes les activités liées à la voiture sont divisées par 3.
Irrémédiablement dans les années qui arrivent nous allons assister à la hausse des prix des carburants voir à un rationnement des carburants pétroliers.
Il est préférable de prendre des mesures préventives bien organisées et à l’avance.
Les transports représentent certes une part importante du budget des ménages, surtout des plus modestes, mais malheureusement les mesures dignes de la Corée du Nord issues de votre analyse à la hussarde n’auront pas l’effet magique escompté.
Même au quotidien, on ne déplace pas les êtres humains comme des sacs de ciment. La pauvreté des nôtres est un sujet sérieux.
bien gentil, mais ça c’est de la politique fiction et de l’économie fiction, pour le monde futur, mais dans l’immédiat on fait quoi?
Pour que votre truc marche, il ne faut pas être dans un environnement capitaliste, ne pas avoir de concurrence et surtout pouvoir financer toutes les mesures qui paraissent, c’est vrai, pleines de bon sens.
exemple de ya ka fo kon utopique
« le commerce de FDF renait, plus de problèmes de stationnement. »
l’habitat étant concentré dans des zones périphériques, le commerce a suivi ces zones
la population du centre ville n’existe plus car les maisons du centre ville se retrouvent dans un imbroglio de succession et d’indivision qui fait que les moyens de rénover sont inexistants
parce que le foncier serait, même disponible, trop cher pour des primo accédants
parce que la population des éventuels logements sociaux ne sera pas celle du type de commerces de centre ville qui ne peuvent fonctionner qu’avec une population aisée, vu leurs tailles, leurs couts fixes, etc…
l’attractivité d’un cente ville existe de moins en moins dans notre contexte: les activités sportives périscolaires se sont faites en périphérie, normal dans le contexte exigu de Foyal, les administrations pour les mêmes raisons se sont installés en périphéries, les centres commerciaux existant son une offre quasi impossible à concurrencer aujourdhui, etc, etc..
donc cher François, vos solutions certes attrayantes demandent bien plus que ce que vous dites, avec des pseudos évidences qui se confrontent encore une fois à la réalité de ce que nous sommes, une micro-île., avec une Histoire, celle de la propriété, du foncier, d’une économie, d’une culture…ki ta nou.
donc des solutions existent mais elles demandent avant tout de prendre en compte notre réalité et pas simplement de nous plaquer une liste de yakafokon propre à une société qui n’est pas la notre…
il y a tout à revoir avec un autre paradigme, donc on y va…
Il y a pleins de façon de créer des emplois localement.
Il faut juste se sortir de l’esprit qu’une activité économique doivent OBLIGATOIREMENT générer des profits exagérés à ceux qui la mettent en place, en pressurant les créateurs de la valeur ajoutée (les gens) tout en détruisant ou en exploitant irraisonnablement l’environnement.
Outre la nécessité d’un investissement public conséquent et indispensable (pour les transports, par exemple, comme le suggère François, ou les énergies propres et renouvelables), il faut s’affranchir d’un conditionnement qui nous meut à acheter tout et n’importe quoi des mains de ceux qui étouffent l’émergence d’une vraie économie locale autonome.
En effet, interdire l’importation de tout ce qui peut être produit localement (en commençant par les voitures de François), mais surtout la nourriture, le textile, l’énergie; organiser des formations en fonctions des nouveaux enjeux du futurs (vieillissement de la population, ingénierie écologique, botanique, etc.); utiliser notre environnement de façon symbiotique et non pas de façon parasitaire, en n’y prélevant que le juste nécessaire tout en organisant son renouvellement, etc…
Toutes ces pistes constituent des domaines qui seront obligatoirement générateurs d’emplois en Martinique, comme partout ailleurs.
Ces démarches nécessaires sont malheureusement étouffées par un système marchand sans vision à long terme, et par notre consentement aliéné à nous y conformer.
Si on ne peut pas empêcher aux marchands extérieurs de tenter de nous vendre n’importe quoi, à n’importe quel prix, à nous de résister à la tentation de leur acheter leurs « verroterie »: le boycott de l’inutile et du superfétatoire doit être organisé dans un premier temps (on trouvera un moyen de pallier ce manque, de toutes les façons, en réorientant nos désirs en fonction de la nécessité).
Il y a un effort à faire sur soi qui, j’en conviens, risque d’être violent.
Mais faisons-le avant que cela ne soit insurmontable, contraints par la réalité qui se profile à l’horizon: prenons les devants, la pilule passera mieux, et nous serons préparés au pire.
Il faut minimiser l’impact des contraintes venues de l’extérieur, d’ordre écologique, économique, et démographiques en réorganisant notre espace, nos activités, nos mode de consommation et de production.
Il ne faut plus travailler pour avoir une activité insensée fondée sur le profit mercantile à court terme.
Il faut repenser l’activité humaine afin que le profit qui en résulte soit d’un autre ordre, beaucoup plus élevé, beaucoup plus humain.
A mon avis, voilà les pistes à explorer.
De toutes les offres politiques du moment, en France, il n’y a que LFI qui propose une ébauche de solution à ces problématiques.
C’est déjà mieux que rien, sachant que tout est fait pour étouffer l’émergence d’une nouvelle forme d’organisation de ce type: cela suppose un renversement de pouvoir, tel, que leurs dépositaires, qui bénéficient du méta-système actuel, feront tout pour l’empêcher.
Nous ne ferons pas l’économie d’un combat.
Mais a-t-on vraiment envie de le mener ?
Continuez à attendre, vous êtes en effet un parfait gibier pour les cautères sur jambes de bois et autres pirouettes électoralistes qui évitent de s’attaquer aux problèmes de fond, mais vous devriez tout de même éviter de compromettre l’avenir de nos jeunes en prétendant agir pour leur bien.
Contrairement à ce que vous postulez, la création d’emploi et le développement économique relèvent partout ailleurs de politiques publiques ad hoc conçues et mises en œuvre par un vrai travail préalable de réflexion et une vraie volonté politique éclairée de l’apport d’une technostructure compétente et de gran grek suffisamment distanciés. C’est de tout cela que manque la Martinique, y compris de gran grek utiles, du fait de l’omniprésence des gens comme vous assoiffés d’immédiateté ou de « recettes » et inaptes à raisonner au-delà des semaines à venir.
La solution ? Prendre les gens comme vous pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire des aveugles au mieux capables de tirer la sonnette d’alarme voire de proposer des solutions d’urgence mais certainement pas aptes à sortir le nez du guidon et à penser à moyen terme les politiques nécessaires, rebâtir une vraie technostructure, amorcer une réflexion locale sur ces sujets qui nous concernent, et se doter d’une classe politique enfin désireuse d’exercer les compétences de plus en plus larges que la loi lui confère au lieu de se contenter de surfer d’une élection à l’autre.
Nous avons sur place les germes de tout cela, nous avons même les moyens de penser une économie martiniquaise prospère et inclusive, et nombre d’entre nous agissent déjà en silence, les choses avancent certes timidement, mais l’obstacle essentiel se trouve chez les gens comme vous encore trop nombreux aux manettes et dans le débat public.
Continuez donc à attendre, si possible dans votre coin sans chercher à démolir ceux qui œuvrent dont vous ne vous doutez même pas de l’existence, et dont les actions ne vous serons pas perceptibles vu que vous n »avez pas le logiciel qu’il faut.
Pour sortir des généralités, voilà une conférence de l’ingénieur Jean Marc JANCOVICI qui concerne les questions de l’énergie, 2 heures.
https://www.youtube.com/watch?v=TgWU_jssAhk
Une autre de l’économiste en chef de l’AFD, Gaël GIRAUD, 8 minutes
https://www.youtube.com/watch?v=his9Ep00ZAYPhilippe
Une dernière sur la décarbonations des transports avec BLABLACAR SNCF VINCI
https://www.youtube.com/watch?v=LV1RWh9hA54
Pour proposer des solutions il faut travailler et sortir des commentaires généralistes et bidons.
« Il y a pleins de façon de créer des emplois localement. »
et bien sûr
-tous ceux qui en crèent aujourdhui et qui butent sur la réalité sont des……. imbéciles
-tous nos hommes politiques sont des….. imbéciles
yaka fokon !!!
« -tous ceux qui en crèent aujourdhui et qui butent sur la réalité sont des……. imbéciles
-tous nos hommes politiques sont des….. imbéciles »…
ça c’est vous qui le dites.
Tout dépend de ce que l’on crée, et surtout, pour quoi faire.
Créer pour faire de l’argent, et rien que de l’argent, n’est plus viable.
Les places sont prises depuis longtemps, par bien plus gros que vous: c’est l’impitoyable réalité sur laquelle vous allez toujours vous heurter.
Ce n’est pas une question de bêtise, mais de poids.
Quand aux hommes politiques, qui se gargarisent de « l’intérêt général », bien peu le pensent, et encore moins agissent.
Là encore, ce n’est pas une question de bêtise, mais de soif de pouvoir et de cupidité.
Le contraire se verrait: nous n’en serions pas là.
Il faut créer et agir pour le bien commun.
Cependant, ce n’est ni la démarche des entrepreneurs (qui sont là pour faire des bénéfices, et pas du social), ni des hommes politiques qui n’agissent, souvent, que pour leur propre carrière.
Alors oui, des gens tentent d’inverser la tendance, au sein même d’organisation gouvernementales ou non (Cf. vidéo de l’AFD postée par François, par exemple).
Des associations comme ATTAC , et les collectifs scientifiques, ont déjà cerné les problématiques vitales de demain.
Mais pour l’instant, leur impact est faible car il n’y a pas de réelle motivation politique: il suffit de voir quels sont les crédits dont ils disposent pour mener leurs actions.
L’argent nécessaire pour fondamentalement faire évoluer la société, pour soigner cette planète et répartir les ressources, est plus que jamais capté par ceux qui le thésaurisent pour leur propre compte, et celui de leur caste.
Par exemple, selon une étude de mai 2017 de l’observatoire des inégalités, les 10% les plus riches, en France, s’arrogent à eux-seuls 1/4 des revenus nationaux: soit 270 milliards d’euros.
(https://www.challenges.fr/economie/les-10-des-plus-riches-captent-a-eux-seuls-plus-du-quart-des-revenus-en-france_477126).
On est loin, très loin de la « force de frappe » de « faire-valoir » gouvernementaux comme l’AFD, par exemple ( http://www.afd.fr/home/pays/amerique-latine-et-caraibes/alc/Republique-dominicaine/l-activite-de-l-afd )…
Il faut aller chercher l’argent là où il est, dans un premier temps, et donner leur chance à ceux , bien plus intelligents que nous tous réunis ici, qui ont une vraie démarche dans le sens de propositions d’avenir durable, dans un second temps.
Ne soyons pas étonnés, du coup, qu’il y ait une forte résistance.
Si le peuple veut que ça change, il ne fera pas l’économie d’un combat.
Mais d’abord il doit vaincre sa propre apathie.
Dans ma fougue, j’ai oublié le mot contextuel « emploi » après le verbe « créer », au début de ma réponse:
- »Tout dépend de ce que l’on crée [comme emploi], et surtout pour quoi faire »
- »[En] créer pour faire de l’argent(…)
- »Il faut [en] créer, et agir pour le bien commun »
Vous voudrez bien m’en excuser, je corrige ma copie pour vous éviter de déclarer un « hors sujet » que vous avez tendance à scruter et voir partout.
Si vous voulez allez à la source de la problématique, et comprendre ce qui fait qu’il y a du chômage, et pourquoi ça ne va pas s’arranger, voyez quelle est la logique du système :
https://www.youtube.com/watch?v=-wS011cOOLk&feature=youtu.be
(vidéo de 17 minutes environ)
vous oscillez entre le futur, la science fiction et les utopies
Mais là c’est du concret qu’il faut à nos problèmes et principalement à celui des jeunes qui ne vont pas attendre le Futur et les solutions hypothétiques d’un lendemain de science fiction.
mais en attendant l’entrepeneur c’est celui qui permet de créer des emplois, de verser des salaires , alors que vous et vos amis à discours blablabla, reprochaient aux maires de les utiliser faute d’emplois, et maintenant vous partez sur un autre truc sur l’argent, les places sont prises, etc…
C’est pas sérieux tout cela.
C’est un total hors sujet…le blablabla de l’enfumage.
Si vous n’êtes pas visionnaires, toutes les entreprises que vous tenterez de créer seront vouées à l’échec.
« L’entrepreneur » créé quels emplois ?
Et surtout, pour quoi faire ?
Des emplois payés une misère, au lance-pierre de surcroît, car:
- « le secteur est concurrentiel, les gars, rendez-vous compte: le chauffeur de camion roumain qui livre dans toute l’Europe pour 750 € par mois pour 65h de travail par semaine! Comment je peux vous payer plus sans faire faillite, les gars ? au moins j’ai créé vos emplois, fermez-là, et aller bosser ! »
Même vous vous n’en voudriez pas: si vous prétendez le contraire, personne ne vous croira.
Voilà le type d’emploi qui se crée, justina: de plus en plus in-sécurisant socialement, de moins en moins bien payés, de plus en plus stressants, sans que le salarié n’ait un travail valorisant dont il aurait une conscience de l’utilité collective.
Voilà qui n’est pas très sérieux.
Des emplois pour quoi faire ? L’entrepreneur » libéral » n’est pas là pour faire du social, mais de l’argent.
Qu’il n’investit même pas pour améliorer son outil de travail, mais pour le vendre au plus offrant, et partir avec la caisse.
C’est la majorité.
Rares sont ceux qui ont une activité valorisante pour leurs salariés, et une autonomie dans leur segment d’activité qui leur permette de prospérer et de vivre convenablement.
D’ailleurs: certains patrons de petites structures gagnent parfois moins que leurs salariés…parfois ils croient en ce qu’ils font, soit car ils ont conscience du bienfait qu’en tire la collectivité, soit car ils espèrent que leur projet décollera un jour pour les enrichir comme Crassus.
Les emplois, et les formations de transition, devraient être créés par l’Etat, dans un premier temps, pour un projet de réparation et de gestion planétaire, en régulant la population, en répartissant les ressources restantes, et en faisant en sorte qu’elles se renouvellent.
Des emplois d’une autre nature, à l’objectif non mercantile, lui aussi d’une autre nature:
Cela ne rapporterait pas de bénéfices à court terme uniquement à quelques uns, mais à long terme pour tous, et tous auraient conscience de l’utilité de leur activité.
Ce serait beaucoup plus valorisant pour les individus.
Mon avis est que c’est la seule façon d’avoir des emplois durables, utiles, hors d’un « marché » du travail à tendance aliénante et esclavagiste.
Et oui, il faut d’abord détruire le « Veau d’or », et d’abord dans nos esprits.
Pour vous c’est de l’utopie, du « hors-sujet »ou de la science fiction:
Vous êtes de ceux qui n’auraient pas compris l’utilité de la roue, du temps où la principale activité de l’homme était la cueillette ou la chasse: « utopique et inutile » auriez-vous sûrement asséné. « Et brulez-moi ça, il faut alimenter le feu! »
Vous n’avez pas de vision d’ensemble, à long terme.
Normal, vous serez mort, et n’envisagez rien au-delà de votre propre existence.
Comme la majorité.
Pour conclure:
Il vaut mieux avoir un travail qu’un emploi.
Savoir faire des choses pour les autres, plutôt que d’être asservit par quelques-un pour leur compte personnel.
Voilà la différence, voilà l’avenir.
Utopie ! direz-vous…
Vision ! répondrai-je.
vous ne proposez toujours rien !!!
et vous continuez dans votre délire sans prendre en compte la réalité du monde, de la concurrrence, de l’importation obligatoire parce qu’aucun pays ne peut vivre en autarcie en fabriquant tout
Donc oui vous êtes délirant!!
Je vais vous le dire sans emphase, avec des mots simples, et sans en faire une thèse, Justina: Il faut bien comprendre que nous sommes déjà en autarcie.
La voilà la réalité, et l’humanité n’a d’autre choix que de s’y accommoder.
La Science-fiction est de croire qu’un horizon stellaire se profilerait devant nous, et qu’on le prendrait d’assaut comme au Far West, avec un USS Enterprise, une Etoile Noire, et les Gardiens de la Galaxie, pour parasiter d’autres planètes, en exterminant leurs populations extra-terrestres.
Ce que j’évoque dans mes commentaires vous semble inatteignable, délirant, etc.
Pourtant, cette planète n’est pas extensible, et ses ressources ne sont pas infinies.
Nous vivons tous dessus, de fait, en autarcie.
Si nous sommes incapables de nous organiser sur un aussi petit territoire que la Martinique, et bien ne cherchons plus de solutions.
C’est inutile.
Surtout si notre pensée n’évolue pas, et qu’on réfléchit en terme de concurrence, de marché, et de profits.
Notre espèce ne pourra pas gérer la planète de façon autarcique, dans sa globalité, sans s’accorder, et croire que tout pourra toujours être comme avant, dans une illusoire abondance.
Peu de gens on vraiment conscience de cette réalité, Justina.
On refuse souvent de la contempler quand elle effraie: je n’ai pas moins peur que vous, figurez-vous.
Je ne vous blâme pas.
Mais il faut avoir le courage de faire face, ou disparaitre.
stephane est réduit à boire du chanflor frelatée … il est de ceux qui nous prennent pour des demeurés ! alors que nous passons de déconvenue en déconvenue , il ne se rend même pas compte que le temps joue contre … lui . il n’y a pas un seul martiniquais qui a besoin d’un leader politique pour voir, entendre, sentir et connaitre ce qui se passe à la ctm !!!
Quel rapport entre le sujet de ce débat, mon propos, le temps qui passe, et la CTM ???
Vous êtes de ceux qui pensent que l’univers des possibles à la Martinique se limite au dialogue entre MIM et PPM ?
Si tel est le cas, désolé de vous le dire mais 75 % des Martiniquais n’écoutent même plus ce qu’ils se racontent entre eux.
au lieu du blablabla et des utopies, regardez ce que font nos voisins, chacun à sa façon pour s’en sortir
Tous les jours il y a des infos la dessus
http://www.caribbeannewsnow.com/business.php
soit on continue hypocritement à se plaindre en nous gavant pour une grande partie, mais en restant bien accroché aux mamelles de Manman France
soit on fait comme les voisins, mais il n’y a plus ce discours facile, commode et lâche à chercher des responsables….. »c’est la faute à…… »
Seriously, man…?
Première page, premier concept, réussite imparable: les paradis fiscaux (Bahamas, îles Caïmans, etc.).
Et c’est moi l’utopiste….
Très fort.
Et moi qui doutais que vous émettiez une idée quelconque, je suis servit…
Clap! clap! clap! [applause]
Bravo…
A ce compte-là, indépendance immédiate de la Martinique, on relance le BTP avec de belles tours de verres de 500m de hauteur, constellées de plaques dorées de sociétés Off-Shore, et remplies de bureaux vides, puis on transforme l’île en blanchisserie internationale des cartels et de l’évasion fiscale multinationale.
C’est sûr !… l’argent coulera à flot.
Plus besoin de téter les mamelles de « maman France »: on sera vite sevré.
Mais à quoi pensent donc nos élus, pourtant payés fort cher, je vous le demande !!
Mais mises à part des formations de banquiers et d’avocats fiscalistes véreux, je ne vois pas quel autre type de travail vous pourriez proposer…voyons, voyons…
Ah ! Si, bien sûr: milices privées et tueurs à gages pour protéger les intérêts des gros clients…
C’est un concept, j’avoue…très dans l’ère du temps.
Surtout qu’avec la réserve martiniquaise de « Django gwo coco », et autres « boss mafia » d’hivers et avariés, la main d’œuvre ne risque pas de manquer…
Je vous l’ai déjà dit, certains créneaux sont déjà occupés par plus gros prédateurs que vous.
ROFL
[j'avais dit que ne rirais pas mais là, c'est irrésistible. Désolé.]
Albert,
Je pense que Justina se marre en postant ce lien.
Merci donc pour votre saine réaction qui semble être la seule !!!
Dans « la politique se l’oxymore » Bertrand MEHEUST explique « qu’un système de réalité va jusqu’au bout de ses possibilités, et ne se transforme que lorsqu’il est devenu incompatible avec lui même. »
Nous arrivons à la saturation.
« Dans « la politique se l’oxymore » Bertrand MEHEUST explique « qu’un système de réalité va jusqu’au bout de ses possibilités, et ne se transforme que lorsqu’il est devenu incompatible avec lui même. »
« Nous arrivons à la saturation. »
Exactement, cher François.
J’ai assisté à une conférence, où il a été démontré par un collectif hétéroclites de scientifiques (dont des anthropologues), que notre civilisation est dans sa phase déclinante, suivant l’irréfragable schéma de naissance, de croissance, et de mutation de tout organisme complexe.
Ou de sa disparition pure et simple s’il ne s’adapte pas.
La mutation est en cours: ce qui en résultera dépendra essentiellement de notre adaptabilité, et de nos choix.
ALBERT, il y a un truc que je ne pige pas dans votre discours : en quoi faut-il statuer sur le sort de la planète pour travailler à un autre destin pour la Martinique ? Cela ne revient-il pas à fixer des préalables insoutenables qui justifient le statu quo préconisé par des rampants obnubilés par le statut et assoiffé(e)s de simulacres d’actions comme Justina ? Ou à mettre la Martinique au service de causes mondiales plutôt que celles-ci au service de la Martinique, comme l’ont longtemps fait les marxisto-anticolonialistes à prétention universelle depuis 50 ans pour qu’on constate aujourd’hui que faute de grand soir planétaire ils n’auront finalement rien fait pour leur pays dans quelque domaine que ce soit ?
Plus simplement, on parle du destin de la Martinique sur lequel on a déjà du mal à avoir prise, ou de celui de la Terre toute entière ?
Par ailleurs, en quoi le fait de créer sans que ce soit pour faire un maximum d’argent dispenserait d’atteindre le même niveau de compétitivité que quand il s’agit d’une approche capitaliste vorace ? Renoncer au profit maximum autoriserait à être moins performant ?
J’ai du mal à vous suivre.
« Plus simplement, on parle du destin de la Martinique sur lequel on a déjà du mal à avoir prise, ou de celui de la Terre toute entière ? »
Pour faire simple (mais c’est mon analyse):
Les deux destins sont liés, car les deux configurations sont les mêmes:
1) Territoire limité
2) Environnement en cours de dégradation avancée
3) Aliénation de la population à un système favorisant le point 2)
Aussi, les réponses à apporter sont similaires dans le fonds. C’est une question d’échelle:
1) Modifier totalement notre consommation (en la diminuant drastiquement,pour atténuer son impact sur l’environnement).
2) Modifier totalement les modes de production, et l’objet de cette dernière (dans l’optique d’une gestion des ressources pour leur pérennité, et non plus pour un profit mercantile).
3) Modification de l’activité laborieuse de l’homme et favoriser des formations de pointes, dans les domaines nécessaires à l’émergence d’une autonomie la plus autarcique que possible: travailler moins, apprendre plus et orienter les ressources humaines vers la recherche dans les domaines énergétique « propre », urbains, etc., entre autres.
4) Modification du système politique de façon à donner aux gens la plus grande liberté possible dans le cadre de ce cahier des charges (anarchie).
On en est plus à raisonner en schéma de compétitivité, mais de collaboration.
La course, c’est contre le temps, pour la survie des générations futures, pas les uns contre les autres (même si cela semble inévitable, vu la raréfaction prévisible des ressources vitales).
La performance se mesurera à l’aune de notre adaptabilité à vivre (survivre?) aux modifications inéluctables de notre environnement, et au surplus de population (selon les endroits de la planète).
C’est de cette analyse que doit découler notre action.
La Martinique n’y échappera pas.
C’est mon avis.
Donc vous voudriez qu’en plus de se débattre pour garder la tête hors de l’eau elle se fasse d’elle-même préfiguratrice des mutations vers lesquelles la planète entière marche à reculons ? Sans moyens dédiés, et sans pouvoir d’influence sur qui que ce soit donc seule dans son coin ?
Vous n’en demandez pas trop en fixant la barre aussi haut ?
Oui, Stéphane.
Car il n’y aura rien à attendre de l’extérieur.
Tout le monde sera dans la même difficulté, voire pire.
Si maintenant, alors qu’il y a encore moyen d’impulser un changement radical, on trouve ça trop dur, alors qu’en sera-t-il quand tout viendra (inéluctablement) à manquer?
On disparaîtra, tout simplement (pas notre génération, mais la suivante, nos enfants, et petits-enfants).
Notre responsabilité est tellement énorme, qu’on peine à la voir, car on manque de recul.
Tellement lourde, qu’on peine ne serait-ce qu’à envisager de la porter.
Car nous ne sommes pas directement impacté…
oui, je me marre car même quand on met les vrais problèmes de nos micro-îles et les solutions qu’essaient de trouver vos voisins directs sous le nez de nos gran greks, on continue à faire du blabla, histoire de ne pas avouer qu’on ne sait rien faire ou proposer de concret, on adopte m^me de la condescendance vis à vis d’eux…effectivement l’argent sale nous en avons pas besoin, puisque Manman France est là, sans elle quand assure l’intendance, nous serions aussi à vouloir l’attirer.
« nous arrivons à saturation », ça on l’entend depuis très longtemps à chaque crise mais le génie humain c’est de trouver des solutions d’une façon ou d’une autre car l’instinct de survie est toujours là.
le problème actuel est en fait très simple, réussir à imposer une plus juste répartition des richesses et je ne parle même pas de nous qui faisons partie des 10% les plus riches de la planète mais je parle en pensant au reste du monde., Afrique, Inde, Amérique Latine et du Sud, et..
Donc nous avons, nous qui nous plaignons sans cesse, que des réflexes d’enfants gâtés, très égoistes
Tous nos besoins vitaux sont assurés, nous avons accès à la santé, à la nourriture, à l’électricté, à l’eau, etc… sur le mode du gaspillage
Alors moi je ris toujours quand je lis des discours, le fameux blabla, sur le déclin, la fin du monde, etc… La fin peut être de la phase d’enfants gâtés pour nous, mais le reste de la planète est plutôt optimiste, les gens se démerdent, ils ont envie de s’en sortir, même en risquant leurs vies, ils ont envie de faire, ils font…..et nous les pauvres petits chéris sommes entrain de nous lamenter… »c’est bientôt la fin du monde »

vous êtes de bons petits français en fait, une société qui vous chouchoute, peut être la seule qui le fait autant, et « vous » versez dans la déprime….c’est bien ça des enfants gâtés
Vous, vous n’êtes pas utopiste, mais certainement bien naïve, ou naïf, Monsieur, ou Madame, Justina (cous préciserez).
Mais franchement, des lieux communs du style:
» le problème actuel est en fait très simple [ROFL
], réussir à imposer une plus juste répartition des richesses et je ne parle même pas de nous qui faisons partie des 10% les plus riches de la planète mais je parle en pensant au reste du monde., Afrique, Inde, Amérique Latine et du Sud, et.. »
re-ROFL
Mais vous allez imposer le partage à qui ?
« au reste du monde., Afrique, Inde, Amérique Latine et du Sud, et.. » ?
Vous voulez dire:
1) imposer au reste du monde de se partager les miettes des 10% les plus riches?
2) Ou bien imposer aux 10 % les plus riches de partager leurs richesses avec « Afrique, Inde, Amérique Latine et du Sud, et.. » ?
Vous consentiriez à quitter votre confort pour partager quoi que ce soit avec… des africains ? , des « chines » ?, des « latinos ? », des…haïtiens ?
D’après vos discours, vous seriez plutôt du genre à leur dire: « démerdez-vous! ».
Faîtes-vous au moins partie d’une association bénévole quelconque, « partagez-vous », au moins, un peu de votre temps pour aider les autres (gratuitement) ?
Commencez déjà par ça, vous seriez bien plus proche d’une réalité autre que celle que vous fantasmez.
Dans le cas 1), vous seriez partisan de l’anéantissement lent et pénible des 2/3 de la population mondiale (?!?!?)
Dans le cas 2)… vous nagez en plein délire utopique, encore plus que moi.
Ce que je constate, c’est que :
1) vous n’avez pas jeté un seul coup d’œil aux excellents liens de François : un ingénieur du Collège de France qui vous avance les chiffres, que vous aimez tant, les statistiques, et les conclusion qui en découlent, quand il parle, je l’écoute et je me fais une opinion avant de déblatérer n’importe quoi.
En plus, il tient un discours que vous comprendrez aisément, il ne parle pas le « gran grek » .
2) Je ne sais plus quoi vous dire…alors riez niaisement, il est encore temps:
Quand les 10% les plus riches (c’est à dire nous) deviendront pauvres, cela impliquera qu’il n’y aura plus de ressources, donc plus besoin de travail pour les extraire et en tirer un quelconque « bénéfice ».
Même s’il n’y a pas un sursaut de chacun de nous, pour nous extraire de notre consentante aliénation (que vous incarnez à la perfection, et de façon totalement caricaturale), il y aura dans tous les cas un changement qui nous impactera, et qui viendra de trois sources distinctes (voire les 3 à la fois):
1) L’oppression politique (guerre mondiale incluse)
2) La famine
3) La maladie
Il faut se préparer à vivre avec 6 fois moins de revenus qu’aujourd’hui, d’ici 20 ans, ne serait-ce que pour survivre.
Les populations impactées seront de notre génération (vous serez vieux et faible, je serai déjà mort), et de la suivante (nos enfants et petits-enfants).
Chiffres et schémas à l’appui (vous allez adorer):
https://www.youtube.com/watch?v=TgWU_jssAhk
Je garde le « meilleur » pour la fin (en réalité le plus pathétique des non-sens):
« le reste de la planète est plutôt optimiste [!!!], les gens se démerdent, ils ont envie de s’en sortir, même en risquant leurs vies (…) »
Je dirais qu’ils sont plutôt désespérés.
Quand vous êtes optimiste, vous risquez votre vie, vous ?
Du coup, on va bientôt vous savoir émigré aux Bahamas, alors ?
encore une fois, on voit à l’oeuvre votre « méthode »
je vous ai souligné que la solution à tous VOS délires passerait par le partage des richesses, mais je ne vous ai jamais dit que cela sera réalisable, donc en conséquence il faut faire avec la réalité
Mais vous adepte du blabla faite détournement de propos
vous avez tout de suite monter un grand discours creux sur cela
Encore une fois vous n’êtes pas sérieux Albert, mais pas sérieux.
ensuite vous partez sur des attaques idiotes du même acabit « qu’avez vous..;que faites vous?… »
preuve du manque d’argument chez vous
encore une fois vous êtes un bluffeur qui se gave de mots!!
JE suis optimiste et c’est le propre de ceux qui ont confiance en eux et dans les autres, donc l’Homme fera ce qu’il a toujours su faire, trouver des solutions, même dans l’urgence pour survivre.
Toute l’histoire de l’humanité s’est construite ainsi.
le débat sur la vaccination était édifiant…vous êtes contre la vaccination mais pour la mise en contact avec le virus…un gag
« Il faut se préparer à vivre avec 6 fois moins de revenus qu’aujourd’hui, d’ici 20 ans, ne serait-ce que pour survivre. »
Maintenant vous donnez dans la prophétie
Albert, mieux vaut parler de philosophie, là vous avez plus de chance d’enfumer les gens !!!!
Vous seriez moins optimiste si vous aviez vu la conférence de Jancovici, généreusement postée par François:
https://www.youtube.com/watch?v=TgWU_jssAhk
Si « l’Homme fera ce qu’il a toujours su faire, trouver des solutions, même dans l’urgence pour survivre », comme vous dites, vous apprendrez, en l’occurrence, qu’il tarde dangereusement à se sortir les doigts du Q:
https://www.ritimo.org/Environnement-proteger-notre-planete
C’est plutôt ça, la réalité, Justina.
Elle vous sautera bientôt à la figure.
Je ne serai plus là pour voir ça, de toutes les façons…
quand on a rien à dire on donne dans la caricature…
Cela montre bien malgré tout les difficultés qui existent dans les économies de microétat insulaire et que donc les enfants gâtés comme vous, pouvezs nous gargariser de mots et réclamer toujours plus de l’Etat en disant en même temps que l’Etat nous ruine…tout en contradiction vous êtes Albert!!
Les emplois aidés ? qui est vraiment aidé … le jeune sans diplôme ou celui qui l’utilise ?
Sincèrement ce système est voué à l’échec car aucun avenir pour l’employé qui au bout de 3 ans se retrouve à nouveau au chômage.Par contre les mairies et les collectivités sont les seuls gagnants des emplois digne de l’habitation et une main d’oeuvre a volonté et surtout servile et malléable .Quelle aubaine !!
Il serait temps de passer a autre chose comme de vrais formations qui débouchent sur un vrai métier avec une forte valeur ajouté .
Il faut arrêter la « PWOFITATION » de nous mêmes martiniquais .
ALBERT
Je pense comprendre et partager vos idées, mais cela n’est pas exposé clairement.
La base est de comprendre le rôle du couple énergie/ressource.
Pour travailler ces sujets je vous propose mes auteurs, qui j’espère ne racontent pas trop de conneries.
Je suis partant pour recevoir les votre.
JANCOVICI Jean marc
https://www.youtube.com/watch?v=iK1pP1pNRP4
Le défit énergétique 8 minutes
https://www.youtube.com/watch?v=d4ud807_k8s
conférence à Lyon
https://www.youtube.com/watch?v=o7805tvS9hc
Ecole des Ponts et Chaussées cette conférence est générale
http://notre-epoque.fr/2014/09/videos-jancovici-et-giraud-pib-energie-et-climat/
Introduction au sujet de l’énergie
http://www.manicore.com
Site de Carbone 4
JANCOVICI GRAND JEAN
https://www.youtube.com/watch?v=l2AIF0GtVYk#t=21.336203548
Audition assemblée nationale : concerne le transport automobile
JANCOVICI SHIFT PROJECT
https://www.youtube.com/watch?v=hnBqQgnL81Q
Conférence The Shift project : voiture électrique.
Article concernant le prix de l’énergie
https://jancovici.com/changement-climatique/economie/la-taxe-carbone-sinon-rien/
Hélène LE TENO
http://www.dailymotion.com/video/x15hv9r_conference-debat-the-shift-project-la-voiture-electrique-partie-1_news
Gaël GIRAUD
https://www.youtube.com/watch?v=his9Ep00ZAYPhilippe
Etienne KLEIN
https://www.youtube.com/watch?v=zoVz_oD_7tc
Qu’est ce que l‘énergie
BLABLACAR SNCF VINCI
https://www.youtube.com/watch?v=LV1RWh9hA54
The Shift Project : décarboner les transports
Philippe BIHOUIX
https://www.youtube.com/watch?v=nC298VoNaU4
Grande école : cours sur la finitude des ressources minières et le recyclage
https://www.youtube.com/watch?v=5xg_UJiR5kc
https://www.youtube.com/watch?v=5xg_UJiR5kc
basse technologie
https://www.youtube.com/watch?v=nC298VoNaU4&t=204s
ASPO
http://aspofrance.viabloga.com/files/ExploApril16MBlaizot.pdf
le point sur l’exploration pétrolière
Nicolas MEILHA
http://leseconoclastes.fr/2016/03/la-fin-de-la-croissance/
Patrick BROCORENS chimiste belge
Pic du pétrole, nature de la croissance
https://www.youtube.com/watch?v=kkH0EvhHJ2Q
BIHOUIX JANCOVICI Ce soir ou jamais
http://www.dailymotion.com/video/x3hbyjd
Benois THEVARD
http://www.dailymotion.com/video/x3hbyjd gratuité
TAMAIN Bernard Physicien énergie monde réduction consommation
https://www.youtube.com/watch?v=bKOPA_PkKH0
Merci François
De la vielle école, je préfère lire, mais j’ai eu l’occasion de visionner la plupart des liens que vous avez postés.
Merci pour ceux de Jancovici, dont j’avais entendu parler, sans trop creuser.
Sur l’énergie:
http://www.slate.fr/story/143846/avenir-energie-fusion-nucleaire
https://www.youtube.com/watch?v=dQxj1RCQC4E
Sur le reste, (liste non-exhaustive), juste pour vous vous faire une idée, par rapport à la discussion:
Edgar Morin (La méthode)
https://www.amazon.fr/m%C3%A9thode-Coffret-volumes-Edgar-Morin/dp/202096872X
Jacque Fresco (sur l’environnement)
http://www.dailymotion.com/video/x5jsbhi
Noam Chomsky (que je ne présente plus, voir sa bibliographie, traduite en français)
https://www.youtube.com/watch?v=lL4J0T7pQkQ
https://www.youtube.com/watch?v=ri3opfLaQpU
Franck Fenner (biologiste)
https://www.youtube.com/watch?v=Z5eaJMuXwrc
Philippe Descola (anthropologue)
https://www.college-de-france.fr/site/philippe-descola/
https://www.collegedesbernardins.fr/content/une-anthropologie-de-la-nature-face-gaia
Claude Lévi-Strauss
https://jso.revues.org/6457
Sarah Vanuxem
http://www.college-de-france.fr/site/…/seminar-2017-02-16-10h00.htm
au lieu de délirer, rejoignez ces gens, là on aide les gens qui veulent s’en sortir avec du microcrédit
ça marche très bien
https://www.babyloan.org/fr/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=mangopay_annonce
Bof…
Pour ma part, j’ai suffisamment à faire avec Attac, les restos du coeur, et LFI…
Mais merci pour le lien.
je pense que ces gens ont une envie de s’en sortir par EUX MEMES dans des sociétés impitoyables
cela mérite mon soutien bien plus que des gens dans un système relativement protecteur qui produit souvent des assistés.
j’aime des gens de cet acabit, pas les pleureuses
« je pense que ces gens ont une envie de s’en sortir par EUX MEMES dans des sociétés impitoyables »
Oui, sans aucun doute.
Mais la problématique, en ce qui nous concerne, est que nos ne sommes pas, pour l’instant, dans une « société impitoyable »: vous l’avez dit vous-même, « maman France est encore là », et la Martinique est sous perfusion.
Pour l’instant, les gens n’ont pas l’impression d’avoir à vraiment « s’en sortir »: ils sont encore soignés, peuvent encore manger à leur faim, et acquérir un minimum de superflus.
Nous sommes, pour l’instant, plus riches que d’autres.
Mais cela ne durera pas.
Le « système relativement protecteur qui produit souvent des assistés », commence à être détricoté: vous avez suivit, comme tout le monde, les annonces faîtes quant au nouveau code du travail, par exemple.
Gageons qu’au niveau des soins, ce sera pareil, et pour le reste aussi.
Rassurez-vous, des assistés, il y en aura de moins moins.
Du coup, oui, les gens n’auront d’autre choix que de s’en sortir par eux-mêmes.
Et c’est à ce moment-là qu’ils pleureront: ils n’y ont jamais été habitué.
C’est pour cela qu’on exhorte les gens à se préparer, pendant qu’il est temps, et à agir d’eux-même pour:
-Réduire leur consommation de biens inutiles.
-Modifier leur alimentation, et d’éviter le plus possible tout ce qui est produit par l’industrie agro-alimentaire (et souvent nocif pour la santé).
-Réduire au maximum les gaspillages de nourriture, d’eau et d’énergie.
-Réduire leur production de déchets
-Favoriser la récupération (les africains ont la palme d’or en la matière), plutôt que l’achat de biens.
-Se former par eux-même à un métier, hors du cadre de l’Éducation Nationale, ou de l’enseignement supérieur (hors ingénierie et recherche), qui ne proposent que peu de débouchés à ceux qui ne sortent pas des Grandes Écoles.
-Etc. etc.
On peut, avec pédagogie, faire en sorte que cela fonctionne (le veut-on vraiment ?).
On peut, aussi, espérer un miracle technologique (peu probable dans l’immédiat).
Ou un sursaut de conscience collective, en faisant fi de la part d’animalité prédatrice qui nous caractérise (à voir).
Enfin on doit, surtout, être plus vigilant sur le choix de notre classe politique:
http://politiques-publiques.com/martinique/lelecteur-raisonne-t-il/
https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2FNewsnerFrancais%2Fvideos%2F505880966421577%2F&show_text=0&width=476
j’espère que ce genre de battle de langue vous fait plaisir car, telle est sa seule destiné … le grand drame de ce pays c’est d’avoir autant d’intellectuels au mm2 . s’il y a un qui a compris ça c’est … amj !
Les « battles de langues », je préfère les mener, pour ma part, contre des créatures bien roulées, et consentantes
Et certainement pas sur un forum de pépés
Ce sont plutôt des tentatives de convaincre: discuter est toujours plus intelligent que de se taper sur la GL…:
https://www.marianne.net/politique/exclusif-un-depute-lrem-frappe-un-responsable-ps-coups-de-casque-en-plein-paris
D’autant que c’est assez difficile, quand on ne peut pas poster de baffes…
[Heureusement, d'ailleurs, sinon, car qu'est-ce que j'aurais pris...et quant à certains autres... ]
Et puis, vous savez, distributeur de calottes, ce n’est pas un métier d’avenir: c’est peu valorisant, assez risqué, et mal payé.
A éviter même si, parfois, une envie d’en administrer nous vient, irrépressiblement.
Heureusement qu’il y a une modération pour prévenir un carnage…
ROFL
Sacré Ambroise !
Complètement faux AMBROISE CAPGRAS, il y a de nos jours très peu d’intellectuels en Martinique, tout au plus quelques lettreux aux idées aussi approximatives que déconnectées du monde réel et de ses enjeux pour nous. Il n’y en aura pas plus, le consensus martiniquais déteste tout ce qui ose penser en dehors de la pensée unique locale, avec son flots d’inepties et de contre-vérités et son incapacité soigneusement cultivée à sortir de l’immédiat et du concret.
Quand on vit dans une société factice basee sur une économie factice avec un niveau de vie trompeur tout ceci baignee dans une culture importee ,d’ou peuvent venir les bases d’un resonnement concret ?d’ou peuvent naître une pensee rationnelle ?Praphrasant Fanon « Tous des aliénés. »