C’est donc la police nationale qui a délogé les grévistes du Parc Naturel qui s’étaient installés depuis hier dans le hall d’accueil de la CTM. L’opération s’est déroulée dans le calme ce mardi soir.
Une initiative qui ne permettra sans doute pas un retour au calme dans ce dossier.
Pas plus que la lettre ouverte adressée par Louis Boutrin à Jenny Dulys-Petit. Le président du Parc a répondu à l’appel au dialogue lancé par 26 maires sur les 34 que compte la Martinique. Il a une nouvelle fois dénoncé une « opération politique » lancée par des opposants à la majorité. Une affirmation en partie contredite par la liste des signataires : parmi les maires mobilisés, si l’on compte bien des élus EPMN (Fort-de-France, Schoelcher ou Morne Rouge), l’on note aussi la présence de ceux du Prêcheur, de Rivière Pilote, du Robert ou du Saint-Esprit.
@polpubliques
L histoire retiendra les propos de celui qui s’est entretenu hier soir avec les grévistes, un qui est pour la libération de la Martinique et cette action de « délogement » par la police des grévistes : la honte ???? par un qui est pour l’indépendance de la Martinique : mi yo !
La ctm aura eu au moins le mérite de révéler à la face du monde … l’âme de ses dirigeants. C’est le seul dont ils ont fait preuve depuis deux ans, Si on fait fi des dépenses de l’argent qu’ils ont trouvé … Là ! Ils auront encore de multiples occasions de lâcher les chiens après nous … comme au bon vieux temps !!!
Je me suis toujours méfié de la police.
Sans juger leurs membres, des gens comme tout le monde, l’institution est intrinsèquement instrumentalisée par le pouvoir, quel qu’il soit, dès lors qu’il s’agit de « maîtriser » les « débordements » du « peuple », eussent-ils été dûment justifiés.
Elle est de plus en plus mal formée, en sous effectifs, et traîne toujours ce passé sulfureux qui la fait s’associer à toutes les infâmes turpitudes des dirigeants, de Drancy à Charonne, en passant par Mai 67 à Pointe-à-Pitre (entre autres, la liste est trop longue) : « des gendarmes mobiles ouvrent le feu sur un rassemblement d’ouvriers du bâtiment en grève, puis, pendant trois jours la ville connaît une guérilla urbaine faisant entre 10 et 100 victimes civiles, incroyablement leur nombre reste inconnu, ou détenu dans les archives de la police. »
Faire appel à cette police qui, dans les grandes métropoles françaises, contrôlera au faciès, vexations en prime, ceux qui l’ont convoquée le jour où ils iront dans le métro visiter la famille, à quelque chose de profondément comique, pathétique, et ironique à la fois.
Pour ce que tu as dit là Albert, YLM va te tomber dessus … comme les juifs sur le messi, alors que tu as parfaitement raison . Mais si on devient indépendant, j’irai tout de suite flatter hadneverbeen avec des signes de soumission les plus vils, afin qu’il intercède en ma faveur auprés d’amj pour un poste de chef policier voir meme de « gad kk » …afin d’assurer mes arrières .