Communiqué – Olivier Ernest JeanMarie | Bonjour, J’ai le plaisir de vous inviter à
un atelier participatif ce jeudi 20 juin au T.O.M. Téyat Otonom Mawon – Croix Mission - Fort-de-France à 18h30
pour construire une réponse collective à la question
« Que pouvons-nous faire pour sortir notre démocratie de l’ombre? »
Je vous exposerai certaines
Si c’était sincère … ki vé diw apolitik ! Ce serait bien mais il y a schoelcher à prendre … par derrière !
Sortir une démocratie de l’ombre se manifeste par la capacité d’une population de se tenir ensemble dans le partage et le respect de chacun. Normalement, vous devriez avoir une salle et la présence d’un média important comme Martinique 1ere pour faire un direct avec la population et partager les points de vue. Cela signifie débattre de notre société avec les grands sujets socio-économiques, chômage, santé, environnement et cultures. Ce sont des débats qui permettent de mesurer l’indice du bonheur d’une communauté. la question la plus alléchante : quelle serait le comportement des Martiniquais avec un revenu de 2000 euros par mois dont l’objectif est de combattre la précarité? Pour développer l’activité économique, le salaire du plus pauvre doit se situer à 2000 euros par mois.
C’est un vrai défi pour un gouvernement de combattre la précarité parce que la solution est financière. Nous vivons une démocratie qui est dépassée avec des économistes qui font des calculs qui se basent sur du rien du tout et le résultat reste ce rien du tout et cela débouche sur de la philo économique. Et ça suffit comme ça ! la pauvreté se chiffre et ça se résout avec la volonté de schématiser un plan d’action sur une période bien précise. La misère ou la pauvreté est une dette de l’état envers ces citoyens et il faut que ça se discute au plus haut niveau. Quand vous sortez la population de la misère, la démocratie retrouve son étincelle dans les visages.