Communiqué – Déclaration de l’Assaupamar suite à la plénière du 120 décembre 2017 | L’ASSAUPAMAR enregistre avec satisfaction le débat qui s’est déroulé à la plénière du mercredi 20 décembre 2017 de la CTM sur la réparation de la chaudière du GALION grâce en grande partie à sa mobilisation militante.
Des vérités ont pu sortir au grand jour :
D’une part,
- Les manipulations de toutes sortes d’Albioma ;
- Les mensonges éhontés des exploitants de l’usine du Galion et de leurs complices sur l’état de la chaudière présenté comme « obsolète » sans fournir le moindre document attestant leurs dires ;
D’autre part,
- Le devis établi après expertise de la chaudière par deux ingénieurs du fabricant BABCOCK montrant :
- Le bon état de la chaudière,
- Le montant des travaux des quelques réparations nécessaires (430 000 €),
- Le délai de réalisation de ces travaux (4 semaines),
- La durée de vie supplémentaire de la chaudière réparée estimée à 20 ans.
Nous félicitons les élus de l’Assemblée qui ont forcé à reconnaitre que la réparation de la chaudière est possible à un cout raisonnable tout en permettant d’assurer le démarrage de la prochaine récolte et des campagnes suivantes garantissant ainsi l’activité des planteurs de cannes et l’emploi des ouvriers de la sucrerie.
L’ASSAUPAMAR dénonce l’attitude de certains élus de l’Assemblée qui ont accepté de faire le jeu d’Albioma.
Le président de l’Assemblée était parfaitement informé des menées d’Albioma pour parvenir à ses fins.
Le président de l’Exécutif, en laissant pourrir la situation, alors qu’il était sollicité depuis Octobre 2016, s’est situé de fait en allié objectif des supporters d’Albioma et d’Albioma elle-même.
LE COMBAT CONTINUE…
L’ASSAUPAMAR appelle tous ceux qui se sentent concernés à la rejoindre pour faire échec à ce mauvais coup orchestré contre notre Pays et le Peuple Martiniquais.
Le président de l’ASSAUPAMAR
Joël JOSEPH-MERELIX
Sur ce sujet là aussi ils en viendront tôt ou tard à demander l’intervention du ou des représentants de l’état pour trancher, nos chers faux autonomo-indépendantistes. Ils y viendront…
Le bordel n’arrivant jamais seul … et, ayant rencontré des vents porteurs, s’amplifiera au point de mettre à mal définitivement la récolte à venir … le volte face téléphoné de mon déplaisir n’a fait que donner du balan à l’assot pas marre. Le chiffre 13 nous a porté malheur … durablement ! Pendant ce temps, ma Guy nous prépare les voeux de bonnes années de mandature de papounet … que fait le pré fait ???
sur un sujet aussi important et aussi grave et suite à toutes les séquelles dûes au pesticides déversés dans les bananeraies et qui ont pourri de très nombreux hectares de terres dans ce pays nous nous devons de faire des remarques sensées.
Il s’agit de la santé de la population qui vit en Martinique.
Il faut se renseigner. Combien de jeunes de notre pays meurent de cancer ? Je dis jeunes enfants.
Combien suivent des traitements ?
J ai une pensée profonde pour EUX et leur famille.
Muguette ! puisque la situation actuelle d’après les sachants, est cent fois plus polluant, je ne comprends pas ton entêtement à ne vouloir rien changer . mais bon ! c’est comme ça …
Muguette, croyez-vous que la centrale thermique au fioul de Bellefontaine qui crache chaque année des millions de tonnes de particules fines et hautement cancérigène est plus écologique ?
Pour ma part, je pense que le « combat » de l’ASSAUPAMAR est bien plus machiavélique, c’est à dire ramené la Martinique à l’époque de « antan robé » pour être plus conforme à une éventuelle indépendance.
« La santé des martiniquais », je ne pense pas que l’ASSAUPAMAR est aussi soucieux de la santé des martiniquais que cette association l’affirme.
Les innombrables carcasses de voitures, de pneus usagers ou d’électroménagers qui servent de décors au paysage de notre île n’ont jamais provoqué l’indignation des « écologistes » de cette association.
Par contre, dès qu’il s’agit d’un projet de développement économique, ou même social miraculeusement l’ASSAUPAMAR surgit.
En ce moment c’est le programme de construction de logements à St Joseph qui est devenu le nouveau cheval de bataille de cette organisation indépendantiste negriste.
Je propose à tous les opposants à cette unité, d’être cohérents avec leur propos. Dès la mise en route de cette centrale, résilions notre abonnement EDF pour ne pas cautionner empoissonnement des martiniquais par les particules fines………..
Dénie à l’asszupamar un rôle de sentinelle dans la sauvegarde de l’interet fondamental du martiniquais relève du mépris pour tous ses combats menés et tous ses adherents.Il manque à kankan le nez rouge et rejoindre la troupe du même nom afin d’y jouer le clown …..
Tous ses adhérents ?
Combien sur une population de près de 400 mille habitants ?
50\60\100 militants qui font justement le clown.
« Défense de l’intérêt des martiniquais » ?
Oui mais tant que la Martinique sera gavé de subventions.
Demander aux écologistes malgaches le sort que le gouvernement de leur pays leurs réservent.
Encore heureux tu es bėkė toi ? Just une question .’’’
https://www.youtube.com/watch?v=2JH6TwaDYW4
Cette conférence montre l’importance de l’énergie ans la société. L’ingénieur Jean Marc Jancovici (site MANICORE) est pour moi, l’une des 20 personnes qui donnent des explications non basées sur des croyances.
Je cherche à comprendre la place de Albioma dans l’ensemble de la question « énergie » en Martinique.
1- l’Horreur Albioma.
- Albioma est une boite privée qui nous tient par la gorge : comme la SARA, EDF, la grande distribution, les banques, etc, etc.
- Albioma est financé en défiscalisation, donc son investissement a un prix doublé : comme de nombreuses construction, de nombreux véhicules, bateaux de plaisance, etc, etc.
2- Albioma pollue.
Je manque d’informations vérifiées concernant les niveaux des diverses pollutions. Chacun raconte ce qui lui passe par la tête.
Un bilan global de toutes les pollutions que nous subissons doit être fait, afin de classer les diverses sources pour définir une stratégie d’action.
- La pollution de la SARA devrait être étudiée car les vents dominants 90 % de secteur est à nord-est balayent en permanence la moitié de Fort de France.
- La pollution routière 2 à 3 heures par jour dans la circulation ! Il y a des solutions simples et sources d’économies importantes pour traiter cette question.
- La pollution liée à la malbouffe, nous importons 80 % de notre alimentation et par exemple, 92 % des « produits de la mer » que nous consommons !
3- Pour dépolluer il faut utiliser moins d’énergie.
- pour l’électricité, nous consommons 1,4 TWh par an, 4 mesures simples et radicales pour réduire la consommation et donc la pollution.
Doubler le prix du KWh, premier KWh gratuit pour tous, pas d’abonnement, tarification variable en fonction de la consommation (plus le client consomme plus son tarif au KWh est élevé.
- pour les transports routiers, nous utilisons environs 2,6 TWh d’énergie finale, 3 mesures simples.
Doublement du prix des carburants, transports par bus et mini bus, dense, 24h sur 24 h GRATUIT. Ces mesures divisent par 3 la pollution et par la fluidité du trafic relance l’économie. Le « budget transport »de tous les groupes sociaux diminuent.
3- Albioma et la question énergétique.
L’énergie est vitale, c’est le moyen de transformer notre environnement à notre avantage. Si il y a de l’énergie il y aura du PIB. Pas d’énergie = pas de PIB.
La conférence que je propose au début fait le point sur toutes ces questions.
1h30 cela est un travail pour sortir des blablas journalistiques insipides courants.
Notre dépendance au pétrole pour la production électrique et les transports représente un danger mortel au sens propre.
Le danger fondamental en 2018 que nous devons envisager est une rupture d’approvisionnement suite à des conflits au moyen Orient, ou autres conflits encore plus graves.
Une rupture qui durerait plusieurs mois serait mortelle. Sans d’énergie, pas de transport routier et maritime, pas d’électricité.
En 2 jours les supers marchés sont vidés, en 2 mois il n’y a plus de carburants, en 4 mois il y a
200 000 morts.
Nous ne sommes pas en 1850 ou la Martinique était indépendante pour sa nourriture et son énergie (renouvelable) ou en 1940 ou 80% des 240 000 habitants étaient proches de l’agriculture et ont survécus difficilement.
La pollution est un sujet de second ordre, que nous devons traiter avec vigueur par les moyens de filtration les plus performant et des contrôles rigoureux.
Albioma contribue à sortir du pétrole avec la biomasse. Le bois est importé au départ.
Il est à peut près certain qu’une partie du bois importé des USA ou du Brésil provient de la déforestation et n’a donc rien d’écologique.
Nous devons nous poser la question de l’utilisation de la biomasse de Martinique.
Quelle est la capacité de la Martinique d’alimenter Albioma ?
Pour comprendre « l’énergie » il faut faire des calculs d’ordre de grandeur et ne pas mélanger les puissances (MW) avec les quantités d’énergie (MWh), sinon vous
mélangez la pression de votre tuyau d’arrosage avec la quantité d’eau que vous mettez dans votre bidon.
Il s’agit d’une centrale électrique d’une puissance de 37 MW, comme ce type de machine fonctionne à l’aise 7000 h par an (un an égal 8 760 heures), la quantité d’énergie électrique produite est de l’ordre de 0,250 TWh.
Rappel : nous utilisons chaque année environ 1,400 TWh d’électricité, Abioma représente donc 18% des approvisionnements. Cela est considérable.
4- Albioma et la biomasse.
Si l’énergie finale de Albioma est 0,250 TWh, cela exige de rentrer dans cette machine à vapeur 3 fois plus d’énergie primaire donc 0,750 TWh de bois (biomasse).
Désolé, mais j’aime les petits calculs de coin de table :
- La biomasse représente entre 8 et 18 MJ/Kg, je retiens 10 MJ /Kg soit 2,8 KWh par kg de bois.
- La biomasse est d’environ 150 tonnes par hectare en moyenne mondiale. (309 en Guyane)
- La repousse moyenne par an est de l’ordre de 16 tonnes par hectare. (A VERIFIER)
- un hectare représente donc 16 000 Kg X 2,8 KWh par Kg = 44 800 KWh par hectare.
- Pour obtenir 0,700 TWH d’énergie primaire il faut donc pouvoir exploiter :
700 000 000 KWh / 44 800 = 15 625 hectares soit 160 Km2, soit 15 % de la surface totale de la Martinique soit un tiers de la surface boisée de Martinique qui est d’environ 48 000 hectares.
5- Albioma et le sucre du Galion.
La centrale électrique Albioma est une machine à vapeur qui entraine une turbine accouplée à un alternateur pour produire de l’électricité.
Ce genre de machine génère 1/3 d’énergie mécanique utilisable pour la production d’électricité et 2/3 de vapeur qui est perdue.
Lorsqu’on accouple Albioma à le sucrerie on utilise une partie de la vapeur générée ; la cogénération c’est juste cela.
Cette organisation augmente la rentabilité de l’ensemble.
Désolé pour ce texte en cours d’élaboration. Je suis preneur de sources d’information qui permettraient de mieux comprendre.
Malgré nos subventions nous n’avons pas pu empêcher la prolifération du clhordecone dans les terres les rivières et les mers de la martinique .Nous n’avons pa pu empecher l’augmentation exponentielle de cancers ou maladies dérivées lies a l’environnement exp :parkinson meilleur taux mondial du cancer de la prostate devant Madagascar (pays pauvre) qui dit mieux ? Champion du monde en cancer .Madagascar ne reçoit pas de subvention mais a su préserver ses terres de l’utilisation massive de pesticides.Eux au moins ont encore un choix et un avenir de développement sain mais la Martinique…..comdanne à bouffer du clhordecone sur 100ans et bientôt respirer des particules fines …Bienvenue en enfer!!! Heureusement qu’ il ya les alizées pou attenuer….
camp camp ! nous ne sommes plus à 400 000 ! réactualise toi, prend conscience que le mim est passé par là … à la louche, et, c’est pas louche, nous sommes environ 380 000 . et, vu ce que produit psychologiquement la ctm, attends toi à une révision à la baisse …