Tribune – Franck Sainte-Rose-Rosemond | Huit jours de blocages à la CFTU paralysent le transport dans nos quartiers de Schoelcher, et sur la totalité du réseau, bus et TCSP de l’agglomération Centre.
Dans ce conflit, et disposant d’informations contradictoires, je m’interroge à la fois sur la régularité du licenciement qui a conduit à ce conflit, et sur la légitimité des syndicats à opérer un tel « droit de retrait ». Et je regrette que ce soient une fois de plus les usagers les plus modestes – ceux qui ne peuvent faire sans les transports publics – qui subissent les conséquences de cette crise.
Visiblement, les parties en présence (autorité, dirigeants, syndicats et personnels) ont du mal à bâtir un système de transport moderne et fiable. Les systèmes et les réflexes hérités d’autres temps, trop anciens, ont la vie dure, et c’est à une forme de faillite que nous assistons, impuissants.
A la CFTU, qui doit aux populations un service public continu, les partenaires sociaux de l’entreprise ont le devoir d’amorcer un nouveau dialogue social sur la base d’une vraie remise à plat : une politique d’analyse, d’écoute et de formation renforcée des personnels, mais aussi une vraie politique de valorisation de ces derniers.
L’action syndicale mérite elle-aussi davantage d’imagination dans les moyens choisis pour « contraindre le patron » sans accabler les plus malheureux.
Enfin, quand le conflit ne sait être évité, un service minimum (qui n’empêche en rien le nécessaire rapport de force) doit aussi avoir fait l’objet de manière statutaire d’un accord entre les parties.
En entreprise comme en musique, l’harmonie est question d’accords. Et la construction d’une symphonie exige talent, volonté et travail. Le temps et les moyens doivent être enfin accordés à une nouvelle vision du dialogue social au sein de la CFTU. Faute de quoi il appartiendra à Martinique Transport de prendre ses responsabilités d’autorité unique.
#DialogueSocial #Modernité #Efficacité #Ecoute #Citoyenneté #Méthode #LesAteliersSchoelchérois #Schoelcher
* Franck Sainte-Rose-Rosemond est le fondateur du mouvement citoyen Les Ateliers Schoelchérois
nos plus grands penseurs ont pensé que l’autorité unique était la panacée ! …
mim li .
le peuple mérite tout ce qui lui arrive là, parce que c’est pour ce résultat là qu’il a voté, en toute conscience .
on l’a averti de long en large et en travers, ils nous ont « les électeurs » … traité de voleurs, menteurs, letchimy to man, ils nous ont dit mach … déwô !!!
c’est tout naturel qu’on leurs dise ! … : » que faisiez vous au temps chaud ??? vous chantiez ????? j’en suis fort aise ! et bien … dansez maintenant !!!
Je persiste : pas étonnant que tu aies terminé dans l’aménagement paysager ! Tu ne sembles pas bien comprendre ce qui se passe dans ce conflit et tu continues à déblatérer.
Cftou ex cftu =ppm et epmn son président ppm ancien secrétaire du pp m donc ce qui arrive est logique car ppm epmn =blablateurs et inefficaces il faut supprimer l’exploitation du reseau a ce mange cochon dans lequel selon le chef du syndicat bondaman mamanzot est le bonjour Martinique transport doit donc les virer et confier l’exploitation a une autre entité fiable et sérieuse qui ne soit pas gérée par des ppm epmn
Un juron de trop et voila la martinique a l’arret. Fragile ,mouvante surrealiste et imprevisible voila comment se decline le monde du travail en Martinique.Terre d’attractivite dit on .Qui peut raisonnablement etre attire par tants de legeretes,tants d’inconcequences …..aux consequences imprevisibles et dramatiques.
D’après une étude, la perte en euros se chiffrent à 700 000 euros pour l’organisation de transport durant ces journées à l’arrêt. Maintenant, il faut des réparations techniques urgentes sur les bus. Arrêtez le fonctionnement des bus n’a pas été une bonne décision en raison de la situation économique de l’organisation. D’autres problèmes s’en suivront malgré la patience des usagers.
Je reviens de Tombouctou au Mali sur le fleuve Niger. J’ai attendu un bus pendant 5 heures. J’arrive à Fort-De-France et je suis dans cette même attente. Je me demande pourquoi il existe cette similitude avec un pays pauvre de l’Afrique. À Tombouctou cela se comprend parce que les services de transport sont difficiles, mais pourquoi Fort-De-France avait l’air de Tombouctou sans un bus qui bouge ? Je suis Martiniquais, je débarque chez moi et je découvre une région de France Outre-mer qui a l’allure de Tombouctou. Juste pour aviser les organisations, comment un pays peut basculer dans la misère ? Que la population fasse attention aux grèves. N’oubliez pas qu’Haïti avait démarré sa révolution pour se prendre en main et tout a viré au vinaigre.
C’est important qu’il y ait une réflexion sur les grèves, vous verrez plus tard ce résultat sur votre retraite et vos cotisations d’impôts. La façon dont la Martinique aborde ces revendications n’est plus à l’ordre du jour, sinon, on ira vers une pénurie. Il faut faire la différence entre revendiquer et créer un chaos pour faire du tord. Arrêtez complètement le service de transport est une violence silencieuse envers la population. La Martinique se penche petit à petit vers le négatif ( pollution des terres agricoles, grèves, corruption, démantèlement de trafic de drogues, des meurtres par armes à feu, infractions dans les limites de vitesses sur les routes.
Sur 1000 km2, qu’est-ce qui manque aux autorités pour enrayer tout ce que je viens d’énumérer pour créer un territoire exemplaire pour la France ? À quoi bon d’aller à l’école pour avoir des belles notes et vivre dans un environnement qui fait le contraire de vos résultats.
tomb où que tou … meurt, le fleuve du niger « sé dèyè do bondié » ils ont bêtement intégré l’idée que les blancs sont supérieurs à eux ! … qu’ils en payent les conséquences !
tandis que nous, nous sommes conscients que nous pouvons faire l’intéressant sur les blancs d’europe, qui seront contraints de payer le fait qu’ils ont eu tort de construire leur civilisation, sur le sang de nos ancêtres et que par voie de conséquence, la dette moralo financière qu’ils ont envers nous est … inversement proportionnelle à l’infinitésimale et ce, pendant encore environ quatre siècles !
nous avons donc, de la marge !!!
Étant donné que le transport est un service public, la CFTU doit embaucher par voie de concours ses chauffeurs. Et deuxièmement, des embauches par contrat. Si certains contrats de chauffeurs termineraient à la fin de l’année tout ceci annulerait toutes revendications. Il faut vraiment structurer le service de transport de façon que les employés réalisent les méfaits des arrêts de travail dans la poursuite de leur contrat de travail. Il faut que l’individu averti réalise que c’est lui-même qui façonne son congédiement en cas de fautes et de non respect de la législation du code de travail.
Si le président de la CTM, le préfet, la direction de la CFTU se sont senti impuissants pour donner l’ordre de garder un service minimum; il existe un vrai problème dans l’exécution du droit fondamental dans la responsabilité civile des autorités en commençant par la CTM.